« Tout est race, il n’y a pas d’autre vérité », affirme Sidonia dans Tancred. Et dans Coningsby :

« Le fait est que vous ne pouvez pas détruire une race pure de l’organisation caucasienne. C’est un fait physiologique, une simple loi de la nature, qui a déconcerté les rois égyptiens et assyriens, les empereurs romains et les inquisiteurs chrétiens. Aucune loi pénale, aucune torture physique ne peut avoir pour effet qu’une race supérieure soit absorbée par une race inférieure, ou soit détruite par elle. Les races persécutées mixtes disparaissent ; la race persécutée pure demeure. » (Livre IV, chap. 15)


Disraeli declared in 1832 that “Nations have characters, as well as individuals

"The governments of the present day have to deal not merely with other governments, with emperors, kings and ministers, but also with the secret societies which have everywhere their unscrupulous agents, and can at the last moment upset all the governments' plans."

(Endymion, 1880). Tout en ajoutant : « Personne ne doit traiter à la légère le principe racial, la question raciale. Elle est la clé de l’histoire du monde ». Enfin, selon lui, les juifs « sont la preuve vivante la plus frappante de la fausseté de cette pernicieuse doctrine des temps modernes, l’égalité naturelle des hommes […], un principe qui, s’il était possible de le réaliser, détériorerait les grandes races, et détruirait tous les génies du monde. […] La tendance innée de la race juive, qui est justement fière de son sang, est opposée à la doctrine de l’égalité des hommes »