Différences entre les versions de « Jean Mabire »
Ligne 1 : | Ligne 1 : | ||
+ | {{Column|Revolutionaries}} | ||
=== [[:Category:Nationalism|Nationalism]] === | === [[:Category:Nationalism|Nationalism]] === | ||
Version du 5 avril 2012 à 22:04
Nationalism
« Les SS portent jusqu'au Caucase la torche de Prométhée et le glaive de Siegfried. Ils sont les fils des vieux guerriers germaniques surgis des glaces et des forêts. Ils sont les Teutoniques qui ont remplacé la croix du Christ par la roue du Soleil. Ils sont les SS d'Adolf Hitler. »
- Jean Mabire, Les Jeunes Fauves du Führer, la Division SS Hitlerjungend dans la bataille de Normandie, Paris, Fayard, Le Livre de Poche, 1976, p. 46-47
« Jusqu'au dernier jour de la guerre, ces jeunes volontaires voudront se battre. Toujours résonnera au plus profond de leur mémoire les paroles naïves et tragiques du chant de leur enfance. Oui, le drapeau est plus grand que la mort. »
- Jean Mabire, Les Jeunes Fauves du Führer, la Division SS Hitlerjungend dans la bataille de Normandie, Paris, Fayard, Le Livre de Poche, 1976, p. 350
« Les SS [...] savent qu'ils font partie d'un véritable ordre, qui est à la fois une armée, une école et une Église. Ils sont certains de porter le germe du nouvel État. »
- Henri Landemer (pseudonyme de Jean Mabire), Les Waffen SS, Paris, Balland, 1972, p. 51
« La grande aventure de la SS va commencer. De la Baltique à l'Atlantique, de la mer Égée à la mer d'Azov, de la Bavière au Caucase, les hoplites du Führer vont vivre une prodigieuse épopée guerrière. »
- Henri Landemer (pseudonyme de Jean Mabire), Les Waffen SS, Paris, Balland, 1972, p. 43
« Plus encore que le décor de la guerre, c'est le moment du combat qui compte ici. Soudain, tout devient possible. Il suffit d'oser. [...] l'homme d'armes y trouvera la place qui devait lui revenir de droit, la première, dans le mépris des valeurs bourgeoises, confortables et marchandes. Fidèle à une morale exigeante, l'homme n'est jamais si grand que lorsqu'il agit. »
- Jean Mabire, extrait de sa préface à la réédition de La Campagne de Russie de Léon Degrelle (Art et Histoire d'Europe, 1987), cité par Jonathan Littell, Le Sec et l'Humide, Paris, Gallimard, 2008, p. 9
Miscellaneous
« Nous ne savons pas si nous changerons le monde, mais nous savons que le monde ne nous changera pas. »
« Et que le combat soit sans espoir ne nous empêchera pas de le mener. »
« Écrire doit être un jeu dangereux. C'est la seule noblesse de l'écrivain, sa seule manière de participer aux luttes de la vie. »