« Moi, et même si c’est une multinationale, je donnerai toute la Montedison pour une luciole. » — Pier Paolo Pasolini, in "Le vide du pouvoir" (Corriere della Sera, 1 febbraio 1975)

"Les premiers écrivains qui ont été des écrivains de "pouvoir", complètement inventés et lancés par l'industrie culturelle, ont été justement les écrivains d'avant-garde." -Pier Paolo Pasolini, in "Le Chaos - n°33"-

« Pound a compris, avec une précocité anormale, que le monde paysan et le monde industriel sont deux réalités inconciliables : l'existence de l'un signifie la mort (la disparition) de l'autre. »

  • Essais sur la littérature et l'art

"Il faut dire plus fort que jamais le mépris Envers la bourgeoisie, hurler contre sa vulgarité, Cracher sur l'irréalité qu'elle a Choisie comme seule réalité."

  • Pier Paolo Pasolini, in "Qui je suis - Poeta delle ceneri”-

"L’homme qui vivait dans une civilisation paysanne, pouvait percevoir la présence du sacré, dans chaque objet, quel que soit l’évènement, à chaque instant de sa vie."

  • Pier Paolo Pasolini, in "L’inédit de New-York"-

"La fin du fascisme marque la fin d’une époque et d’un univers. Le monde paysan et populaire est terminé."

  • Pier Paolo Pasolini, in "Pétrole"-

"L'intellectuel est là où l'industrie culturelle le situe : comme et pour la raison que le marché désire."

  • Pier Paolo Pasolini, in “Il Caos”, Il Tempo n°35 (27 Août 1968)-
Pilade : « La plus grande attraction de chacun d’entre nous/ Est vers le Passé, parce qu’il est l’unique chose/ Que nous connaissons et aimons vraiment./Tant que nous le confondons avec la vie.