Différences entre les versions de « Homère »
Ligne 1 : | Ligne 1 : | ||
{{Image|Homère|}} | {{Image|Homère|}} | ||
== Citationes == | == Citationes == | ||
+ | |||
+ | « C’est moi qui suis Ulysse, oui, ce fils de Laërte de qui le monde entier chante toutes les ruses et porte aux nues la gloire. Ma demeure d’Ithaque est perchée comme une aire, sous le Nérite aux bois tremblants, au beau profil. Des îles habitées se pressent tout autour, Doulichion, Samé, Zante la forestière ; mais, au fond du noroît, sur la mer, mon Ithaque apparaît la plus basse, laissant à l’est et au midi les autres îles. Elle n’est que rocher, mais nourrit de beaux gars : cette terre ! '''Il n’est rien à mes yeux de plus doux.''' » | ||
+ | {{Réf Livre | ||
+ | |auteur=Homère | ||
+ | |titre=Iliade | ||
+ | |traducteur=Paul Mazon | ||
+ | |éditeur=Gallimard | ||
+ | |collection=Folio | ||
+ | |année=1991 | ||
+ | |ISBN=9782070367009 | ||
+ | |partie=II | ||
+ | |page=190}} | ||
« '''Avoir trop de chefs ne vaut rien : qu’un seul soit chef, qu’un seul soit roi''' [...]. » | « '''Avoir trop de chefs ne vaut rien : qu’un seul soit chef, qu’un seul soit roi''' [...]. » |
Version du 25 juin 2021 à 19:22
Citationes
« C’est moi qui suis Ulysse, oui, ce fils de Laërte de qui le monde entier chante toutes les ruses et porte aux nues la gloire. Ma demeure d’Ithaque est perchée comme une aire, sous le Nérite aux bois tremblants, au beau profil. Des îles habitées se pressent tout autour, Doulichion, Samé, Zante la forestière ; mais, au fond du noroît, sur la mer, mon Ithaque apparaît la plus basse, laissant à l’est et au midi les autres îles. Elle n’est que rocher, mais nourrit de beaux gars : cette terre ! Il n’est rien à mes yeux de plus doux. »
— Homère, Iliade, trad. Paul Mazon, éd. Gallimard, coll. « Folio », 1991 (ISBN 9782070367009), partie II, p. 190
« Avoir trop de chefs ne vaut rien : qu’un seul soit chef, qu’un seul soit roi [...]. »
— Homère, Iliade, trad. Paul Mazon, éd. Gallimard, coll. « Folio », 1991 (ISBN 9782070367009), partie II, p. 59