Différences entre les versions de « Daniel Cohn-Bendit »

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== Citations ==
 
== Citations ==
  
« Quand une petite fille de 5 ans, 5 ans et demi, commence à vous déshabiller, c’est fantastique, c’est fantastique parce que c’est un jeu, c’est un jeu absolument éroticomaniaque ! Alors imaginez quand c’est votre propre fille !... »
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« La sexualité d’un gosse, c’est absolument fantastique. [...] '''Vous savez quand une petite fille de 5 ans, 5 ans et demi, commence à vous déshabiller, c’est fantastique''', c’est fantastique parce que c’est un jeu, c’est un jeu absolument éroticomaniaque ! »
  
— Daniel Cohn-Bendit
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— Daniel Cohn-Bendit, Antenne 2, 23 avril 1982
  
  

Version du 28 octobre 2023 à 21:32

Citations

« La sexualité d’un gosse, c’est absolument fantastique. [...] Vous savez quand une petite fille de 5 ans, 5 ans et demi, commence à vous déshabiller, c’est fantastique, c’est fantastique parce que c’est un jeu, c’est un jeu absolument éroticomaniaque ! »

— Daniel Cohn-Bendit, Antenne 2, 23 avril 1982


« Un des problèmes du jardin d’enfants, c’est que les libéraux admettent, à la rigueur, l’existence de la sexualité, alors que nous, on essayait de la développer, d’avoir un comportement qui permette aux enfants de réaliser leur sexualité. »

— Daniel Cohn-Bendit, La Grand bazar (1975), éd. Belfond, 1975, p. 163


« Il m’était arrivé plusieurs fois que certains gosses ouvrent ma braguette et commencent à me chatouiller. Je réagissais de manière différente selon les circonstances, mais leur désir me posait un problème. [...] Mais s’ils insistaient, je les caressais quand même. Alors on m’accusait de “perversion”. »

— Daniel Cohn-Bendit, La Grand bazar (1975), éd. Belfond, 1975, p. 159


« Mon flirt permanent avec tous les gosses prenait vite des formes d’érotisme. Je sentais vraiment que les petites filles à cinq ans avaient déjà appris comment m’emmener en bateau, me draguer. C’est incroyable. La plupart du temps, j’étais assez désarmé. »

— Daniel Cohn-Bendit, La Grand bazar (1975), éd. Belfond, 1975, p. 156


« Les parents m’ont accepté comme “éducateur”. J’ai travaillé pendant deux ans dans ce jardin. Il y avait des gosses entre deux et cinq ans. C’était une expérience fantastique. [...] Je voulais que les gosses aient envie de moi et je faisais tout pour qu’ils dépendent de moi. Je crois que c’est le problème de toutes les grandes personnes avec les enfants. »

— Daniel Cohn-Bendit, La Grand bazar (1975), éd. Belfond, 1975, p. 155-156