Francis Parker Yockey
Citationes
« La race humaine dans son ensemble est une femme ; les vieillards de deux sexes comptent comme des femmes, et pour l’essentiel les enfants aussi. L’homme est ainsi une variation. L’homme est une révolte. L’homme supérieur est le plus grand défie de cette révolte, et ainsi en cet instant de l’histoire il n’est pas seulement le plus haut point de la Culture la plus intense, mais aussi le plus haut point de l’Idée de l’Homme même qui est ici atteinte. »
« Si la domination américaine continue pendant cinquante ans, il n’y aura plus aucune possibilité d’Imperium. La raison est que l’Amérique est en train de civiliser tout le monde de couleur, introduisant la technique occidentale partout. Mais cette supériorité technique est notre seul espoir. Sans doute, ils ne pourront jamais avoir notre originalité. Mais cette originalité n’est pas absolue, et quand le monde extérieur approchera d’une parité technique avec nous, le nombre entrera en jeu. Le monde de couleur nous dépasse en nombre de cinq contre un. »
« Encourager une croisade contre le Bolchevisme de Moscou fait simplement le jeu du régime de Washington. »
« D’abord, et le plus important de tout pour ceux d’entre nous qui croient à la Libération de l’Europe et à l’Imperium de l’Europe : c’est le commencement de la fin de l’hégémonie américaine en Europe. »
« Aux “idéaux” anti-spirituels, anti-héroïque de l’Amérique-juiverie, l’Europe oppose ses idées métaphysiques, sa foi en son destin, ses principes éthiques, son héroïsme. Sans crainte, l’Europe se rassemble pour la bataille, sachant qu’elle possède l’arme la plus puissante jamais forgée par l’Histoire : le destin supra-personnel de l’organisme européen. Notre mission européenne est de créer l’Imperium-nation-État-culture de l’occident, et ainsi nous accomplirons de telles action, accomplirons de tels travaux, et transformerons tellement notre monde que notre descendance lointaine, en voyant les vestiges de nos édifices et de nos remparts, dira à ses petits-enfants qu’une tribu de dieux vivait jadis sur le sol de l’Europe. »
« L’Europe reconnaît aussi son ennemi intérieur : quiconque poursuit une politique autre que celle d’une Europe souveraine, que ce soit la politique de l’Amérique-juiverie ou de la Russie, est l’ennemi intérieur. Les étatistes étroits et les nationalistes étroits tombent au niveau des espions et des agents de l’étranger. La loyauté envers l’Europe exclut toute autre loyauté politique. Aucun Européen ne doit plus aucun allégeance au petit État de sa naissance, car tous ces minuscules et antiques États sont maintenant de simples instruments anti-européens dans les mains de notre ennemi, le régime de Washington. »
« C’est l’âge de la politique absolue, et sa signification est l’accomplissement du destin de la civilisation occidentale : la formation de l’Imperium européen et la réalisation de sa mission mondiale. »
« L’Amérique a le pouvoir en Europe, et, par conséquent, l’Amérique est l’ennemi. »
« La famine bien planifiée et systématiquement exécutée par l’occupation américano-juive en Allemagne durant la période 1945-1948 tua approximativement trois millions de personnes. »
« L’Amérique ne peut que diviser l’Europe, quelle que soit sa politique.
La Russie ne peut qu’unir l’Europe que qu’unir l’Europe, quelle que soit sa politique.
[...] une domination russe-barbare sur toute l’Europe [...] serait moins dommageable pour le destin de l’Europe qu’une continuation de la domination américano-juive, car le barbare, par sa seule présence, dissoudrait l’ennemi intérieur de l’Europe [...] et unirait l’Europe spirituellement. »
« L’âme Russe est trop virile pour pouvoir être étranglée par quelque chose d’étranger. C’est pourquoi l’entité juive, en dépit de la position dominante qu’elle avait atteinte avec la Révolution de 1917, fut incapable de maintenir son règne inconditionnel. L’expulsion de Trotski en 1928 marque le début du déclin de la juiverie en Russie. »
« [...] les nations européennes sortiront de l’abysse comme une unité, ou elles n’en sortiront jamais. [...]
Soit l’Europe s’unira dans cette idée éthique, soit elle restera pour toujours une collection de provinces sur lesquelles les forces extérieures mèneront leurs guerres de pillage. »
« [...] le darwinisme reflète la vision-du-monde compétitive individualiste anglaise ; le matérialisme, le juridisme, le capitalisme, l’éthique sociale — tous sont de provenance anglais, et ils furent les fondations du XIXe siècle. »
« Pour le darwinisme, une cathédrale gothique est un produit de l’évolution mécanique ; pour Marx, c’est un piège de la bourgeoisie pour tromper le prolétaire ; pour Freud c’est une preuve de sexualité gelée. »
“Mediocrity rises over the horizon of a dying race as its last great ideal [...].”
- « La médiocrité se lève à l’horizon d’une race mourante comme son dernier grand idéal [...]. »
- — (fr) Francis Parker Yockey, Imperium (1948), trad. Jean-François Hivernat, éd. Avatar, coll. « Heartland », 2008 (ISBN 9780955513275), p. 212
“Feminism liberated women from the natural dignity of their sex and turned them into inferior men.”
- « Le féminisme libéra les femmes de la dignité naturelle de leur sexe et les transforma en homme inférieurs. »
- — (fr) Francis Parker Yockey, Imperium (1948), trad. Jean-François Hivernat, éd. Avatar, coll. « Heartland », 2008 (ISBN 9780955513275), p. 269
“Thus it is obvious that the mutual contact of the West and the Jew had an opposite signification for the two organisms. To the Jew, it was a source of strength, and informing; to the West it was a drain of strength, and deforming. The Jew was within the West, but the West was not within him. Persecution strengthens, if it stops short of extermination. The quotation which stands at the beginning of this work is as true for the West now as it was for the Jew in the early days.”
- « Il est donc évident que le contact mutuel entre l’Occident et le juif eut une signification opposée pour les deux organismes. Pour le juif, il fut une source de force, et d’inspiration ; pour l’Occident, il fut une perte de force, et fut déformant. Le juif était à l’intérieur de l’Occident, mais l’Occident n’était pas à l’intérieur du juif. La persécution renforce, si elle s’arrête avant l’extermination. »
- — (fr) Francis Parker Yockey, Imperium (1948), éd. Avatar, coll. « Heartland », 2008 (ISBN 9780955513275), p. 289-290
“American nationalism has no connection with a grand tradition of life, thought, and action. It finds itself charged with a politically revolutionary mission, but the American people is not revolutionary. Its reaction to a Cultural disease is in a crude racial form. It faces a mighty political task, but is unconscious of the necessities of power-thinking.”
- « Le nationalisme américain n’a aucun lien avec une grande tradition de vie, de pensée et d’action. Il se retrouve chargé d’une mission politiquement révolutionnaire, mais le peuple américain n’est pas révolutionnaire. Sa réaction à la maladie de la Culture se fait sous une forme raciale grossière. Il fait face à une puissante tâche politique, mais est inconscient des nécessités de la pensée du pouvoir. »
- — (fr) Francis Parker Yockey, Imperium (1948), trad. Jean-François Hivernat, éd. Avatar, coll. « Heartland », 2008 (ISBN 9780955513275), p. 378-379
“This propaganda announced that 6,000,000 members of the Jewish Culture-Nation-State-Church-People-Race had been killed in European camps, as well as an indeterminate number of other people. The propaganda was on a world-wide scale, and was of a mendacity that was perhaps adapted to a uniformized mass, but was simply disgusting to discriminating Europeans. The propaganda was technically quite complete. “Photographs” were supplied in millions of copies. Thousands of the people who had been killed published accounts of their experiences in these camps. Hundreds of thousands more made fortunes in post-war black-markets. “Gas-chambers” that did not exist were photographed, and a “gasmobile” was invented to titillate the mechanically-minded.”
- « Cette propagande annonça que six millions de membres de la race-peuple-religion-État-nation-Culture juive avaient été tués dans des camps européens, ainsi qu’un nombre indéterminé d’autres gens. La propagande fut faite à une échelle mondiale, et fut d’une malhonnêteté qui était peut-être adaptée à une masse uniformisée, mais qui était simplement répugnante pour les Européens avertis. La propagande fut techniquement très complète. Des “photographies” furent diffusées par millions de copies. Des milliers de gens parmi ceux qui avaient été “tués” publièrent des récits de leurs expériences dans ces camps. Des centaines de milliers d’autre firent fortune dans le marché noir de l’après-guerre. Des “chambres à gaz” qui n’existaient pas ont été photographiées, et un “camion à gaz” a été inventée pour titiller les esprits mécaniques. »
- — (fr) Francis Parker Yockey, Imperium (1948), trad. Jean-François Hivernat, éd. Avatar, coll. « Heartland », 2008 (ISBN 9780955513275), p. 364
“Moral propaganda thus stands forth in its nakedness — in the 20th century it is a means of fighting a war after the war, a war not this time against a State with weapons in its hands, but against the survivors of the defeat. Here in is the true significance of a phenomenon that mystified many persons at that time — I refer to the “concentration camp” propaganda against Europe, which was developed to its full height after the Second World War. This propaganda was solely for the purpose of a war after the war, thus not a true war, since there was no opposing unit, but an attempt to rouse extra- European populations and extra-European armies of occupation to ever- renewed ferocity and personal hatred against a defenseless European population.”
- « La propagande morale apparaît ainsi dans toute sa nudité : au XXème siècle, c’est un moyen pour faire une guerre après la guerre, cette fois-ci pas une guerre les armes à la main contre un État, mais contre les survivants de la défaite. Là se trouve la vraie signification d’un phénomène qui mystifia beaucoup de gens à cette époque — je veux parler de la propagande des “camps de concentration” utilisée contre l’Europe, qui fut développée dans sa pleine intensité après la deuxième guerre mondiale. Cette propagande avait pour seul but une guerre après la guerre, donc pas une vraie guerre, puisqu’il n’y avait pas d’unité opposante, mais une tentative pour pousser des populations extra-européennes et des armées d’occupation extra-européennes à une férocité et à une haine personnelle inégalées contre une population européenne sans défense. »
- — (fr) Francis Parker Yockey, Imperium (1948), trad. Jean-François Hivernat, éd. Avatar, coll. « Heartland », 2008 (ISBN 9780955513275), p. 141
“Culture-parasitism arises in the same way that parasitism arises in politics. A parasite is simply a life-form which lives in or on the body of another life-form at its expense. It involves thus the direction of part of the energy of the host into a direction alien to its interest. This is quite inevitable: if the energy of an organism is being spent for something other than its own development, it is being wasted. Parasitism is inevitably harmful to the host. The harm increases in proportion to the growth and spreading of the parasite.
Any group which takes no part in the Culture-feeling, but which lives within the Culture-body, necessarily involves a loss to the Culture. Such groups form areas of anesthetic tissue, as it were, in the Culture body. Such a group, by standing outside the historical necessity, the Destiny of the Culture, inevitably militates against that Destiny. This phenomenon is in no way dependent on human will. The parasite is spiritually without, but physically within. The effects on the host-organism are deleterious both physically and spiritually.”
- « Le parasitisme de la Culture surgit de la même manière que le parasitisme surgit en politique. Un parasite est simplement une forme de vie qui vit dans ou sur le corps d’une autre forme de vie, à ses dépens. Cela implique donc qu’une partie de l’énergie de l’hôte est dirigée dans une direction étrangère à ses intérêts. C’est complètement inévitable : si l’énergie d’un organisme est utilisé pour quelque chose d’autre que son propre développement, elle est gaspillée. Le parasitisme est inévitablement nuisible à l’hôte. Le mal s’accroît en proportion de la croissance et de la diffusion du parasite.
- Tout groupe qui ne prend pas part au sentiment de la Culture, mais qui vit à l’intérieur du corps de la Culture, implique nécessairement une part pour la Culture, une perte pour la Culture. De tels groupes forment des zones de tissu inesthétique, pour ainsi dire, dans le corps de la Culture. Un tel groupe, en se tenant en dehors de la nécessité historique, le destin de la Culture, milite inévitablement contre ce destin. Ce phénomène n’est en aucune manière dépendant de la volonté humaine. Le parasite est spirituellement extérieur, mais physiquement à l’intérieur. Les effets sur l’organisme-hôte sont néfastes à la fois physiquement et spirituellement. »
- — (fr) Francis Parker Yockey, Imperium (1948), trad. Jean-François Hivernat, éd. Avatar, coll. « Heartland », 2008 (ISBN 9780955513275), p. 263
“Race is the material of History, it is the treasure which a population brings to an Idea. The stronger the racial instincts of the population, the greater its promise of victory. Consequently anything which strikes at the strength of these instincts is the enemy of the highest significance, and even of the very existence, of the race. These instincts are self-preservation, fruitfulness, increase of power. Without these there is no Idea, no History — there is only the collection of human grains of sand — and later a pyramid of skulls erected by outer barbarians.
Thus the whole liberal-democratic ideology, with its “individualism” that is a mere negation of everything superpersonal, its “happiness” ideal that encourages every weakness and self-indulgence, its erotomania which distorts the whole sexual life into a barren disease of the will, its “tolerance” which seeks to break down the cohesion of the race by denying its existence, its materialism which denies all spiritual values, all higher significance of human life, its pacifism which values weakness above virility, its ideal of Mediocrity by which it opposes every creative man and the Idea he represents in History, its cult of the proletarian as the highest element, its total renunciation of the Soul of Man — this is the great enemy of Race.”
- « La race est le matériel de l’Histoire, elle est le trésor qu’une population apporte à une Idée. Plus les instincts raciaux d’une population sont forts, plus sa promesse de victoire est grande. Par conséquent, tout ce qui touche à la force de ces instinct est l’ennemi de la signification supérieure de la race, et même de son existence. Ces instincts sont l’auto-préservation, la fécondité, l’accroissement de puissance. Sans ces instincts, il n’y a pas d’Idée, pas d’Histoire — il y a seulement une collection de grains de sable humains — et plus tard une pyramide de crânes érigée par des barbares extérieurs.
- Ainsi toute l’idéologie libérale-démocratique, avec son “individualisme” : qui est une simple négation de tout ce qui est supra-personnel, son idéal du “bonheur” qui encourage toutes les faiblesses et tous les apitoiements sur soi-même, sa manie érotique qui déforme toute la vie sexuelle pour en faire une stérile maladie de la volonté, sa “tolérance” qui cherche à briser la cohésion de la race en niant son existence, son matérialisme qui nie toutes les valeurs spirituelles, toute signification supérieure de la vie humaine, son pacifisme qui place la faiblesse au-dessus de la virilité, son idéal de la médiocrité par lequel elle s’oppose à tout homme créatif et a l’Idée qu’il représente dans l’Histoire, son culte du prolétaire comme élément le plus élevé, sa totale renonciation à l’âme de l’Homme — voilà le grand ennemi de la race. »
- — (fr) Francis Parker Yockey, Imperium (1948), trad. Jean-François Hivernat, éd. Avatar, coll. « Heartland », 2008 (ISBN 9780955513275), p. 216
“Every race, no matter how transitory it may be contemplated from the viewpoint of History, expresses a certain idea, a certain plane of existence by its life, and its idea is bound to be attractive to some individuals outside it. Thus in Western life, we are not unfamiliar with the man who, after associating with Jews, reading their literature, and adopting their viewpoint, actually becomes a Jew in the fullest sense of the word. It is not necessary that he have “Jewish blood.” The converse is also known: many Jews have adopted Western feelings and rhythms, and have thereby acquired Western race. This process — contemptuously called “assimilation” by the Jewish leaders — threatened during the 19th century the very existence of the Jewish race by ultimate absorption of its total racial body into the Western races. To halt it, the leaders of the Jews evolved the program of Zionism, which was solely an expedient for maintaining the unity of the Jewish race, and maintaining its continued existence as such. For this reason they also recognized the value of anti-semitism of the social type. It was serving the same purpose of preserving the racial unity of the Jews.
The dying out of racial instincts means the same thing to an individual as it does to a race, people, nation, State, Culture: unfruitfulness, lack of will-to-power, lack of ability to believe in or follow great aims, lack of inner discipline, desire for a life of ease and pleasure.
The symptoms of this racial decadence in various parts of the Western Civilization are manifold. There is first the ghastly distortion of the sexual life arising from the complete dissociation of sexual love from reproduction. The great symbol of this in the Western Civilization is everything suggested by the name Hollywood. The message of Hollywood is the total significance of sexual love as an end in itself — the erotic without consequences. The sexual love of two grains of sand, two rootless individuals, not the primeval sexual love looking to the continuity of Life, the family of many children. One child is permitted, as being a more complicated toy than a dog, perhaps even two, one boy and one girl — but the family of many children is a subject for humor to this decadent outlook.”
- « Chaque race, quel que soit le caractère transitoire qu’elle peut présenter du point de vue de l’Histoire, exprime une certaine idée, un certain plan de l’existence par sa vie, et son idée est destinée à séduire certains individus en-dehors d’elle. Ainsi, dans la vie occidentale, nous connaissons bien l’homme qui, après s’être associé aux juifs, lu leur littérature, et adopté leur point de vue, devient véritablement un juif au plein sens du mot. Il n’est pas nécessaire qu’il ait du “sang juif”. L’inverse est connu aussi : de nombreux juifs ont adopté les sentiments et les rythmes occidentaux, et on ainsi acquis la race occidentale. Ce processus — dédaigneusement appelé “assimilation” par les dirigeants juifs — menaça durant le XIXème siècle l’existence même de la race juive par absorption finale de son organisme racial complet dans les races occidentales. Pour stopper cela, les dirigeants juifs développèrent le programme du sionisme, qui était seulement un expédient pour maintenir l’unité de la race juive, et pour maintenir son existence en tant que telle. Pour cette raison ils reconnurent aussi la valeur de l’antisémitisme de type social. Il servait le même objectif de préservation de l’unité raciale des juifs.
- La disparition des instincts raciaux signifie la même chose pour un individu que pour une race, un peuple, une nation, un État, une Culture : stérilité, manque de volonté de puissance, manque de capacité à croire ou à poursuivre de grands buts, manque de discipline intérieure, désir 'une vie de bien-être et de plaisir.
- Les symptômes de cette décadence raciale dans diverses parties de la Civilisation Occidentale sont innombrables. Il y a d’abord l’affreuse déformation de la vie sexuelle naissant de la complète dissociation de l’amour sexuel et de la reproduction. Le grand symbole de cela dans la Civilisation Occidentale est tout ce qui est associé au nom d’Hollywood. Le message d’Hollywood est la signification totale de l’amour sexuel comme fin en soi — l’érotisme sans les conséquences. L’amour sexuel de deux grains de sable, deux individus sans racines, pas l’amour sexuel primordial recherchant la continuité de la vie, la famille avec beaucoup d’enfants. Un enfant est autorisé, comme un jouet plus compliqué qu’un chien, peut-être même deux, un garçon et une fille, mais la famille avec beaucoup d’enfants est un objet de moquerie pour cette vision décadente. »
- — (fr) Francis Parker Yockey, Imperium (1948), trad. Jean-François Hivernat, éd. Avatar, coll. « Heartland », 2008 (ISBN 9780955513275), p. 211-212
“This is their valuation of life: the longest life is the best life. To this mentality, a short and heroic life is sad, not inspiring. Heroism generally is thus merely foolish, since indefinitely prolonged life is the aim of “Progress”.”
- « C’est leur estimation de la vie : la vie la plus longue est la meilleure. Pour cette mentalité, une vie courte et héroïque est triste, pas attirante. L’héroïsme est donc généralement stupide, puisque la prolongation indéfinie de la vie est le but du “progrès”. »
- — (fr) Francis Parker Yockey, Imperium (1948), trad. Jean-François Hivernat, éd. Avatar, coll. « Heartland », 2008 (ISBN 9780955513275), p. 53-54
“Liberalism is, in one word, weakness. It wants every day to be a birthday, Life to be a long party. The inexorable movement of Time, Destiny, History, the cruelty of accomplishment, sternness, heroism, sacrifice, super-personal ideas — these are the enemy. Liberalism is an escape from hardness into softness, from masculinity into femininity, from History to herd-grazing, from reality into herbivorous dreams, from Destiny into Happiness.”
- « Le Libéralisme est, en un mot, de la faiblesse. Il désire que chaque jour soit un anniversaire, la vie une longue fête. L’inexorable mouvement du temps, le destin, l’Histoire, la cruauté de l’accomplissement, la dureté, l’héroïsme, le sacrifice, les Idées supra-personnelles — voilà l’ennemi.
- Le Libéralisme est une évasion, de la dureté à la douceur, de la masculinité à la féminité, de l’Histoire au troupeau en train de brouter, de la réalité aux rêves d’herbivores, du destin au bonheur. »
- — (fr) Francis Parker Yockey, Imperium (1948), trad. Jean-François Hivernat, éd. Avatar, coll. « Heartland », 2008 (ISBN 9780955513275), p. 162
“Alliance does not mean love, any more than war means hate.”
- « Alliance ne signifie pas amour, pas plus que guerre ne signifie haine. »
- — (fr) Francis Parker Yockey, Imperium (1948), trad. Jean-François Hivernat, éd. Avatar, coll. « Heartland », 2008 (ISBN 9780955513275), p. 105
“The actual form of the Revolution when it did occur was dual: there was a revolt of the primitive Russian soul against the Western Romanov regime and all that it represented, and there was a simultaneous assumption of the leadership of this revolt by the Jewish Culture-Nation-State-Race. The necessary financing was procured in New York from members of the Culturedistorting group in America.”
- « Lorsque la Révolution survint, sa forme fut double : il y eut une révolte de l’âme russe primitive contre le régime occidental des Romanov et tout ce qu’il représentait, et il y eut une appropriation simultanée de la direction de cette révolte par la Culture-nation-État-race juive. Le financement nécessaire fut trouvé à New York chez des membres du groupe déformeur de Culture en Amérique. »
- — (fr) Francis Parker Yockey, Imperium (1948), trad. Jean-François Hivernat, éd. Avatar, coll. « Heartland », 2008 (ISBN 9780955513275), p. 396
“[...] extra-European armies are moving freely about Europe, armies containing Negroes, Mongols, Turkestani, Kirghizians, Americans, Armenians, colonials and Asiatics of all areas. How did this happen?”
- « [...] des armées extra-européennes se déplacent librement en Europe, des armées contenant des Nègres, des Mongols, des Turcomans, des Kirghizes, des Américains, des Arméniens, des coloniaux et des asiatiques de toutes sortes. Comment cela est-il arrivé ? »
- — (fr) Francis Parker Yockey, Imperium (1948), trad. Jean-François Hivernat, éd. Avatar, coll. « Heartland », 2008 (ISBN 9780955513275), p. 62
“Music is seldom heard in America, having been replaced by the cultureless drum-beating of the Negro.”
- « La musique est rarement entendue en Amérique, ayant été remplacée par le battement de tambour primitif du Nègre. »
- — (fr) Francis Parker Yockey, Imperium (1948), trad. Jean-François Hivernat, éd. Avatar, coll. « Heartland », 2008 (ISBN 9780955513275), p. 345
Textus
- (en)Imperium - Francis Parker Yockey
- (fr)Proclamation de Londres - Francis Parker Yockey
- (en)The Proclamation of London - Francis Parker Yockey