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« Dans le grand choc des civilisations, le Blanc est castré par son culte de la femme alter-égale déifiée dont il défend servilement les droits, y compris les droits à le duper, le cocufier, le quitter, le ruiner, lui confisquer ses enfants et le pousser au suicide. »
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« '''Dans le grand choc des civilisations, le Blanc est castré par son culte de la femme alter-égale déifiée dont il défend servilement les droits''', y compris les droits à le duper, le cocufier, le quitter, le ruiner, lui confisquer ses enfants et le pousser au suicide. »
 
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Version du 2 mars 2022 à 17:25

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Citationes

« Semblable à un pervers qui nous aurait violé quand vous étiez petit, l’exposition à la pornographie ne peut que forcer, violer l’imagination, c’est toujours malgré soi que l’on est excité par une image. »

— Lounès Darbois, Sociologie du hardeur (2017), éd. Kontre Kulture, 2017, p. 


« La véritable mission d’Hollywood n’est pas de divertir mais d’influencer les esprits. »

— Lounès Darbois, Sociologie du hardeur (2017), éd. Kontre Kulture, 2017, p. 174


« [...] la vallée d’Hollywood se situe à moins de quarante kilomètres de Chatsworth et San Fernando, “Hollywood du porno”, le district où sont implantés tous les studios de pornographie. Est-ce une coïncidence si ces deux bases mondiales d’emprise sur les esprits sont voisines ? »

— Lounès Darbois, Sociologie du hardeur (2017), éd. Kontre Kulture, 2017, p. 174


« C’est fini ! Ils ont plus de religion les Blancs lumière du monde, plus de race, plus de sacral, plus de folklore, plus de vérité ! »

— Lounès Darbois, Sociologie du hardeur (2017), éd. Kontre Kulture, 2017, p. 166


« Le Blanc marche dans la rue comme individu. Le non-Blanc marche dans la rue comme fragment d’une communauté. [...]

Accablé physiquement, financièrement, spirituellement, le Blanc est d’abord piégé parce qu’il ne peut pas expliquer sa situation. Il n’a aucune dialectique. »

— Lounès Darbois, Sociologie du hardeur (2017), éd. Kontre Kulture, 2017, p. 155-156


« Imperceptiblement invité à se transformer de “voyeur”, à “victime”, le branleur, quand à lui, devient acteur de sa disgrâce [...]. Ils te foutriquent des scénarios d’humiliation cruelle, toujours anti-Blancs, avec toujours la “Blanche” bien naïve, bien salope, bien généreuse, et le Noir bien fier, bien insolent, bien roublard [...]. Ça lui parle, c’est son monde au Ben Porno, il adore voir la mignonne des Blancs plus bas que merde tourner “pute-à-black” comme dit la rue, c’est son fin délice de pervers fils du diable, il adore ça... »

— Lounès Darbois, Sociologie du hardeur (2017), éd. Kontre Kulture, 2017, p. 120-123


« Pour vaincre le porno, c’est comme pour la drogue, il faut attaquer l’offre et non la demande [...], les grandes plate-formes contrôlent [...] 90 % du flux pornographique mondial. »

— Lounès Darbois, Sociologie du hardeur (2017), éd. Kontre Kulture, 2017, p. 94-108


« [...] la plus ingénieuse ingénierie d’isolation, la plus coercitive force de frustration, de contrainte, de démoralisation, débandaison, détraquage, la mise en esclavage mental de millions d’individus mâles vaincus dans leur chair dans leur âme un par un, chacun dans leur coin du monde, seuls devant leur écran. »

— Lounès Darbois, Sociologie du hardeur (2017), éd. Kontre Kulture, 2017, p. 96


« Dans le grand choc des civilisations, le Blanc est castré par son culte de la femme alter-égale déifiée dont il défend servilement les droits, y compris les droits à le duper, le cocufier, le quitter, le ruiner, lui confisquer ses enfants et le pousser au suicide. »

— Lounès Darbois, Sociologie du hardeur (2017), éd. Kontre Kulture, 2017, p. 91


« Les années 80-2000 auront vu la succession par milliers de fournées de jeunes actrices porno caucasiennes appartenant au 99e percentile de l’humanité, le plus beau, le plus rare. »

— Lounès Darbois, Sociologie du hardeur (2017), éd. Kontre Kulture, 2017, p. 91


« Petit rappel : obtenir la fille la plus innocente, accomplir un souillage maximal, voilà la “bonne scène”. »

— Lounès Darbois, Sociologie du hardeur (2017), éd. Kontre Kulture, 2017, p. 78


Le porno « participe au désenchantement général du monde... [...] La pornographie accapare au jeune spectateur toute sa moelle, tout son jus, à l’âge où il est le plus bouillonnant, au moment où il en a le plus besoin pour le convertir en force de travail, en force de projection à long terme dans la vie... »

— Lounès Darbois, Sociologie du hardeur (2017), éd. Kontre Kulture, 2017, p. 29


« Le fascisme pornographique, son emprise, sa toute-puissance, est très liée à l’interdiction généralisée de la prostitution, dernier recours de beaucoup d’hommes à la relation réelle. »

— Lounès Darbois, Sociologie du hardeur (2017), éd. Kontre Kulture, 2017, p. 21


« [...] la pornographie vient se surajouter aux innombrables barrières à la procréation — contraception, avortement, reprotoxiques, perturbateurs endocriniens, etc., dans un Occident déjà fort déficitaire en natalité depuis plus de cent cinquante ans. [...] Le porno c’est le coup de grâce sur l’instinct de vie de l’Occident. »

— Lounès Darbois, Sociologie du hardeur (2017), éd. Kontre Kulture, 2017, p. 21


« Il n’y a pas porno bénin. Pourtant c’est l’omerta totale sur la dépendance au porno, gardée par chacun comme une maladie honteuse, processus qui altère, transforme, dénature, convertit toujours plus profondément le sujet au porno, à la pensée porno. Oui, à la fin on pense porno, on veut baiser porno. »

— Lounès Darbois, Sociologie du hardeur (2017), éd. Kontre Kulture, 2017, p. 21


« Quelle armes avons-nous ? Quelles armes ont les garçons pour gérer les pulsions sexuelles de leurs douze ans, à cet âge les plus fortes car les plus neuves ? L’immense majorité d’entre eux seront accompagnés par la pornographie, en raison de son caractère addictif, toute leur vie. »

— Lounès Darbois, Sociologie du hardeur (2017), éd. Kontre Kulture, 2017, p. 17


« [...] le diable a pour mission d’entraîner l’homme en enfer, à une condition bien précise : avec l’assentiment, avec le libre arbitre, avec le plein gré de l’homme. Quel abaissement plus librement consenti, quand on y réfléchit deux secondes, que de rentrer chez soi se branler ? Même si personne ne nous voit ? La pornographie démolit l’image de la femme qui se prostitue certes, mais aussi, rappelons-le, la dignité de l’homme qui y succombe. En suscitant à répétition la honte secrète de la masturbation avec images, la pornographie rabaisse l’estime de soi d’hommes déjà mal aimés des femmes — raison pour laquelle ils se rabattaient déjà sur la masturbation mentale, penchant que le porno va exalter par les images. Le recours à la pornographie est la voie de garage des perdants de la sélection naturelle. Le porno achève d’écrémer les hommes, établissant les reproducteurs d’un côté qui draguent et baisent, sortent, existent, et les frustrés de l’autre — ceux-là se branlent, cloîtrés chez eux. »

— Lounès Darbois, Sociologie du hardeur (2017), éd. Kontre Kulture, 2017, p. 16


Bibliographia

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