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« Une société qui place l'égalité avant la liberté finira par n'avoir ni égalité ni liberté. [...] Une société qui place la liberté avant toutes choses finira par obtenir, sans l'avoir cherché, davantage d'égalité en même temps que davantage de liberté. »
 
*[http://fr.wikipedia.org/wiki/Milton_Friedman Milton Friedman], ''La Liberté du choix'', (trad. Guy Casaril), éd. Belfond, 1980
 
  
 
== [[Economics]] ==
 
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Version du 17 juin 2016 à 23:14

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Liberty - Equality

"The society that puts equality before freedom will end up with neither. The society that puts freedom before equality will end up with a great measure of both."

« Une société qui place l'égalité avant la liberté finira par n'avoir ni égalité ni liberté. [...] Une société qui place la liberté avant toutes choses finira par obtenir, sans l'avoir cherché, davantage d'égalité en même temps que davantage de liberté. »
  • Milton Friedman, La Liberté du choix (1980), trad. Guy Casaril, éd. Belfond, 1980 (ISBN 9782714413437), chap. 5, p. 173
Milton Friedman.jpg

Economics

"Money is too important to be left to central bankers."

  • Milton Friedman, ‘Should there be an independent monetary authority?’, in L.B. Yeager (ed.), In Search of a Monetary Constitution, Cambridge, Mass., 1962, paraphrasing Raymond Poincaré
« La monnaie est une chose trop importante pour être laissée entre les mains des banques centrales. »

Inflation is the one form of taxation that can be imposed without legislation.

« J'ai moi-même été tout à fait convaincu que l'existence d'une banque centrale "indépendante" serait intolérable sur le plan politique en lisant les Mémoires d'Émile Moreau, gouverneur de la Banque de France de 1926 à 1928, à l'époque où la France étrennait une nouvelle parité du franc et revenait à l'or. »

« La monnaie unique va imploser dans les 5 à 15 prochaines années. Non seulement l'euro ne fonctionnera pas, mais il sera également "l'ennemi de la démocratie". L'euro ne remplacera jamais le dollar et sera toujours une illusion technocratique. Pourquoi ? Parce que les travailleurs européens ne sont pas assez mobiles, qu’il y a trop de blocages économiques et que les nombreuses différences culturelles entre les pays européens sont insurmontables. Un jour, l’adoption de cette monnaie "contre nature" coûtera cher aux pays européens. »

  • Milton Friedman, interview donnée au magazine britannique Central Banking, août 2002

« Les jeunes ont toujours contribué au maintien des plus âgés. Avant, le jeune aidait ses propres parents par amour et devoir. Maintenant, il contribue à maintenir les parents d’autrui par obligation et peur. Le transfert volontaire renforçait les liens familiaux ; le transfert obligatoire affaiblit ces liens. »

Liberalism

"The great advances of civilization, whether in architecture or painting, in science or in literature, in industry or agriculture, have never come from centralized government."

  • Milton Friedman, Capitalism and Freedom (1962), éd. University of Chicago Press, 2002 (ISBN 9780226264219), chap. introduction, p. 3
« Les grands progrès de la civilisation — que ce soit en architecture ou en peinture, en sciences ou en littérature, dans l'industrie ou dans l'agriculture — n'ont jamais été le fait du centralisme. »
  • Milton Friedman, Capitalisme et Liberté (1962), éd. Flammarion, coll. Champs Essais, 2016 (ISBN 9782081358850), p. 28

"The existence of a free market does not of course eliminate the need for government. On the contrary, government is essential both as a forum for determining the "rule of the game" and as an umpire to interpret and enforce the rules decided on."

  • Milton Friedman, Capitalism and Freedom (1962), éd. University of Chicago Press, 2002 (ISBN 9780226264219), chap. 1, p. 15
« L'existence d'un marché libre n'élimine évidemment pas le besoin d'un gouvernement. Au contraire, ce dernier est essentiel, et comme forum où sont fixées les "règles du jeu" et comme arbitre qui interprète et fait appliquer ces règles. Le marché, cependant, réduit grandement le champ des questions auxquelles doivent être données des réponses politiques, et par là minimise la mesure dans laquelle il est nécessaire que les pouvoirs publics participent directement au jeu. »
  • Milton Friedman, Capitalisme et Liberté (1962), éd. Flammarion, coll. Champs Essais, 2016 (ISBN 9782081358850), p. 43

"I never characterize myself as a conservative economist. As I understand the English language, conservative means conserving, keeping things as they are. I don't want to keep things as they are. The true conservatives today are the people who are in favor of ever bigger government. The people who call themselves liberals today — the New Dealers — they are the true conservatives, because they want to keep going on the same path we're going on. I would like to dismantle that. I call myself a liberal in the true sense of liberal, in the sense in which it means of and pertaining to freedom."

Politics

"One of the great mistakes is to judge policies and programs by their intentions rather than their results."

  • Milton Friedman, interview with Richard Heffner in The Open Mind (December 7th 1975)
« L'une des plus grandes erreurs possibles et de juger une politique ou des programmes sur leurs intentions et non sur leurs résultats. »
  • Milton Friedman, entretien avec Richard Heffner in The Open Mind, WRCA, 7 décembre 1975

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