Citations

« Je trouve que la France est un pays haineux, malade, dur »

— Daniel Cohn-Bendit, Europe 1, 2 mai 2017


« Aujourd’hui, le candidat pour se sortir de ce marasme, c’est plutôt Emmanuel Macron. »

— Daniel Cohn-Bendit, Libération, 13 avril 2017


« Il faut arrêter de dire que le peuple a toujours raison »

— Daniel Cohn-Bendit, France Inter, 4 juillet 2016


« La démocratie c’est la défense des minorités contre les majorités ! »

— Daniel Cohn-Bendit, Lyon, 6 octobre 2012


« La majorité, c’est ça le problème des démocraties, n’a pas raison »

— Daniel Cohn-Bendit, RTS, 1er décembre 2009


Les immigrés « sont en train de changer la France et les Français deviennent différents. »

— Daniel Cohn-Bendit, « Ce soir (ou jamais !) », France 3, 28 janvier 2009


« [...] pour enrayer la xénophobie, le mieux serait encore d’augmenter et non de vouloir réduire le nombre d’étrangers. »

— Daniel Cohn-Bendit et Thomas Schmid, Xénophobies (1998), éd. Grasset, 1998, p. 45


« La sexualité d’un gosse, c’est absolument fantastique. [...] Vous savez quand une petite fille de 5 ans, 5 ans et demi, commence à vous déshabiller, c’est fantastique, c’est fantastique parce que c’est un jeu, c’est un jeu absolument érotico-maniaque ! »

— Daniel Cohn-Bendit, « Apostrophes », Antenne 2, 23 avril 1982


« L’Europe pour moi, cela veut dire avant tout liberté de circulation des idées, pour faire exploser les structures nationales et les vieux schémas. »

— Daniel Cohn-Bendit, Le Monde, 9 décembre 1975


« Un des problèmes du jardin d’enfants, c’est que les libéraux admettent, à la rigueur, l’existence de la sexualité, alors que nous, on essayait de la développer, d’avoir un comportement qui permette aux enfants de réaliser leur sexualité. »

— Daniel Cohn-Bendit, Le Grand bazar (1975), éd. Belfond, 1975, p. 163


« Il m’était arrivé plusieurs fois que certains gosses ouvrent ma braguette et commencent à me chatouiller. Je réagissais de manière différente selon les circonstances, mais leur désir me posait un problème. [...] Mais s’ils insistaient, je les caressais quand même. Alors on m’accusait de “perversion”. »

— Daniel Cohn-Bendit, Le Grand bazar (1975), éd. Belfond, 1975, p. 159


« Mon flirt permanent avec tous les gosses prenait vite des formes d’érotisme. Je sentais vraiment que les petites filles à cinq ans avaient déjà appris comment m’emmener en bateau, me draguer. C’est incroyable. La plupart du temps, j’étais assez désarmé. »

— Daniel Cohn-Bendit, Le Grand bazar (1975), éd. Belfond, 1975, p. 156


« Les parents m’ont accepté comme “éducateur”. J’ai travaillé pendant deux ans dans ce jardin. Il y avait des gosses entre deux et cinq ans. C’était une expérience fantastique. [...] Je voulais que les gosses aient envie de moi et je faisais tout pour qu’ils dépendent de moi. Je crois que c’est le problème de toutes les grandes personnes avec les enfants. »

— Daniel Cohn-Bendit, Le Grand bazar (1975), éd. Belfond, 1975, p. 155-156