Différences entre les versions de « Virgile »
| (2 versions intermédiaires par le même utilisateur non affichées) | |||
| Ligne 25 : | Ligne 25 : | ||
|partie=X | |partie=X | ||
|page=301}} | |page=301}} | ||
| + | |||
| + | « [...] '''à toi de diriger les peuples sous ta loi, Romain, qu’il t’en souvienne — ce seront là tes arts, à toi — et de donner ses règles à la paix''' : respecter les soumis, désarmer les superbes. » | ||
| + | {{Réf Livre | ||
| + | |auteur=Virgile | ||
| + | |titre=Énéide | ||
| + | |traducteur=Jacques Perret | ||
| + | |éditeur=Gallimard | ||
| + | |collection=Folio | ||
| + | |année=1991 | ||
| + | |ISBN=9782070383450 | ||
| + | |partie=VI | ||
| + | |page=212}} | ||
« Et d’abord le ciel et les continents, les plaines liquides, le globe luisant de la lune, les feux radieux de Titan, un souffle au-dedans les fait vivre ; infus dans les membres du monde, l’esprit en meut la masse entière et il se mêle dans ce grand corps. De là, races des hommes et des bêtes, vies des êtres qui volent et les monstres que sous le marbre de ses eaux porte la mer. » | « Et d’abord le ciel et les continents, les plaines liquides, le globe luisant de la lune, les feux radieux de Titan, un souffle au-dedans les fait vivre ; infus dans les membres du monde, l’esprit en meut la masse entière et il se mêle dans ce grand corps. De là, races des hommes et des bêtes, vies des êtres qui volent et les monstres que sous le marbre de ses eaux porte la mer. » | ||
| Ligne 50 : | Ligne 62 : | ||
|page=189}} | |page=189}} | ||
| − | |||
| − | |||
| − | |||
| − | |||
| − | |||
{{DEFAULTSORT:Virgil}} | {{DEFAULTSORT:Virgil}} | ||
| − | {{ | + | [[Category:Auctores]] |
| + | {{Footer}} | ||
Version actuelle datée du 29 septembre 2023 à 21:08
Citations
« La Fortune seconde l’audace. »
« Qui fut cause que l’Europe et l’Asie se dressèrent l’une contre l’autre et que les pactes furent brisés par un rapt clandestin ? »
« [...] à toi de diriger les peuples sous ta loi, Romain, qu’il t’en souvienne — ce seront là tes arts, à toi — et de donner ses règles à la paix : respecter les soumis, désarmer les superbes. »
« Et d’abord le ciel et les continents, les plaines liquides, le globe luisant de la lune, les feux radieux de Titan, un souffle au-dedans les fait vivre ; infus dans les membres du monde, l’esprit en meut la masse entière et il se mêle dans ce grand corps. De là, races des hommes et des bêtes, vies des êtres qui volent et les monstres que sous le marbre de ses eaux porte la mer. »
« Toi, ne cède pas au malheur ; au contraire, va de l’avant, avec plus d’audace que ta fortune ne t’y autorisera. »
