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« Il n’est rien au monde d’aussi puissant qu’une idée dont l’heure est venue. »
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[http://fr.wikipedia.org/wiki/Victor_Hugo Victor Hugo], Les Orientales
 
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Version du 11 novembre 2011 à 19:07

Culture

« Il n’est rien au monde d’aussi puissant qu’une idée dont l’heure est venue. »

Victor Hugo

Truth

« La vérité est comme le soleil. Elle fait tout voir et ne se laisse pas regarder. »

Victor Hugo, Tas de pierres

Anti-communism

« On nous place entre les deux alternatives, la république rouge ou le socialisme, c'est-à-dire la bourse ou la vie. »

Victor Hugo, Choses vues

« Communisme : rêve de quelques-uns, cauchemar de tous. »

Victor Hugo, Choses vues

« Communistes : votre ennemi c'est le mur mitoyen. Le mien, c'est le despotisme. J'aime mieux escalader les trônes que la haie du voisin. »

Victor Hugo, Choses vues

Racism

« Quelle terre que cette Afrique ! L’Asie a son histoire, l’Australie elle-même a son histoire qui date du commencement dans la mémoire humaine : L’Afrique n’a pas d’histoire. »

Victor Hugo

Family

« Ô l'amour d'une mère ! amour que nul n'oublie !
Pain merveilleux qu'un dieu partage et multiplie !
Table toujours servie au paternel foyer !
Chacun en a sa part et tous l'ont tout entier ! »

Victor Hugo, Les Feuilles d’automne

God

« Car le mot, c'est le Verbe, et le Verbe c'est Dieu. »

Victor Hugo, Les Contemplations

War

« La guerre, c'est la guerre des hommes ; la paix, c'est la guerre des idées. »

Victor Hugo

« Les Turcs ont passé là. Tout est ruine et deuil.
Chio, l'île des vins, n'est plus qu'un sombre écueil,
Chio, qu'ombrageaient les charmilles,
Chio, qui dans les flots reflétait ses grands bois,
Ses coteaux, ses palais, et le soir quelquefois
Un chœur dansant de jeunes filles.

Tout est désert. Mais non ; seul près des murs noircis,
Un enfant aux yeux bleus, un enfant grec, assis,
Courbait sa tête humiliée ;
Il avait pour asile, il avait pour appui
Une blanche aubépine, une fleur, comme lui
Dans le grand ravage oubliée.

Ah ! pauvre enfant, pieds nus sur les rocs anguleux !
Hélas ! pour essuyer les pleurs de tes yeux bleus
Comme le ciel et comme l'onde,
Pour que dans leur azur, de larmes orageux,
Passe le vif éclair de la joie et des jeux,
Pour relever ta tète blonde,

Que veux-tu ? Bel enfant, que te faut-il donner
Pour rattacher gaîment et gaîment ramener
En boucles sur ta blanche épaule
Ces cheveux, qui du fer n'ont pas subi l'affront,
Et qui pleurent épars autour de ton beau front,
Comme les feuilles sur le saule ?

Qui pourrait dissiper tes chagrins nébuleux ?
Est-ce d'avoir ce lys, bleu comme tes yeux bleus,
Qui d'Iran borde le puits sombre ?
Ou le fruit du tuba, de cet arbre si grand,
Qu'un cheval au galop met, toujours en courant,
Cent ans à sortir de son ombre ?

Veux-tu, pour me sourire, un bel oiseau des bois,
Qui chante avec un chant plus doux que le hautbois,
Plus éclatant que les cymbales ?
Que veux-tu ? fleur, beau fruit, ou l'oiseau merveilleux ?

- Ami, dit l'enfant grec, dit l'enfant aux yeux bleus,
Je veux de la poudre et des balles. »

Victor Hugo, Les Orientales