Différences entre les versions de « Maréchal Pétain »

 
(51 versions intermédiaires par le même utilisateur non affichées)
Ligne 1 : Ligne 1 :
=== [[:Category:War|War]] ===
+
{{Image|Maréchal Pétain|}}
 +
== Citations ==
  
« Ils ne passeront pas ! »
+
« C’est dans l’honneur et pour maintenir l’unité française, une unité de dix siècles, dans le cadre d’une activité constructive du nouvel ordre européen, que j’entre aujourd’hui dans la voie de la collaboration.
*[http://fr.wikipedia.org/wiki/Philippe_P%C3%A9tain Maréchal Pétain], à la bataille de Verdun, 1916
 
  
=== [[:Category:Politics|Politics]] ===
+
Ainsi, dans un avenir prochain, pourrait être allégé le poids des souffrances de notre pays, amélioré le sort de nos prisonniers, atténuée la charge des frais d’occupation. Ainsi pourrait être assouplie la ligne de démarcation et facilités l’administration et le ravitaillement du territoire.
 +
Cette collaboration doit être sincère. Elle doit être exclusive de toute pensée d’agression. Elle doit comporter un effort patient et confiant.
  
« Politique et la franc-maçonnerie... C'est la même chose, ensemble, ils nous ont amenés vers le bas. »
+
L’armistice, au demeurant, n’est pas la paix. La France est tenue par des obligations nombreuses vis-à-vis du vainqueur. Du moins reste-t-elle souveraine. Cette souveraineté lui impose de défendre son sol, d’éteindre les divergences de l’opinion, de réduire les dissidences de ses colonies.
*[http://fr.wikipedia.org/wiki/Philippe_P%C3%A9tain Maréchal Pétain]
+
Cette politique est la mienne. Les ministres ne sont responsables que devant moi.
 +
C’est moi seul que l’Histoire jugera.
  
« Ce m'est facile à moi de connaître ma route ; je l'ai fixée le jour où j'ai fait au pays le don de ma personne. J'étais jeune officier, et ce fut un serment intérieur. Lorsque j'ai renouvelé ce serment pour la France, j'ai renoncé à tout. Un tel engagement ne vous contraint jamais : il vous libère. »
+
Je vous ai tenu jusqu’ici le langage d’un père. Je vous tiens aujourd’hui le langage du chef.
*[http://fr.wikipedia.org/wiki/Philippe_P%C3%A9tain Maréchal Pétain], 4 juin 1943, cité par [http://fr.wikipedia.org/wiki/Jacques_Isorni Jacques Isorni], Philippe Pétain, tome 1, page 27
+
Suivez-moi. Gardez confiance en la France éternelle. »
  
=== [[:Category:Family|Family]] ===
+
— Maréchal Pétain, Message radiodiffusé à la nation française, 30 octobre 1940
  
« La famille est la cause première de l'État ; celui-ci ne lui préexiste pas. »
 
*[http://fr.wikipedia.org/wiki/Philippe_P%C3%A9tain Maréchal Pétain]
 
  
[[Category:War]]
+
« '''La terre, elle, ne ment pas.''' Elle demeure notre recours. Elle est la patrie elle-même. Un champ qui tombe en friche, c’est une portion de la France qui meurt. Une jachère de nouveau emblavée, c’est une portion de la France qui renaît. »
[[Category:Politics]]
+
 
[[Category:Family]]
+
— Maréchal Pétain, Appel du 25 juin 1940, 25 juin 1940
[[Category:Heroes]]
+
 
 +
== Bibliographie ==
 +
{{Affiliation|http://www.librairiefrancaise.fr/fr/essais-doctrines-idees-principes/8302-la-revolution-nationale-philippe-petain-9781912853199.html|http://www.librairiefrancaise.fr/6650-home_default/la-revolution-nationale-philippe-petain.jpg}}
 +
 
 +
{{DEFAULTSORT:Petain}}
 +
[[Category:Auctores]]
 +
{{Footer}}

Version actuelle datée du 12 mai 2023 à 04:13

Maréchal Pétain.jpg

Citations

« C’est dans l’honneur et pour maintenir l’unité française, une unité de dix siècles, dans le cadre d’une activité constructive du nouvel ordre européen, que j’entre aujourd’hui dans la voie de la collaboration.

Ainsi, dans un avenir prochain, pourrait être allégé le poids des souffrances de notre pays, amélioré le sort de nos prisonniers, atténuée la charge des frais d’occupation. Ainsi pourrait être assouplie la ligne de démarcation et facilités l’administration et le ravitaillement du territoire. Cette collaboration doit être sincère. Elle doit être exclusive de toute pensée d’agression. Elle doit comporter un effort patient et confiant.

L’armistice, au demeurant, n’est pas la paix. La France est tenue par des obligations nombreuses vis-à-vis du vainqueur. Du moins reste-t-elle souveraine. Cette souveraineté lui impose de défendre son sol, d’éteindre les divergences de l’opinion, de réduire les dissidences de ses colonies. Cette politique est la mienne. Les ministres ne sont responsables que devant moi. C’est moi seul que l’Histoire jugera.

Je vous ai tenu jusqu’ici le langage d’un père. Je vous tiens aujourd’hui le langage du chef. Suivez-moi. Gardez confiance en la France éternelle. »

— Maréchal Pétain, Message radiodiffusé à la nation française, 30 octobre 1940


« La terre, elle, ne ment pas. Elle demeure notre recours. Elle est la patrie elle-même. Un champ qui tombe en friche, c’est une portion de la France qui meurt. Une jachère de nouveau emblavée, c’est une portion de la France qui renaît. »

— Maréchal Pétain, Appel du 25 juin 1940, 25 juin 1940

Bibliographie

la-revolution-nationale-philippe-petain.jpg