Différences entre les versions de « Otto Weininger »
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« La sexualité se sert de la femme comme d’un moyen de parvenir au plaisir et d’avoir des enfants ; l’érotisme l’utilise comme un moyen de se hausser au niveau des valeurs et en vue de la création, c’est-à-dire de l’enfant spirituel. » | « La sexualité se sert de la femme comme d’un moyen de parvenir au plaisir et d’avoir des enfants ; l’érotisme l’utilise comme un moyen de se hausser au niveau des valeurs et en vue de la création, c’est-à-dire de l’enfant spirituel. » |
Version du 5 mai 2020 à 13:03
Citationes
« Le Christ est le plus grand des hommes parce qu’il s’est mesuré à l’ennemi le plus grand. »
« Un autre fait semblerait montrer l’existence d’un lien étroit entre le Juif et la femme, c’est qu’aucune femme au monde ne représente mieux, même aux yeux des Aryens, l’idée de la femme que la femme juive [...]. »
« Il ne fait en effet pas de doute que de tous les peuples germaniques, ce sont les Anglais qui se rapprocheraient le plus des sémites. Leur orthodoxie, leur stricte observance du sabbat, le montre déjà. La religiosité des Anglais est souvent proche de la fausse dévotion, leur ascétisme, de la pruderie. »
« [...] les Juifs n’ont jamais donné au monde aucun grand homme véritable, pourquoi, en d’autres termes, le génie ne se rencontre pas plus chez le Juif que chez la femme, qu’il lui est pour ainsi dire refusé. »
« [...] le Juif est l’effaceur de limites par excellences. Il est par là l’opposé même de l’aristocrate. C’est un communiste-né, qui en toutes circonstances veut la communauté. »
« Ce qui manque à a femme comme au Juif est la grandeur tant dans le bien que dans le mal. »
« Le socialisme est aryen (Owen, Carlyle, Ruskin, Fichte), le communisme, juif (Marx). »
« Quiconque a réfléchi à la fois sur la femme et sur les Juifs aura pu constater non sans étonnement combien le Juif est pénétré de cette féminité dont on a vu plus haut qu’elle n’est rien de plus que la négation de toutes les qualités masculines. »
« [...] la femme n’est que le péché de l’homme [...]. »
« La femme ne veut pas être traitée comme un sujet, son but est la passivité, qui ne fait qu’un avec la féminité même ; elle veut pouvoir sentir qu’une volonté est dirigée sur elle et se soucie peu qu’on la craigne ou qu’on la ménage : elle ne veut pas compter. Son besoin est d’être désirée comme un corps, possédée comme un bien […]. »
« La sexualité se sert de la femme comme d’un moyen de parvenir au plaisir et d’avoir des enfants ; l’érotisme l’utilise comme un moyen de se hausser au niveau des valeurs et en vue de la création, c’est-à-dire de l’enfant spirituel. »
« Au lieu de continuer à assumer et à supporter le poids de cette culpabilité, l’homme cherche dans l’amour à s’en libérer, cherche dans l’amour le bonheur. Au lieu de réaliser par lui-même l’idée de la perfection, il veut la voir déjà réalisée, il veut voir le miracle accompli chez autrui (et c’est bien là la plus subtile des ruses de l’amour) à seule fin d’obtenir sa propre délivrance sans combat. C’est ce qui explique que l’amour soit si profondément lié au besoin de rédemption. »
« L’amour et le désir sont deux états si différents, qui s’excluent à tel point l’un l’autre, qui sont si opposés, qu’aux instant où un homme aime vraiment, l’union physique avec l’être aimé lui est un idée impensable. [...] Qui prétendrait aimer une femme qu’il désire ment, ou n’a jamais aimé. C’est pourquoi également parler d’amour dans le mariage apparaît presque toujours comme une hypocrisie. L’attraction sexuelle croît avec la proximité physique, l’amour a besoin de l’aliment de la séparation et de la distance. [...] Pour l’homme supérieurement différencié, le grand esprit, la femme qu’il aime et la femme qu’il désire sont deux êtres totalement différents.
L’amour “platonique” existe donc bel et bien, ou mieux encore, il n’y a d’amour que “platonique”. Tout le reste est bestialité. »
« [...] il n’est pas possible d’avoir vraiment réfléchi sur les femmes et de continuer de s’en faire une haute idée ; il n’y a que deux catégories d’hommes : ceux qui méprisent la femme et ceux qui ne se sont jamais posé de questions à son sujet. »
« [...] les mères sont la racine permanente de l’espèce, ce rhizome sans fin, ce fond duquel l’homme se détache en tant qu’individu pour prendre conscience de son caractère éphémère. »
« La maternité est un phénomène aussi général que la sexualité et elle présente autant de nuances. Elle n’attend pas que l’enfant soit là pour s’exprimer, mais se révèle dans tout le comportement. Il est extrêmement intéressant de voir à cet égard comment la jeune fille maternelle est avec l’homme qu’elle aime. Celui-ci est en effet pour elle déjà un enfant. »
« Mon propos n’est que de rappeler que le mariage est une institution de droit et que tout ce qui est du domaine du droit vient de l’homme, la femme n’étant à l’origine que d’un grand nombre de mœurs [...]. »
« Schopenhauer a fait la remarque qu’un homme devrait dater à strictement parer son existence du jour où son père et sa mère se sont épris l’une de l’autre. Je ferais pour ma part remonter la naissance de l’enfant au moment où sa mère aperçoit pour la première fois son père ou en entend pour la première fois la voix. »
« On ne peut parler de la mère sans parler également de son opposé exact, la courtisane. La femme est mère ou courtisane, et non mère ou amante. [...]
L’idée d’une polarité maternité-prostitution s’impose déjà naturellement à l’esprit du fait que la “bonne mère” a toujours davantage d’enfants que la femme entretenue et que la péripatéticienne est la plupart du temps stérile. [...]
Mère absolue, courtisane absolue, sont deux tempéraments, répartis chez la femme selon des proportions à chaque fois différentes : il n’existe aucune femme dépourvue de toute tendance à la prostitution, ni aucune femme dénuée de sentiment maternel, bien que l’approximation presque parfaite du type de la courtisane soit beaucoup plus fréquente que celle du type de la mère. L’essence de la maternité consiste en ce que la mère a pour but principal de sa vie l’enfant. Seul l’enfant compte pour la mère absolue, tandis que la courtisane ne s’intéresse qu’à l’homme. »
« Sans justice, il n’y a pas de société, et l’envie est la passion antisociale par excellence. Aussi la femme est-elle absolument antisociale. La femme n’a le sens ni de l’État, ni de la politique, ni du compagnonnage, et les cercles de femmes dont les hommes sont exclus se désagrègent rapidement. La famille est enfin, loin d’être une figue sociale, l’institution antisociale par excellence ; les hommes qui se marient se retirent pas là même déjà des sociétés auxquelles ils appartiennent. Les recherches toutes récentes d’Heinrich Schurtz montrent, à partir d’un matériel ethnologique très riche, que c’est bien dans les liens entre hommes et non dans la famille qu’il faut chercher l’origine de la société. »
« D’où vient cette vanité proprement féminine ? Elle coïncide avec la manque d’un moi intelligible, à quoi donner toujours et de façon absolue une valeur positive ; elle s’explique par l’absence chez la femme d’une valeur propre. »
« La vanité de la femme s’exprime ainsi d’une part dans une sorte de plaisir permanent qu’elle éprouve à la pensée de son propre corps […] et d’autre part dans le besoin de se sentir admirée, enviée et désirée, besoin si fort que souvent sa satisfaction supprime tous les autres. »
« À la question de savoir ce qu’il en est de la pudeur des femmes, [il faut] se demander s’il est encore possible, devant le zèle naïf que toutes les femmes mettent à se déshabiller sitôt que les y autorisent les conventions sociales, de parler de la pudeur comme d’une vertu qui leur serait innée, cela me semble parfaitement inutile [...]. »
« Geindre et pleurer sont pour la femme une manière de s’adresser aux autres, par laquelle elle implore leur pitié. »
« La femme n’aime pas la vérité, c’est pourquoi elle n’est pas sérieuse, et ne s’intéresse pas aux pensées. Il y a quantité de femmes écrivains, mais on ne trouve de pensées dans aucune de leurs œuvres, et cet amour de la vérité (objective) est chez elles si inexistant qu’elles ne prennent le plus souvent même pas la peine de donner l’impression qu’elles pensent. »
« Cette recherche de la résonance purement sentimentale, ce mépris du concept et de la compréhensibilité, cet abandon à la diversité sensible sans souci d’aucune profondeur, sont la marque de ce style chatoyant qui est celui de tant d’écrivains et de peintres d’aujourd’hui, qu’ils définissent comme éminemment féminin. »
« Alors que je connais bon nombre d’hommes qui en fait, psychiquement, sont des femmes, j’ai vu beaucoup de femmes aux traits masculins, mais aucune qui ne fît fondamentalement femme, aussi cachée cette féminité restât-elle même à ses propres yeux. »
« La femme est amorale. »
« Les hommes qui ne sont que des hommes d’esprit sont des hommes non-religieux, qui ne sont pas pénétrés par les choses et ne prennent pas à elles un intérêt véritable et profond. Ils se soucient de ce que leur pensée brille et étincelle, non de ce qu’elle mette en lumière un contenu ! »
« Le plus grand, le seul, ennemi de l’émancipation de la femme, est la femme. »