Les 88 Préceptes - David Lane
David Lane, Les 88 Préceptes.
Préambule
Jusqu’à ce que la race blanche ait compris qu’il n’existe qu’une source permettant d’établir des vérités durables, il n’y aura ni paix ni stabilité sur cette terre. C’est dans les lois immuables de la Nature que se trouvent les clefs de la vie, de l’ordre et de la compréhension. Les paroles des hommes, même celles que certains considèrent comme « inspirées », dépendent des traductions, du vocabulaire, des additions, des soustractions et des distorsions de mortels faillibles. Par conséquent, tout écrit et tout texte influent, ancien ou moderne, doit être sévèrement examiné quant à sa conformité à la Loi Naturelle. Les Peuples Blancs de la terre doivent comprendre collectivement qu’ils sont, eux aussi, soumis aux Lois inflexibles de la Nature, de même que toute autre créature dans l’univers, ou ils ne pourront préserver ni la paix, ni la sécurité, ni même leur propre existence. Le monde est en flammes parce que les races, les sous-races, les nations et les cultures sont forcées de violer leurs propres instincts de préservation. Beaucoup d’hommes de bonne volonté, mais de peu de compréhension, combattent des symptômes qui sont le résultat d’une désobéissance à la Loi Naturelle. Telle est la nature de l’homme, que certains s’en tiennent à des positions bornées, locales, basées sur des vues qui procèdent de l’environnement immédiat, de circonstances relatives, et d’un conditionnement dogmatique. Tout ceci est encouragé par cette puissante et impitoyable peuplade qui contrôle les affaires du monde depuis des siècles en exploitant les plus bas instincts de l’homme. Les conflits avec, et entre, les ignorants lui servent de masque et de sauvegarde. Une compréhension plus profonde des Lois Fondamentales qui gouvernent les affaires des hommes est nécessaire, si nous voulons sauver la civilisation des usuriers qui sont entrain de la mettre à mort. Ce qui suit ne prétend pas fournir un mode de gouvernement détaillé, mais des PRÉCEPTES qui, bien compris, serviront et préserveront les membres de notre Peuple, en tant qu’individus et en tant que Nation.
Les 88 Préceptes
1
Toute religion, ou tout enseignement, qui nie les Lois Naturelles de l’Univers est un mensonge.
2
Quelle que soit la perception que les hommes ont de Dieu, ou des dieux, ou de ce que peut être la Force originelle de l’univers, ils ne peuvent pas nier que les Lois de la Nature sont l’œuvre, et donc l’intention, de cette Force.
3
Dieu et la religion sont des concepts distincts, séparés et souvent contradictoires. La Nature manifeste le plan divin, puisque le monde naturel est l’œuvre de cette force ou de cette intelligence que les hommes appellent Dieu. La religion est une création des mortels, elle est donc vouée à la faillibilité. La religion peut préserver ou détruire un peuple, selon la structure que ses créateurs lui ont donnée, les motivations de ses agents et le caprice des circonstances historiques.
4
La forme de prière la plus vraie est la communion avec la Nature. Elle n’est pas vocale. Rendez-vous dans un lieu solitaire, si possible le sommet d’une montagne, au cours d’une nuit claire, étoilée, et prenez conscience de l’ordre et de la majesté du macrocosme infini. Considérez ensuite l’élaboration du microcosme, tout aussi infini. Comprenez que vous êtes, d’une part, totalement insignifiant dans l’immensité des choses, et que, d’autre part, vous êtes virtuellement d’une valeur infinie en tant que maillon d’une chaîne infinie. Vous commencerez alors à comprendre comment la fierté et l’estime de soi peuvent co-exister avec le respect et la révérence. C’est ainsi que vous trouverez l’harmonie avec la nature — et de l’harmonie viennent la force, la paix et la certitude.
5
Les pouvoirs séculiers protègent et encouragent les religions qui se concentrent sur l’au-delà. C’est ainsi qu’on enseigne aux gens à abandonner toute défense contre leurs prédateurs dans cette vie.
6
L’Histoire, qu’elle soit séculière ou religieuse, est une fable issue de mensonges égoïstes et promulguée par ceux qui en bénéficient.
7
La religion, sous sa forme la plus bénéfique, est la symbolique d’un peuple et de sa culture. Une religion multiraciale détruit le sens d’unicité, d’exclusivité et de valeur nécessaire à la survie d’une race.
8
Ce que les hommes appellent « surnaturel » n’est en réalité que le « naturel » non encore compris ou révélé.
9
Une prolifération de lois, et la perte de liberté qui en résulte, sont un signe, directement proportionnel, de maladie spirituelle dans une nation.
10
Si une nation est dépourvue de santé spirituelle et de caractère moral, le gouvernement et les hommes sans principes se rueront dans la brèche. Par conséquent, la liberté prospère dans les valeurs morales et la tyrannie se nourrit du déclin moral.
11
La vérité n’a pas besoin de longues explications. Prenez garde aux doctrines verbeuses. Les grands principes se révèlent avec brièveté.
12
La vérité ne craint pas qu’on enquête sur elle.
13
Les croyances infondées sont un piège. Un Peuple qui ne vérifie pas rationnellement la validité et l’efficacité de ses croyances souffrira ou disparaîtra.
14
Conformément aux lois de la nature, rien n’est plus juste que la préservation de sa propre race.
15
Il n’existe pas de force plus motivante que la conviction d’être dans son droit.
16
Le discernement est la marque d’un peuple sain. Dans une nation, une civilisation, une culture ou une race malade ou mourante, l’essentiel est abandonné au profit des apparences.
17
Le discernement implique la capacité de reconnaître la différence entre croyance et réalité démontrable.
18
Les Lois de la Nature n’admettent ni droits, ni privilèges. Le daim traqué par un lion affamé n’a pas droit à la vie. Pourtant, il peut rechercher la vie en obéissant aux instincts naturels de vigilance et de fuite. De même, les hommes n’ont aucun droit à la vie, à la liberté ou au bonheur. Ces circonstances peuvent être recherchées par nous, par notre famille, par notre clan ou par nos ancêtres, mais elles restent des buts et non des droits. Plus encore, le résultat de ces recherches ne peut être obtenu qu’à force de vigilance et d’obéissance à la Loi Naturelle.
19
Les gens qui ne sont pas convaincus de leur unicité et de leur valeur disparaîtront.
20
La race blanche subit les invasions et la brutalité de l’Afrique et de l’Asie depuis des millénaires. Par exemple, Attila et les Huns asiatiques qui envahirent l’Europe au Vème siècle, violant, pillant et tuant des Alpes jusqu’aux mers Caspienne et Baltique. Ce scénario se répéta avec les Mongols de Gengis Khan, 800 ans plus tard. (Notez ici que les Indiens d’Amérique ne sont pas des « Indigènes américains », mais, racialement, des Mongols). Au VIIIème siècle, 1000 ans avant que les Noirs soient transportés en Amérique, les Maures Nord-Africains, peuple métissé, envahirent et conquirent le Portugal, l’Espagne et une partie de la France. La culpabilité que les destructeurs de la civilisation tentent de faire ressentir à la race blanche est donc absurde, à la fois devant l’Histoire et devant la Loi Naturelle qui ne reconnaît pas de compassion entre les espèces. De fait, toutes les races ont immensément bénéficié du génie créatif du peuple Aryen.
21
Le peuple qui en autorise d’autres, issus de races différentes, à vivre parmi eux, disparaîtra, parce que le résultat inévitable de l’intégration raciale est le métissage qui détruit les caractéristiques et l’existence d’une race. L’intégration forcée et un génocide sournois et délibéré, particulièrement dans le cas d’un peuple comme la race blanche, qui constitue aujourd’hui une faible minorité dans le monde.
22
En dernière analyse, on ne peut juger de la supériorité ou de l’infériorité d’une race ou d’une espèce en fonction de ses accomplissements, mais seulement en fonction de sa volonté et de sa capacité à survivre.
23
Les systèmes politiques, économiques et religieux peuvent être détruits et ressuscités par les hommes, mais la mort d’une race est éternelle.
24
Aucune race humaine ne peut indéfiniment continuer à exister sans territoires exclusifs sur lesquels propager, protéger et faire progresser son espèce.
25
Sans une culture qui soit exclusivement la sienne, un peuple disparaîtra.
26
La nature a placé certaines antipathies entre les races et les espèces, afin de préserver l’individualité et l’existence de chacune. La violation des impératifs territoriaux nécessaires à préserver cette antipathie mène soit au conflit, soit à la dégénérescence.
27
Il n’est pas constructif de haïr les gens d’autres races, ni même les métis. Mais une séparation doit être maintenue pour que survive sa propre race. On doit, néanmoins, haïr d’une haine pure et parfaite ceux qui se rendent coupable de trahison envers leur propre espèce. On doit haïr d’une haine parfaite tous les gens et toutes les pratiques qui détruisent son peuple, sa culture, ou l’exclusivité raciale sur ses propres territoires.
28
Le concept de société multiculturelle viole toutes les Lois Naturelles de préservation des espèces.
29
Tout, dans la nature, démontre que le concept d’« égalité » est un mensonge. Il s’agit d’une recherche de plus petit dénominateur commun, et cette recherche détruira toute race, toute nation ou toute culture supérieure. Pour qu‘un cheval de trait puisse courir aussi vite qu’un cheval de course, vous devez d’abord paralyser le cheval de course ; à l’inverse, pour qu’un cheval de course puisse tirer une charrue aussi bien qu’un cheval de trait, vous devez paralyser le cheval de trait. Dans les deux cas, la recherche de l’égalité est la destruction de l’excellence.
30
Les instincts de préservation des espèces et des races sont ordonnés par la Nature.
31
Les instincts sont les parfaits mécanismes que la Nature a établis afin que survive chaque race et chaque espèce. Il ne faut pas permettre à la faiblesse humaine, qui pousse l’homme à rationaliser les situations afin d’en tirer des satisfactions personnelles, de faire obstacles à ces instincts.
32
Le métissage, c’est à dire le mélange des races, est, et a toujours été, la plus grande menace contre la race aryenne.
33
La compassion inter-raciale est contraire aux lois de la Nature et, par conséquent, suicidaire. Si un loup intercédait pour protéger un agneau d’un lion, il serait tué. Aujourd’hui, nous observons l’homme blanc être si lourdement imposé qu’il ne peut plus se permettre d’avoir des enfants. Les impôts sont levés pour subvenir aux besoins alimentaires de dizaines de millions de non-Blancs, dont beaucoup demandent les dernières femmes blanches pour partenaires de reproduction. Or l’homme est soumis aux Lois de la Nature. Ce qui n’a rien à voir avec la moralité, la haine, le bien ou le mal. La Nature ne reconnaît pas les notions de Bien et de mal dans les relations inter-raciales. Si le lion mange l’agneau, c’est bien pour le lion et mal pour l’agneau. Si l’agneau s’échappe et que le lion reste affamé, c’est bien pour l’agneau et mal pour le lion. Le même événement est donc appelé à la fois bien et mal. Ce qui ne saurait exister, puisqu’il n’y a pas de contradictions à l’intérieur des Lois de la Nature.
34
L’instinct d’union sexuelle fait partie du mécanisme parfait établi par la Nature en vue de préserver les espèces. Cet instinct commence tôt dans la vie et continue souvent jusque très tard. Il ne doit pas être refoulé : son objet, la reproduction, ne doit pas être empêché non plus. Comprenez que, pendant des milliers d’années, nos femmes ont porté des enfants à un très jeune âge. Or, afin de se conformer à une culture étrangère et de rester compétitives, elles nient les instincts et les devoirs que la Nature leur a confiés. Enseignez la responsabilité, mais soyez aussi compréhensif. La vie d’une race naît du ventre de ses femmes. Celui qui veut juger doit d’abord comprendre la différence entre ce qui est bien et ce qui est bon.
35
L’homosexualité est un crime contre la Nature. Toute la Nature affirme que l’objet de l’instinct d’union sexuelle est la reproduction et, donc, la préservation des espèces. L’impérieux appétit sexuel masculin doit être canalisé vers la possession de femmes de la même race, ainsi que d’éléments comme le territoire et le pouvoir, qui sont nécessaires pour les conserver.
36
La pornographie dégrade la nature de tous ceux qui s’y impliquent. Une belle femme nue est une œuvre d’art ; une caméra entre ses genoux pour explorer ses parties intimes est de la pornographie.
37
Une race dont les hommes ne combattront pas jusqu’à la mort pour conserver leurs femmes, et s’unir avec elles, disparaîtra. Tout homme blanc dont les instincts sont sains éprouve du dégoût et de la répulsion lorsqu’il voit une femme de sa race avec un homme d’une autre race. Ceux qui contrôlent aujourd’hui les médias et les affaires du monde occidental enseignent que ce dégoût est un tort et une honte. Il l’appellent « racisme ». De même que le mot « nationalisme » signifie la promotion de sa nation, « racisme » signifie la promotion de la vie de sa propre race. C’est peut-être le mot le plus honorable qui existe. Tout homme qui désobéit à ces instincts est contre-Nature.
38
Dans une nation, une culture, une race ou une civilisation malade ou mourante, la résistance politique et les valeurs traditionnelles sont traitées de crimes abominables, et persécutées en tant que tels, par des inquisiteurs déguisés en patriotes philanthropes.
39
Un Peuple qui ignore son passé gâchera le présent et détruira le futur.
40
Une race doit honorer, par-dessus tout, ceux qui ont donné leurs vies ou leur liberté pour la préservation du peuple.
41
Le peuple, c’est à dire les membres de la Race, constitue la Nation. La loyauté raciale doit toujours transcender les frontières géographiques et nationales. Enseigné et compris, ce principe mettra fin aux guerres fratricides. Les guerres ne doivent pas être faites pour le bénéfice d’une autre race.
42
Les chefs de la Nation ne sont pas des maîtres, ils sont des serviteurs et des gardiens. Ils ne doivent pas servir pour obtenir des gains personnels. Choisissez pour chef celui qui n’a pas d’intérêt à accumuler les biens matériels.
43
Choisissez et jugez vos chefs, ou gardiens, ainsi : ceux qui cherchent sans cesse à réduire le pouvoir du gouvernement, ont bon cœur et bonne conscience. Ceux qui cherchent à augmenter le pouvoir du gouvernement sont de vils tyrans.
44
Aucun gouvernement ne peut rien donner à qui que ce soit, qu’il ne l’ait d’abord pris ailleurs. Le gouvernement est, de par sa nature même, de la confiscation légale. Un gouvernement limité est un fardeau nécessaire à la défense nationale et à l’ordre interne. Tout ce qu’on y ajoute joue au détriment de la liberté individuelle et générale.
45
Les lois organiques fondamentales, c’est à dire la Constitution de la nation, ne doivent pas être amendables autrement que par le consentement unanime de tous les partis, et en présence de tous les partis. Sans cela, les portes sont ouvertes à la forme la plus dangereuse, la plus mortelle, de gouvernement : la démocratie.
46
Dans une démocratie, ceux qui contrôlent les médias, et donc les esprits des électeurs, ont un pouvoir que n’auraient pas osé rêver les rois et les dictateurs.
47
La façon la plus simple de décrire une démocratie est celle-ci : trois personnes forment un gouvernement, chacune ayant une voix. Puis, deux d’entre eux se votent le droit de voler les biens du troisième.
48
Les derniers stades de la démocratie consistent en guerres étrangères, parce que le système moribond tente de se préserver en pillant les autres nations.
49
En démocratie, ce qui est légal est rarement moral, et ce qui est moral est souvent illégal.
50
A une démocratie succède toujours un homme fort... que certains appellent dictateur. C’est le seul moyen de restaurer l’ordre dans le chaos causé par la démocratie. Sélectionnez votre homme fort avec sagesse ! Il doit être un gardien jusque dans son cœur. Il doit être quelqu’un qui ait prouvé que son seul but dans la vie est de préserver le peuple. Son dessein ultime doit être la restauration d’une Loi basée sur les Lois parfaites de la Nature.
51
Un système politique fera n’importe quoi, aura recours à toutes les corruptions et brutalités nécessaires, pour préserver son pouvoir.
52
On ne peut mettre fin aux tyrannies sans recours à la force.
53
Ceux qui trahissent, dissimulent leurs forfaits sous des proclamations de patriotisme.
54
La propagande est une composante majeure dans tous les systèmes politiques, qu’ils soient séculiers ou religieux ; la propagande mensongère est la composante majeure des systèmes politiques sans principes. Tous les systèmes tentent de convaincre leurs sujets que le système est bon, juste, bénéfique et noble, ainsi que digne d’être défendu et perpétué. Plus la propagande est philanthropique, plus elle est suspecte.
55
Le pouvoir politique, en dernière analyse, est créé et maintenu par la force.
56
Un système politique, religieux ou séculier, qui fait des appels incessants au patriotisme, ou qui a besoin de verbosité et de rhétorique pour se maintenir, est une tyrannie déguisée.
57
La propagande est une arme nécessaire et légitime dans tous les combats. Les éléments d’une propagande efficace sont : la simplicité, l’émotion, la répétition et la brièveté. D’autre part, puisque les hommes croient ce qu’ils veulent croire, et puisqu’ils veulent croire ce qu’ils supposent être leur intérêt, la propagande efficace doit faire appel à l’intérêt supposé de ceux chez qui elle est disséminée.
58
Les tyrannies disent ce que l’on doit penser ; les hommes libres apprennent à penser.
59
Prenez garde aux hommes qui augmentent leurs richesses en parlant. En particulier, prenez garde aux avocats, ou aux prêtres qui nient la Loi Naturelle.
60
Le patriote, conduit dans les donjons de l’Inquisition ou sous la hache du bourreau, sera le plus bruyamment condamné par ses anciens amis et alliés : car ils espèrent ainsi échapper au même sort.
61
La douce Déesse de la Paix ne vit que sous le bras protecteur du Dieu de la Guerre en armes.
62
La Loi organique fondamentale d’une Nation doit établir, de façon claire et irrévocable, la spécificité de l’identité du groupe racial et culturel homogène pour le bien-être duquel elle a été formée, et que l’existence continue de la Nation est uniquement vouée au bien-être de ce seul groupe.
63
La race ou la culture qui en laisse une autre contrôler ou influencer n’importe lequel des éléments suivant disparaîtra :
- Les organes d’information.
- Les institutions pédagogiques.
- Les institutions religieuses.
- Les postes politiques.
- La création de la monnaie.
- Les institutions judiciaires.
- Les institutions culturelles.
- La vie économique.
64
Des Lois justes n’ont pas besoin d’être longuement expliquées. Leur simplicité et leur brièveté les rendent irrévocables.
65
Les émotions de l’homme sont bien plus efficacement touchées par la parole que par l’écrit. C’est pourquoi une tyrannie réagira plus violemment aux réunions de dissidents qu’aux livres et aux pamphlets.
66
La Loi organique fondamentale de la Nation, ou n’importe quelle loi, est proportionnelle en pertinence à la volonté et au pouvoir de la faire appliquer.
67
Un Peuple désarmé ou non-militant sera réduit en esclavage.
68
Certains disent que la plume est plus puissante que le sabre. C’est possible. Néanmoins, la parole sans l’épée n’a aucune autorité.
69
Les tyrannies sont généralement construites pas à pas et enveloppées de noble rhétorique.
70
La différence entre un terroriste et un patriote est le contrôle de la presse.
71
Les jugements des gardiens, des chefs, doivent être conformes à la Loi naturelle et tempérés par la raison.
72
Le matérialisme est bas et destructeur. Les gardiens d’une Nation doivent constamment mettre en garde contre l’esprit matérialiste et combattre celui-ci. L’acquisition de richesses et de propriétés, nécessaire au bien-être d’une famille, et obtenue de manière honorable, est juste et bonne. L’exploitation, notamment par l’usure, détruit la Nation.
73
Le matérialisme pousse les hommes à rechercher des statuts artificiels à travers les richesses et la propriété. Les vrais statuts sociaux s’obtiennent au service de la Famille, de la Race et de la Nation.
74
Le matérialisme conduit finalement à la consommation compulsive, inutile, qui, a son tour, conduit au viol de la Nature et à la destruction de l’environnement. C’est contre-nature. Les vrais gardiens de la Nations doivent être purs de tout matérialisme.
75
La fonction de commerçant ou de marchand est de fournir un mode d’échange. On ne doit pas tolérer qu’un marchand encourage le matérialisme et la consommation inutile.
76
Les seules fonctions légitimes de l’argent sont celles d’un moyen d’échange et d’une réserve de richesse. L’usure (intérêts), à n’importe quel pourcentage, est un crime grave, qui ne doit pas être toléré.
77
Une nation avec une aristocratie d’argent, d’avocats et de marchands, deviendra une tyrannie.
78
La façon la plus simple de décrire un système usuraire, centrée sur la banque, est la suivante : les banquiers demandent la propriété de la Nation comme caution pour leurs prêts. Avec les intérêts, d’avantage d’argent leur est donné qu’il n’en ont créé avec les prêts. Donc, finalement, les banquiers contrôlent la Nation.
79
L’usure (les intérêts), l’inflation, l’oppression fiscale, sont des vols hypocrites et détruisent la structure morale de la Nation.
80
Les richesses obtenues sans sacrifice ni travail honnête seront, en général, mal employées.
81
Rien dans la Nature n’est statique ; soit la force augmente et croît, soit elle dégénère et meurt.
82
Le respect se gagne : il n’est ni exigible, ni acquis.
83
Evitez l’homme querelleur, car son venin empoisonnera votre propre nature.
84
L’auto-discipline est la marque d’un homme supérieur.
85
La mesure d’un homme est la bonne humeur dans l’adversité.
86
Un sot juge les autres sur leurs paroles. Un homme sage les juge sur leurs actes et leur accomplissement.
87
Dans nos relations et nos interventions, comme partout dans la Nature, chaque action produit une réaction. Ce que nous plantons sera récolté — et, si ce n’est par nous, ce sera par d’autres.
88
Voici les Signes incontestables que la Nation est mourante. Si vous observez l’un d’entre eux, vos gardiens sont des traîtres :
- Métissage et destruction de la race fondatrice.
- Destruction des unités familiales.
- Oppression fiscale.
- Corruption du Droit.
- Persécution et répression contre ceux qui mettent en garde la Nation contre ses erreurs.
- Immoralité : drogues, ivrognerie, etc.
- Infanticide (aujourd’hui appelé avortement).
- Destruction de la valeur de l’argent (inflation et usure).
- Étrangers dans le pays, culture étrangère.
- Matérialisme.
- Guerres à l’étranger.
- Gardiens (chefs) qui recherchent les richesses et la gloire.
- Homosexualité.
- Religion non-basée sur la Loi Naturelle.
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