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Citationes

« L’État dit chrétien est l’État, imparfait, et la religion chrétienne est pour lui le complément et la sanctification de son imper­fection. La religion devient donc nécessairement un moyen ; et c’est l’État de l’hypo­crisie. »

— Karl Marx, Sur la Question juive (1843), trad. Jean-Michel Palmier, éd. Kontre Kulture, 2013 (ISBN 9782367250021), p. 40


« La bourgeoisie a joué dans l’histoire un rôle hautement révolutionnaire.

Là où elle est arrivée au pouvoir, la bourgeoisie a détruit tous les rapports féodaux, patriarcaux, idylliques. Elle a impitoyablement déchiré la variété bariolée des liens féodaux qui unissaient l’homme à ses supérieurs naturels et n’a laissé subsister d’autre lien entre l’homme et l’homme que l’intérêt tout nu, le dur “paiement comptant”. Elle a noyé dans les eaux glacées du calcul égoïste les frissons sacrés de l’exaltation religieuse, de l’enthousiasme chevaleresque, de la mélancolie sentimentale des petits-bourgeois. »

— Karl Marx et Friedrich Engels, Manifeste du Parti communiste (1848), trad. Émile Bottigelli, éd. Flammarion, coll. « Garnier Flammarion », 1998 (ISBN 9782080710024), p. 76


« La bourgeoisie a dépouillé de leur auréole toutes les activités tenues jusqu’ici pour vénérables et considérées avec une piété mêlée de crainte. Elle a transformé le médecin, le juriste, le prêtre, le poète, l’homme de science, en salariés à ses gages.

La bourgeoisie a arraché aux relations familiales leur voile sentimental attendrissant et les a ramenées à un pur rapport d’argent. »

— Karl Marx et Friedrich Engels, Manifeste du Parti communiste (1848), trad. Émile Bottigelli, éd. Flammarion, coll. « Garnier Flammarion », 1998 (ISBN 9782080710024), p. 77


Citationes de Karl Marx

Marx « était juif, donc étranger à l’Europe, et il se mêla pourtant, des affaires des peuples européens. [...] Marx ne peut être compris qu’en se plaçant à un point de vue juif. Ce n’est pas par hasard que tous ses traits sont mosaïques, macchabéique, talmudiques, et qu’ils possédaient toutes les caractéristiques du ghetto. [...] La doctrine de Marx est internationale, c’est pourquoi elle pu dissocier l’Europe et égarer les Européens. Son enseignement s’adressait au prolétariat parce qu’il lui semblait qu’en celui-ci s’étaient amortis les contrastes nationaux entre les peuples, contrastes qui paraissaient autant d’inconcevabilités, au juif qui habitait en lui, et autant de survivances ridicules à son esprit éclairé. Il omit la partie non-prolétarienne de l’humanité européenne, il ne la comprit pas parce qu’en n’en faisait pas partie, et qu’il n’avait aucun accès aux valeurs, qu’elle avait créées au cours des siècles. Mais il se sentait des affinités avec le prolétariat, parce que celui-ci était une chose nouvelle dans le monde, et qu’il était étranger à ce monde, comme il y était lui-même étranger. »

Arthur Moeller van den Bruck, Le Troisième Reich (1923), trad. Jean Louis Lénault, éd. Nouvelles Éditions latines, 1981 (ISBN 9782723301282), p. 68-69


Bibliographia

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