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{{Column|Conservative minds}}
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{{Image|Léon Degrelle 2|}}
=== [[:Category:Democracy|Democracy]] ===
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== Citations ==
  
« La Démocratie [...] est restée le régime des quelconques du Suffrage Universel. Jamais l'addition de mille médiocres n'a produit une intelligence mille fois accrue. »
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« '''Là où Napoléon et Hitler ont échoué, c’est peut-être le fils de l’un de nos adversaires du Caucase et de Tcherkassy qui réussira en rassemblant autour de la Russie, guérie du virus communiste, tous les peuples européens pour entraîner le monde dans une nouvelle marche en avant.''' »
*[http://fr.wikipedia.org/wiki/L%C3%A9on_Degrelle Léon Degrelle]
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« Dès l’instant où le destin de l’Etat dépend de la bêtise, des humeurs ou des appétits égoïstes du plus grand nombre, il ne peut que cahoter entre les décisions mesquines ou sordides. Il doit inéluctablement finir par culbuter.
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« Quand je récapitule, je n’ai qu’un sentiment, c’est un immense regret, regret que nous n’ayons pas réussi, que nous n’ayons pas pu créer ce monde européen qui eut été le maître de l’univers pour toujours, qui assurait à la race blanche, la première des races, la grande domination de l’esprit. '''Et quand nous voyons ce qu’il y a en face, ce que trente ans de victoire des autres ont donné... Cette anarchie dans le monde... Cette débandade du monde blanc... Cette désertion à travers l’univers... Quand nous voyons dans nos propres pays la décomposition des mœurs, la chute de la patrie, la chute de la famille, la chute de l’ordre social... Quand nous voyons cet appétit des biens matériels qui a succédé à la grande flamme de l’idéal qui nous animait... Eh bien, vraiment, entre les deux, nous avions choisi le bon côté !'''
  
Reconnaître bruyamment au peuple toutes les formes de la plus haute lucidité politique est de la lâcheté. Cent problèmes, pourtant simples, échappent souvent à son analyse. Il ne parvient pas à les saisir. Quant aux problèmes capitaux, celui de l’avenir des grandes communautés humaines, celui de l’organisation de l’énorme machine politique de chaque pays, celui de ses gigantesques problèmes économiques et sociaux, celui de sa vie culturelle et spirituelle, le premier minus habens venu pourrait, à en croire les embobelineurs démocratiques, tout décider là-dessus, engager tout à ce propos, rien qu’à tracer une croix ou à noircir un trou blanc sur un bulletin de vote !
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La petite Europe misérable d’aujourd’hui, de ce marché commun étriqué, ça peut pas donner le bonheur aux hommes ! La société de consommation pourrit l’humanité au lieu de la grandir ! Alors nous autres au moins nous avons rêvé à quelque chose de grandiose, et nous n’avons qu’un désir, c’est que cet esprit-là renaisse, et, avec mes forces et jusqu’au dernier moment de mon existence, je lutterai pour cela, pour que ce qui fut notre combat, notre martyr, soit un jour la résurrection du monde ! »
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L’affirmer au peuple, le flatter bassement par ce vulgaire mensonge, c’est se moquer de lui. Une telle mission universelle est tout à fait en dehors de sa portée, est au-dessus de ses forces.
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« La facilité endort l’idéal. Rien ne le redresse mieux que le fouet de la vie dure ; elle nous fait deviner la profondeur des devoirs à assumer, de la mission dont il faut être digne. Le reste ne compte pas. La santé n’a aucune importance. On est pas sur terre pour manger à l’heure, dormir à temps, vivre cent ans ou d’avantage. Tout cela est vain et sot. Une seule chose compte : avoir une vie utile, affiler son âme, être penché sur elle à chaque instant, à surveiller ses faiblesses et à exalter ses élans, servir les autres, jeter autour de soi le bonheur et la tendresse, donner le bras à son prochain, pour s’élever tous en s’aidant l’un l’autre. »
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Cela ne veut dire nullement que le destin des peuples doive être mené en dehors des peuples et, surtout, contre les peuples. Un pays, c’est avant tout le peuple qui y vit. Ce dernier doit être intimement mêlé à la vie collective de la nation, à son développement, à la qualité de son rayonnement. Mais mêlé honnêtement sans qu’on le flatte et qu’on le roule. Ce sont les meilleurs qui doivent guider les peuples. Les meilleurs, ou mieux encore, le meilleur. Car en tout, même dans une basse-cour, dans un vol d’oiseaux migrateurs, il y a un guide. »
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« Brève ou longue, la vie ne vaut que si nous n’avons pas à rougir d’elle à l’instant où il faudra la rendre. »
*[http://fr.wikipedia.org/wiki/L%C3%A9on_Degrelle Léon Degrelle]
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=== [[:Category:Europe|Europe]] ===
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« Un peuple riche, composé de millions d’individus, mais égoïstement isolés, est un peuple-mort. Un peuple pauvre où chacun reconnaît intelligemment ses limites et ses obligations communautaires, obéit et travaille en équipe, est un peuple-vie. »
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« Nous avions lutté pour l'Europe, sa foi, sa civilisation. Nous avions été jusqu'au bout de la sincérité et du sacrifice. »
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« Il y a sur la terre tant de choses médiocres, basses ou laides, qu’on finirait par être un jour submergé par elles si on ne portait pas en soi le feu qui brûle le laid, le consume et nous purifie. L’art est notre salut intérieur, notre jardin secret qui sans cesse nous rafraîchit et nous embaume. Poésie, peinture, sculpture, musique, n’importe quoi, mais s’évader du banal, s’élever au-dessus de la poussière desséchante, créer le grand, au lieu de subir le petit, faire jaillir cette étincelle d’extraordinaire que chacun de nous possède, et la convertir en un grandiose incendie, dévorant, inextinguible. »
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=== [[:Category:Islam|Islam]] ===
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« Nous ne sortirons de cette déchéance que par un immense redressement moral, en réapprenant aux hommes à aimer, à se sacrifier, à vivre, à lutter et à mourir pour un idéal supérieur.
  
« Hitler était très sensible à l’islam, ça c’est vrai. Mais d’autre part il savait les possibilités immenses que représentait l’islam pour une Europe unie. [...] C'est un homme profondément religieux, quoiqu'on en pense. Et qui est resté tout le temps catholique. Il était anti-clérical, c'est autre chose, parce que le clergé politique, avant Hitler, avait été féroce contre le National-Socialisme. Et puis après avait été à plat ventre, comme ça c'est toujours passé : l'église a toujours été en retard puis se précipite aux pieds du vainqueur... Bon, et alors Hitler avait pris ces musulmans, avait ouvert ses rangs aux musulmans, parce que, tôt ou tard, l’Europe allait avoir besoin de cet immense monde musulman, et que c'était proche, et qu'il fallait avoir là des camarades. Et ce que Hitler voulait c’est former des divisions de jeunes SS, Waffen SS musulmans, qui après ça feraient dans leur pays la transformation nationale et socialiste ce qui ferait qu’on aurait lutté en camarades , au lieu d'être livrés comme maintenant à d'abominables disputes d'intérêt. Et c’est... à tel point que j’ai vu, au nouvel an 45, les 60.000 Waffen SS (musulmans) recevoir d’Hitler une petite chaînette en or avec un coran : chacun recevait un coran, comme souvenir. »
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En un siècle où on ne vit que pour soi, il faudra que des centaines, des milliers d’hommes ne vivent plus pour eux, mais pour un idéal collectif, consentant pour lui, à l’avance, tous les sacrifices, toutes les humiliations, tous les héroïsmes. Seuls comptent la foi, la confiance brillante, l’absence complète d’égoïsme et d’individualisme, la tension de tout l’être vers le service, si ingrat soit-il, n’importe où, n’importe comment, d’une cause qui dépasse l’homme, lui demandant tout, ne lui promettant rien. Seuls comptent la qualité de l’âme, la vibration, le don total, la volonté de hisser par-dessus tout un idéal, dans le désintéressement le plus absolu. L’heure vient où, pour sauver le monde, il faudra la poignée de héros et de saints qui feront la Reconquête. »
*[http://fr.wikipedia.org/wiki/L%C3%A9on_Degrelle Léon Degrelle], interview réalisée en 1978
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=== [[:Category:Modernity|Modernity]] ===
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== Textes ==
  
« L’agonie de notre temps git là. Le siècle ne s’effondre pas faute de soutien matériel. Jamais l’univers ne fut si riche, comblé de tant de confort, aidé par une industrialisation à ce point productrice. Jamais il n’y eut tant de ressources ni tant de bien offerts. C’est le coeur de l’homme, et lui seul, qui est en état de faillite. C’est faute d’aimer, c’est faute de croire et de se donner, que le monde s’accable lui-même des coups qui l’assassinent. Le siècle a voulu n’être plus que le siècle des appétits. Son orgueil l’a perdu. Il a cru à la victoire de la matière enfin assujettie par son esprit. Il a cru aux machines, au stocks, aux lingots sur lesquels il règnerait en maître. Il a cru, tout autant, à la victoire des passions charnelles projetées au-delà de toutes les limites, à la libération des formes les plus diverses, des jouissances, sans cesse multipliées, toujours plus avilies et plus avilissantes, des pauvres êtres vidés. »
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*[[Appel aux jeunes européens - Léon Degrelle]]
*[http://fr.wikipedia.org/wiki/L%C3%A9on_Degrelle Léon Degrelle]
 
  
=== [[:Category:God|God]] ===
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== Bibliographie ==
  
« Je vivais. Dieu m'avait sauvé. Mes blessures elles-mêmes étaient une bénédiction. »
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{{Affiliation|https://europa-diffusion.com/fr/occasions-livres-epuises/6984-degrelle-m-a-dit.html|https://europa-diffusion.com/8266-home_default/degrelle-m-a-dit.jpg}}
*[http://fr.wikipedia.org/wiki/L%C3%A9on_Degrelle Léon Degrelle]
 
  
== Videos ==
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[[Category:Auctor]]
 
 
* [http://www.youtube.com/watch?v=C-YGZXb_81k Léon Degrelle - Catholic Nationalist Hero]
 
* [http://www.youtube.com/watch?v=R3Y7in07J_U Léon Degrelle « un immense regret »]
 
 
 
== External links ==
 
 
 
*http://www.leon-degrelle.org
 
 
 
[[Category:Democracy]]
 
[[Category:Europe]]
 
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[[Category:God]]
 
[[Category:Conservative minds]]
 
 
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Version du 3 juin 2022 à 20:35

Léon Degrelle 2.jpg

Citations

« Là où Napoléon et Hitler ont échoué, c’est peut-être le fils de l’un de nos adversaires du Caucase et de Tcherkassy qui réussira en rassemblant autour de la Russie, guérie du virus communiste, tous les peuples européens pour entraîner le monde dans une nouvelle marche en avant. »

— « Pourquoi j’ai cru en Hitler », Jean Kapel, Histoire magazine, nº 19, septembre 1981


« Quand je récapitule, je n’ai qu’un sentiment, c’est un immense regret, regret que nous n’ayons pas réussi, que nous n’ayons pas pu créer ce monde européen qui eut été le maître de l’univers pour toujours, qui assurait à la race blanche, la première des races, la grande domination de l’esprit. Et quand nous voyons ce qu’il y a en face, ce que trente ans de victoire des autres ont donné... Cette anarchie dans le monde... Cette débandade du monde blanc... Cette désertion à travers l’univers... Quand nous voyons dans nos propres pays la décomposition des mœurs, la chute de la patrie, la chute de la famille, la chute de l’ordre social... Quand nous voyons cet appétit des biens matériels qui a succédé à la grande flamme de l’idéal qui nous animait... Eh bien, vraiment, entre les deux, nous avions choisi le bon côté !

La petite Europe misérable d’aujourd’hui, de ce marché commun étriqué, ça peut pas donner le bonheur aux hommes ! La société de consommation pourrit l’humanité au lieu de la grandir ! Alors nous autres au moins nous avons rêvé à quelque chose de grandiose, et nous n’avons qu’un désir, c’est que cet esprit-là renaisse, et, avec mes forces et jusqu’au dernier moment de mon existence, je lutterai pour cela, pour que ce qui fut notre combat, notre martyr, soit un jour la résurrection du monde ! »

— Léon Degrelle cité par Jean-Michel Charlier, Léon Degrelle persiste et signe (1976), éd. Jean Picollec, 1985, p. 


« La facilité endort l’idéal. Rien ne le redresse mieux que le fouet de la vie dure ; elle nous fait deviner la profondeur des devoirs à assumer, de la mission dont il faut être digne. Le reste ne compte pas. La santé n’a aucune importance. On est pas sur terre pour manger à l’heure, dormir à temps, vivre cent ans ou d’avantage. Tout cela est vain et sot. Une seule chose compte : avoir une vie utile, affiler son âme, être penché sur elle à chaque instant, à surveiller ses faiblesses et à exalter ses élans, servir les autres, jeter autour de soi le bonheur et la tendresse, donner le bras à son prochain, pour s’élever tous en s’aidant l’un l’autre. »

— Léon Degrelle, Les Âmes qui brûlent (1964), éd. À la feuille de Chêne, 1964, p. 


« Brève ou longue, la vie ne vaut que si nous n’avons pas à rougir d’elle à l’instant où il faudra la rendre. »

— Léon Degrelle, Les Âmes qui brûlent (1964), éd. À la feuille de Chêne, 1964, p. 


« Un peuple riche, composé de millions d’individus, mais égoïstement isolés, est un peuple-mort. Un peuple pauvre où chacun reconnaît intelligemment ses limites et ses obligations communautaires, obéit et travaille en équipe, est un peuple-vie. »

— Léon Degrelle, Les Âmes qui brûlent (1964), éd. À la feuille de Chêne, 1964, p. 


« Il y a sur la terre tant de choses médiocres, basses ou laides, qu’on finirait par être un jour submergé par elles si on ne portait pas en soi le feu qui brûle le laid, le consume et nous purifie. L’art est notre salut intérieur, notre jardin secret qui sans cesse nous rafraîchit et nous embaume. Poésie, peinture, sculpture, musique, n’importe quoi, mais s’évader du banal, s’élever au-dessus de la poussière desséchante, créer le grand, au lieu de subir le petit, faire jaillir cette étincelle d’extraordinaire que chacun de nous possède, et la convertir en un grandiose incendie, dévorant, inextinguible. »

— Léon Degrelle, Les Âmes qui brûlent (1964), éd. À la feuille de Chêne, 1964, p. 


« Nous ne sortirons de cette déchéance que par un immense redressement moral, en réapprenant aux hommes à aimer, à se sacrifier, à vivre, à lutter et à mourir pour un idéal supérieur.

En un siècle où on ne vit que pour soi, il faudra que des centaines, des milliers d’hommes ne vivent plus pour eux, mais pour un idéal collectif, consentant pour lui, à l’avance, tous les sacrifices, toutes les humiliations, tous les héroïsmes. Seuls comptent la foi, la confiance brillante, l’absence complète d’égoïsme et d’individualisme, la tension de tout l’être vers le service, si ingrat soit-il, n’importe où, n’importe comment, d’une cause qui dépasse l’homme, lui demandant tout, ne lui promettant rien. Seuls comptent la qualité de l’âme, la vibration, le don total, la volonté de hisser par-dessus tout un idéal, dans le désintéressement le plus absolu. L’heure vient où, pour sauver le monde, il faudra la poignée de héros et de saints qui feront la Reconquête. »

— Léon Degrelle, Les Âmes qui brûlent (1964), éd. À la feuille de Chêne, 1964, p. 


Textes

Bibliographie

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