Différences entre les versions de « Sigmund Freud »
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+ | « [...] je soutiendrai l’affirmation qu’il y a un plus grand danger pour la culture à maintenir son rapport présent à la religion qu’à le défaire. » | ||
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+ | |auteur=Sigmund Freud | ||
+ | |titre=L’Avenir d'une illusion | ||
+ | |année d'origine=1927 | ||
+ | |traducteur=Yves Le Lay, Samuel Jankélévitch et Gisèle Harrus-Révidi | ||
+ | |éditeur=Presses Universitaires de France | ||
+ | |collection=Quadrige | ||
+ | |année=2002 | ||
+ | |page=36}} | ||
« La religion serait la névrose de contrainte universelle de l’humanité ; comme celle de l’enfant, elle serait issue du complexe d’Œdipe, de la relation au père. » | « La religion serait la névrose de contrainte universelle de l’humanité ; comme celle de l’enfant, elle serait issue du complexe d’Œdipe, de la relation au père. » |
Version du 23 juillet 2019 à 13:26
Citationes
« [...] je soutiendrai l’affirmation qu’il y a un plus grand danger pour la culture à maintenir son rapport présent à la religion qu’à le défaire. »
« La religion serait la névrose de contrainte universelle de l’humanité ; comme celle de l’enfant, elle serait issue du complexe d’Œdipe, de la relation au père. »
« Ces puissants désirs de l’enfant, je les considère comme sexuels [...] l’instinct sexuel de l’enfant est très compliqué [...] tout d’abord, il est indépendant de la fonction de reproduction [...] il sert à procurer plusieurs sortes de sensations agréables que nous désignons du nom de plaisir sexuel par suite de certaines analogies. [...] on peut attribuer à chaque enfant une légère disposition à l’homosexualité. »
« Notre civilisation qui prétend à une autre culture, rend en réalité la vie trop difficile à la plupart des individus et, par l'effroi de la réalité, provoque des névroses sans qu’elle ait rien à gagner de cet excès de refoulement sexuel. Ne négligeons pas tout à fait ce qu’il y a d‘animal dans notre nature. »