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=== [[Government]] ===
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== Citations ==
  
L’État est un « effroyable corps parasite qui recouvre comme une membrane le corps de la société française et en bouche tous les pores », « une excroissance parasitaire », « l’orgie de tous les éléments canoniques », « l’avorton surnaturel de la société », un « boa constrictor », « le plus grand scandale de la société et en même temps le foyer de toutes les corruptions », dont les fonctionnaires sont des « sycophantes grassement payés » et « un grouillement de vermine »
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« '''Le pouvoir politique au sens propre est le pouvoir organisé d’une classe pour l’oppression d’une autre.''' »
*[http://fr.wikipedia.org/wiki/Karl_Marx Karl Marx], ''Le 18 Brumaire de Louis Bonaparte'' et de ''La guerre civile en France'', cités par Serge-Christophe Kolm
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=== [[Communism]] ===
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« '''Que prouve l’histoire des idées sinon que la production intellectuelle se métamorphose avec la production matérielle ? Les idées dominantes d’une époque n’ont toujours été que les idées de la classe dominante.''' »
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« La richesse des sociétés dans lesquelles règne le mode de production capitaliste s'annonce comme une "immense accumulation de marchandises". »
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« '''La bourgeoisie a soumis la campagne à la domination de la ville.''' Elle a crée des villes énormes, elle a considérablement augmenté la population urbaine par rapport à celle des campagnes et arraché ainsi une part importante de la population à l’abêtissement de la vie rurale. Tout comme elle a assujetti la campagne à la ville, elle a rendu les pays barbares ou à demi barbares dépendants des pays civilisés, les peuples paysans dépendants des peuples bourgeois, l’Orient de l’Occident. »
*[http://fr.wikipedia.org/wiki/Karl_Marx Karl Marx], phrase d'ouverture, ''Le Capital''
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« Ce n'est pas la conscience des hommes qui détermine leur existence, c'est au contraire leur existence sociale qui détermine leur conscience. »
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« Grâce au perfectionnement rapide de tous les instruments de production, grâce aux communications rendues infiniment plus faciles, la bourgeoisie entraîne brutalement dans la civilisation toutes les nations, même les plus barbares. Le bon marché de ses marchandises est l’artillerie lourde avec laquelle elle abat toutes les murailles de Chine et contraint à capituler les barbares qui nourrissent la haine la plus opiniâtre de l’étranger. Elle oblige toutes les nations à faire leur, si elles ne veulent pas disparaître, le mode de production de la bourgeoisie ; elle les contraint à introduire chez elles ce qu’elle appelle la civilisation, c’est-à-dire à devenir bourgeoises. En un mot, elle se crée un mode à son image. »
*[http://fr.wikipedia.org/wiki/Karl_Marx Karl Marx]
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« Pour obtenir le contrôle total, deux ingrédients sont essentiels : une banque centrale, et un impôt progressif, pour que les gens ne s'en rendent pas compte. »
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« '''Par l’exploitation du marché mondial, la bourgeoisie a donné une tournure cosmopolite à la production et à la consommation de tous les pays. Au grand regret des réactionnaires, elle a sapé sous les pieds de l’industrie sa base nationale.''' Les antiques industrie nationales ont été anéanties et continuent à l’être chaque jour. Elles sont évincées par des industries nouvelles, dont l’introduction devient une question ou de mort pour toutes les nations civilisées, des industries qui ne transforment plus des matières premières du pays, mais des matières premières en provenance des zones les plus reculées et dont les produits sont consommés non seulement dans le pays même, mais dans toutes les parties du monde à la fois. Les anciens besoins que satisfaisaient les produits nationaux sont remplacés par des besoins nouveau qui exigent pour leur satisfaction les produits des contrées et des climats les plus lointains. L’ancien isolement de localités et de nations qui se suffisaient à elles-mêmes fait place à des relations universelles, à une interdépendance universelle des nations. Et ce qui est vrai de la production matérielle l’est tout autant de la production intellectuelle. Les produits de l’esprit des diverses nations deviennent bien commun. L’exclusivisme et l’étroitesse nationaux deviennent de plus en plus impossibles, et de la multiplicité des littératures nationales et locales naît une littérature mondiale. »
*[http://fr.wikipedia.org/wiki/Karl_Marx Karl Marx]
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« Avant tout, nous constatons que les droits dits de l'homme, les droits de l'homme par opposition aux droits du citoyen, ne sont rien d'autre que les droits du membre de la société bourgeoise, c'est-à-dire de l'homme égoïste, de l'homme séparé de l'homme et de la collectivité. »
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« '''La bourgeoisie a dépouillé de leur auréole toutes les activités tenues jusqu’ici pour vénérables et considérées avec une piété mêlée de crainte. Elle a transformé le médecin, le juriste, le prêtre, le poète, l’homme de science, en salariés à ses gages.'''
*[http://fr.wikipedia.org/wiki/Karl_Marx Karl Marx]
 
  
« Il n'y a qu'une façon de tuer le capitalisme: des impôts, des impôts et toujours des impôts. »
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La bourgeoisie a arraché aux relations familiales leur voile sentimental attendrissant et les a ramenées à un pur rapport d’argent. [...]
*[http://fr.wikipedia.org/wiki/Karl_Marx Karl Marx]
 
  
« Toute classe qui aspire à la domination doit conquérir d'abord le pouvoir politique pour représenter à son tour son intérêt propre comme étant l'intérêt général. »
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La bourgeoisie ne peut exister sans révolutionner en permanence les instruments de production, donc les conditions de la production, donc l’ensemble des rapports sociaux. [...] Le bouleversement constant de la production, l’ébranlement incessant de toutes les conditions sociales, l’insécurité et l’agitation perpétuelle distinguent l’époque bourgeoise de toutes les époques antérieurs. [...] '''Toute hiérarchie sociale et tout ordre établi se volatilisent, tout ce qui est sacré est profané''' et les hommes sont enfin contraints de considérer d’un œil froid leur position dans la vie, leurs relations mutuelles. »
*[http://fr.wikipedia.org/wiki/Karl_Marx Karl Marx]
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« La religion est le soupir de la créature accablée, le cœur d’un monde sans cœur, comme elle est l’esprit d’une époque sans esprit. '''Elle est l'opium du peuple'''. »
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« '''La bourgeoisie a joué dans l’histoire un rôle hautement révolutionnaire.'''
*[http://fr.wikipedia.org/wiki/Karl_Marx Karl Marx], ''Contribution à la critique de la philosophie du droit de Hegel''
 
  
« Les philosophes n'ont fait qu'interpréter diversement le monde ; il s'agit maintenant de le transformer. »
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Là où elle est arrivée au pouvoir, la bourgeoisie a détruit tous les rapports féodaux, patriarcaux, idylliques. Elle a impitoyablement déchiré la variété bariolée des liens féodaux qui unissaient l’homme à ses supérieurs naturels et n’a laissé subsister d’autre lien entre l’homme et l’homme que l’intérêt tout nu, le dur “paiement comptant”. '''Elle a noyé dans les eaux glacées du calcul égoïste les frissons sacrés de l’exaltation religieuse''', de l’enthousiasme chevaleresque, de la mélancolie sentimentale des petits-bourgeois. »
*[http://fr.wikipedia.org/wiki/Karl_Marx Karl Marx], ''Thèse sur Feuerbach'', 1845
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{{Réf Livre
:„Die Philosophen haben die Welt nur verschieden interpretiert, es kömmt drauf an, sie zu verändern.
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|auteur=Karl Marx et [[Friedrich Engels]]
:*[http://de.wikipedia.org/wiki/Karl_Marx Karl Marx], ''Thesen über Feuerbach''
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<poem>« Bientôt je proférerai sur l'humanité
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« L’émancipation humaine n’est réalisée que lorsque l’homme a reconnu et organisé ses forces propres comme forces sociales et ne sépare donc plus de lui la force sociale sous la forme de la force politique. »
D'horribles malédictions [...]
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{{Réf Livre
S'il y a quelque chose capable de détruire,
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|auteur=Karl Marx
Je m'y jetterai à corps perdu,
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|titre=Sur la Question juive
Quitte à mener le monde à la ruine.
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|année d'origine=1843
Oui ce monde qui fait écran entre moi et l'abîme,
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|traducteur=Jean-Michel Palmier
Je le fracasserai en mille morceaux
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|éditeur=Kontre Kulture
A force de malédictions »</poem>
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|année=2013
*[http://fr.wikipedia.org/wiki/Karl_Marx Karl Marx], ''Oulanem''
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|ISBN=9782367250021
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|page=57}}
  
"Until its complete extermination or loss of national status, this racial trash always becomes the most fanatical bearer there is of counter-revolution, and it remains that. That is because its entire existence is nothing more than a protest against a great historical revolution... The next world war will cause not only reactionary classes and dynasties, but also entire reactionary peoples, to disappear from the earth. And that too is progress."
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« '''Aucun des prétendus droits de l’homme ne dépasse donc l’homme égoïste, l’hom­me en tant que membre de la société bourgeoise, c’est-à-dire un individu séparé de la communauté, replié sur lui-même, uniquement préoccupé de son intérêt personnel et obéissant à son arbitraire privé.''' L’homme est loin d’y être considéré comme un être générique ; tout au contraire, la vie générique elle-même, la société, apparaît comme un cadre extérieur à l’individu, comme une limitation de son indépendance originelle. Le seul lien qui les unisse, c’est la nécessité naturelle, le besoin et l’intérêt privé, la conservation de leurs propriétés et de leur personne égoïste. »
*[http://en.wikipedia.org/wiki/Karl_Marx Karl Marx], ''Neue Rheinische Zeitung'', 1849
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"The classes and the races too weak to master the new conditions of life must give way.... They must perish in the revolutionary holocaust."
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« La liberté est donc le droit de faire tout ce qui ne nuit pas à autrui. Les limites dans lesquelles chacun peut se mouvoir ''sans nuire'' à autrui sont marquées par la loi, de même que la limite de deux champs est déterminée par un piquet. Il s’agit de la liberté de l’homme considéré comme monade isolée, repliée sur elle-même. »
*[http://en.wikipedia.org/wiki/Karl_Marx Karl Marx], Marx People's Paper, April 16, 1856, ''Journal of the History of Idea'', 1981
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=== [[Culture]] ===
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« On fait une distinction entre les “droits de l’homme” et les “droits du citoyen”. Quel est cet “homme” distinct du citoyen ? Personne d’autre que le ''membre de la société bourgeoise''. Pourquoi le membre de la société bourgeoise est-il appelé “homme”, homme tout court, et pourquoi ses droits sont-ils appelés droits de l’homme ? Qu’est-ce qui explique ce fait ? Par le rapport de l’État politique à la société bourgeoise, par l’essence de l’émancipation politique.
  
« Une idée devient une force lorsqu’elle s’empare des masses. »
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Constatons avant tout le fait que '''les “droits de l’homme”, distincts des “droits du citoyen,” ne sont rien d’autre que les droits du membre de la société bourgeoise, c’est-à-dire de l’homme égoïste, de l’homme séparé de l’homme et de la communauté.''' »
*[http://fr.wikipedia.org/wiki/Karl_Marx Karl Marx]
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{{Center|Karl Marx 2|}}
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« L’État dit chrétien est l’État, ''imparfait'', et la religion chrétienne est pour lui le complément et la sanctification de son imper­fection. La religion devient donc nécessairement un moyen ; et c’est l’État de l’hypo­crisie. »
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=== [[Democracy]] ===
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== Citations sur Karl Marx ==
  
"Democracy is the road to socialism."
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Marx « était juif, donc étranger à l’Europe, et il se mêla pourtant, des affaires des peuples européens. [...] Marx ne peut être compris qu’en se plaçant à un point de vue juif. Ce n’est pas par hasard que tous ses traits sont mosaïques, macchabéique, talmudiques, et qu’ils possédaient toutes les caractéristiques du ghetto. [...] '''La doctrine de Marx est internationale, c’est pourquoi elle pu dissocier l’Europe et égarer les Européens.''' Son enseignement s’adressait au prolétariat parce qu’il lui semblait qu’en celui-ci s’étaient amortis les contrastes nationaux entre les peuples, contrastes qui paraissaient autant d’inconcevabilités, au juif qui habitait en lui, et autant de survivances ridicules à son esprit éclairé. Il omit la partie non-prolétarienne de l’humanité européenne, il ne la comprit pas parce qu’en n’en faisait pas partie, et qu’il n’avait aucun accès aux valeurs, qu’elle avait créées au cours des siècles. Mais il se sentait des affinités avec le prolétariat, parce que celui-ci était une chose nouvelle dans le monde, et qu’il était étranger à ce monde, comme il y était lui-même étranger. »
*[http://en.wikipedia.org/wiki/Marx Karl Marx]
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{{Réf Livre
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|auteur=[[Arthur Moeller van den Bruck]]
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|titre=Le Troisième Reich
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|traducteur=Jean Louis Lénault
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|année d'origine=1923
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|éditeur=Nouvelles Éditions latines
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|année=1981
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|ISBN=9782723301282
 +
|page=68-69}}
  
=== [[Race]] ===
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== Textes ==
  
« Observons le Juif de tous les jours, le Juif ordinaire et non celui du sabbat. Ne cherchons point le mystère du Juif dans sa religion, mais le mystère de sa religion dans le Juif réel. Quelle est donc la base mondaine du judaïsme ? C'est le besoin pratique, l'égoïsme. Quel est le culte mondain du Juif ? C'est le trafic. Quelle est la divinité mondaine du Juif ? C'est l'argent. »
+
*[[Sur la Question juive - Karl Marx]]
*[http://fr.wikipedia.org/wiki/Karl_Marx Karl Marx]
+
*[[La dette publique - Karl Marx]]
  
« Cette ordure de correspondant berlinois [...] est un youpin du nom de Meier... »
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== Bibliographie ==
*[http://fr.wikipedia.org/wiki/Karl_Marx Karl Marx]
 
  
« Cette demoiselle [...] est la créature la plus laide [...], une affreuse tête de juive.
+
{{Affiliation|https://kontrekulture.com/produit/sur-la-question-juive/&#63;asv&#61;7|https://cdn.culturepourtous.net/wp-content/uploads/20200626231224/sur-la-question-juive-300x300.png}}
*[http://fr.wikipedia.org/wiki/Karl_Marx Karl Marx]
 
  
« Il y a ici [à Ramsgate] beaucoup de juifs et de puces. »
+
{{DEFAULTSORT:Marx, Karl}}
*[http://fr.wikipedia.org/wiki/Karl_Marx Karl Marx]
+
[[Category:Auctores]]
 
+
{{Footer}}
« Ce négro-juif de Lassalle [...] ses cheveux le prouvent, il descend de nègres... »
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__NOTOC__
*[http://fr.wikipedia.org/wiki/Karl_Marx Karl Marx]
 
 
 
« La libération de l'Europe vis-à-vis des valeurs capitalistes est identique à sa libération vis-à-vis des valeurs juives. »
 
*[http://fr.wikipedia.org/wiki/Karl_Marx Karl Marx]
 
 
 
« La nationalité chimérique du Juif est la nationalité du commerçant, de l'homme d'argent en général. »
 
*[http://fr.wikipedia.org/wiki/Karl_Marx Karl Marx], ''La question juive'', 1844
 
 
 
« Ne cherchons pas le secret du Juif dans sa religion, mais cherchons le secret de la religion dans le Juif réel. Quel est le fond profane du judaïsme ? Le besoin pratique, l'utilité personnelle. Quel est le culte profane du Juif ? Le trafic. Quel est son dieu profane ? L'argent. [...] La nationalité chimérique du Juif est la nationalité du commerçant, de l'homme d'argent. Le judaïsme n'atteint son apogée qu'avec la perfection de la société bourgeoise ; mais la société bourgeoise n'atteint sa perfection que dans le monde chrétien [...]. Le christianisme est issu du judaïsme ; et il a fini par se ramener au judaïsme. [...] Ce n'est donc pas seulement dans le Pentateuque et le Talmud, c'est dans la société actuelle que nous trouvons l'essence du Juif de nos jours. [...] L'argent est le dieu jaloux d'Israël, devant qui nul autre dieu ne doit subsister. [...] L'argent abaisse tous les dieux de l'homme et les change en marchandise. L'argent est la valeur générale et constituée en soi de toutes choses. »
 
*[http://fr.wikipedia.org/wiki/Karl_Marx Karl Marx], ''La question juive'', 1844
 
 
 
"Until its complete extermination or loss of national status, this racial trash always becomes the most fanatical bearer there is of counter-revolution, and it remains that. That is because its entire existence is nothing more than a protest against a great historical revolution... The next world war will cause not only reactionary classes and dynasties, but also entire reactionary peoples, to disappear from the earth. And that too is progress."
 
*[http://en.wikipedia.org/wiki/Karl_Marx Karl Marx], ''Neue Rheinische Zeitung'', 1849
 
 
 
"The classes and the races too weak to master the new conditions of life must give way.... They must perish in the revolutionary holocaust."
 
*[http://en.wikipedia.org/wiki/Karl_Marx Karl Marx], Marx People's Paper, April 16, 1856, ''Journal of the History of Idea'', 1981
 
 
 
{{Center|Karl Marx|}}
 
 
 
=== [[Perversion]] ===
 
 
 
« Bridez la sexualité et vous hâterez l’émancipation du prolétariat ! »
 
*[http://fr.wikipedia.org/wiki/Karl_Marx Karl Marx]
 
 
 
=== [[Property]] ===
 
 
 
« La propriété privée nous a rendus si stupides et si bornés qu'un objet n'est nôtre que lorsque nous le possédons. »
 
*[http://fr.wikipedia.org/wiki/Karl_Marx Karl Marx]
 
 
 
=== [[Family]] ===
 
 
 
« Dans la famille, l'homme est le bourgeois ; la femme joue le rôle du prolétariat. »
 
*[http://fr.wikipedia.org/wiki/Karl_Marx Karl Marx], ''L'Origine de la famille, de la propriété privée et de l'État''
 
 
 
=== [[War]] ===
 
 
 
« Les outrages commis par les Cipayes révoltés en Inde sont réellement épouvantables, affreux, indicibles — comme ceux qu'on ne s'attend à voir que dans les guerres de mutinerie, de nationalités, de races, et par-dessus tout de religion ; en un mot, comme ceux que la respectable Angleterre avait coutume d'applaudir lorsqu'ils étaient perpétrés par les Vendéens contre les "Bleus", par les guérilleros espagnols contres les Français infidèles, par les Serbes contre leurs voisins allemands et hongrois, par les Croates contre les rebelles viennois, par la garde mobile de Cavaignac ou les Décembristes de Bonaparte contre les fils et les filles de la France prolétarienne.
 
 
 
Aussi infâme que soit la conduite des Cipayes, elle n'est que le reflet, sous une forme concentrée, de la propre conduite de l'Angleterre en Inde... »
 
*[http://fr.wikipedia.org/wiki/Karl_Marx Karl Marx]
 
 
 
=== [[Revolution]] ===
 
 
 
« La bourgeoisie a joué dans l'histoire un rôle éminemment révolutionnaire.
 
 
 
Partout où elle a conquis le pouvoir, elle a foulé aux pieds les relations féodales, patriarcales et idylliques. Tous les liens complexes et variés qui unissent l'homme féodal à ses "supérieurs naturels", elle les a brisés sans pitié pour ne laisser subsister d'autre lien, entre l'homme et l'homme, que le froid intérêt, les dures exigences du "paiement au comptant". Elle a noyé les frissons sacrés de l'extase religieuse, de l'enthousiasme chevaleresque, de la sentimentalité petite-bourgeoise dans les eaux glacées du calcul égoïste. Elle a fait de la dignité personnelle une simple valeur d'échange; elle a substitué aux nombreuses libertés, si chèrement conquises, l'unique et impitoyable liberté du commerce. En un mot, à la place de l'exploitation que masquaient les illusions religieuses et politiques, elle a mis une exploitation ouverte, éhontée, directe, brutale.
 
 
 
La bourgeoisie a dépouillé de leur auréole toutes les activités qui passaient jusque-là pour vénérables et qu'on considérait avec un saint respect. Le médecin, le juriste, le prêtre, le poète, le savant, elle en a fait des salariés à ses gages.
 
 
 
La bourgeoisie a déchiré le voile de sentimentalité qui recouvrait les relations de famille et les a réduites à n'être que de simples rapports d'argent.
 
 
 
La bourgeoisie a révélé comment la brutale manifestation de la force au moyen âge, si admirée de la réaction, trouva son complément naturel dans la paresse la plus crasse. C'est elle qui, la première, a fait voir ce dont est capable l'activité humaine. Elle a créé de tout autres merveilles que les pyramides d'Egypte, les aqueducs romains, les cathédrales gothiques; elle a mené à bien de tout autres expéditions que les invasions et les croisades.
 
 
 
La bourgeoisie ne peut exister sans révolutionner constamment les instruments de production, ce qui veut dire les rapports de production, c'est-à-dire l'ensemble des rapports sociaux. Le maintien sans changement de l'ancien mode de production était, au contraire, pour toutes les classes industrielles antérieures, la condition première de leur existence. Ce bouleversement continuel de la production, ce constant ébranlement de tout le système social, cette agitation et cette insécurité perpétuelles distinguent l'époque bourgeoise de toutes les précédentes. Tous les rapports sociaux, figés et couverts de rouille, avec leur cortège de conceptions et d'idées antiques et vénérables, se dissolvent; ceux qui les remplacent vieillissent avant d'avoir pu s'ossifier. Tout ce qui avait solidité et permanence s'en va en fumée, tout ce qui était sacré est profané, et les hommes sont forcés enfin d'envisager leurs conditions d'existence et leurs rapports réciproques avec des yeux désabusés.
 
 
 
Poussée par le besoin de débouchés toujours nouveaux, la bourgeoisie envahit le globe entier. »
 
*[http://fr.wikipedia.org/wiki/Karl_Marx Karl Marx], ''Manifeste du Parti Communiste'', 1848
 
 
 
== Quotes about Karl Marx ==
 
 
 
« Marx [...] notre maitre immortel à tous. »
 
*[[Benito Mussolini]]
 
 
 
« Comme Keynes, il est possible d’admirer Marx tout en considérant néanmoins que sa vision sociale est fausse et que chacune des préoccupations est fallacieuse. »
 
*[http://fr.wikipedia.org/wiki/Joseph_Schumpeter Joseph Schumpeter]
 
 
 
"There is one good thing about Marx: he was not a Keynesian."
 
*[[Murray Rothbard]]
 
 
 
[[Category:Government]]
 
[[Category:Communism]]
 
[[Category:Culture]]
 
[[Category:Democracy]]
 
[[Category:Race]]
 
[[Category:Perversion]]
 
[[Category:Property]]
 
[[Category:Family]]
 
[[Category:War]]
 
[[Category:Revolution]]
 
[[Category:Economists]]
 
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Version actuelle datée du 23 avril 2024 à 20:46

Karl Marx.jpg

Citations

« Le pouvoir politique au sens propre est le pouvoir organisé d’une classe pour l’oppression d’une autre. »

— Karl Marx et Friedrich Engels, Manifeste du Parti communiste (1848), trad. Émile Bottigelli, éd. Flammarion, coll. « Garnier Flammarion », 1998 (ISBN 9782080710024), p. 101


« Que prouve l’histoire des idées sinon que la production intellectuelle se métamorphose avec la production matérielle ? Les idées dominantes d’une époque n’ont toujours été que les idées de la classe dominante. »

— Karl Marx et Friedrich Engels, Manifeste du Parti communiste (1848), trad. Émile Bottigelli, éd. Flammarion, coll. « Garnier Flammarion », 1998 (ISBN 9782080710024), p. 99


« La bourgeoisie a soumis la campagne à la domination de la ville. Elle a crée des villes énormes, elle a considérablement augmenté la population urbaine par rapport à celle des campagnes et arraché ainsi une part importante de la population à l’abêtissement de la vie rurale. Tout comme elle a assujetti la campagne à la ville, elle a rendu les pays barbares ou à demi barbares dépendants des pays civilisés, les peuples paysans dépendants des peuples bourgeois, l’Orient de l’Occident. »

— Karl Marx et Friedrich Engels, Manifeste du Parti communiste (1848), trad. Émile Bottigelli, éd. Flammarion, coll. « Garnier Flammarion », 1998 (ISBN 9782080710024), p. 79


« Grâce au perfectionnement rapide de tous les instruments de production, grâce aux communications rendues infiniment plus faciles, la bourgeoisie entraîne brutalement dans la civilisation toutes les nations, même les plus barbares. Le bon marché de ses marchandises est l’artillerie lourde avec laquelle elle abat toutes les murailles de Chine et contraint à capituler les barbares qui nourrissent la haine la plus opiniâtre de l’étranger. Elle oblige toutes les nations à faire leur, si elles ne veulent pas disparaître, le mode de production de la bourgeoisie ; elle les contraint à introduire chez elles ce qu’elle appelle la civilisation, c’est-à-dire à devenir bourgeoises. En un mot, elle se crée un mode à son image. »

— Karl Marx et Friedrich Engels, Manifeste du Parti communiste (1848), trad. Émile Bottigelli, éd. Flammarion, coll. « Garnier Flammarion », 1998 (ISBN 9782080710024), p. 78-79


« Par l’exploitation du marché mondial, la bourgeoisie a donné une tournure cosmopolite à la production et à la consommation de tous les pays. Au grand regret des réactionnaires, elle a sapé sous les pieds de l’industrie sa base nationale. Les antiques industrie nationales ont été anéanties et continuent à l’être chaque jour. Elles sont évincées par des industries nouvelles, dont l’introduction devient une question ou de mort pour toutes les nations civilisées, des industries qui ne transforment plus des matières premières du pays, mais des matières premières en provenance des zones les plus reculées et dont les produits sont consommés non seulement dans le pays même, mais dans toutes les parties du monde à la fois. Les anciens besoins que satisfaisaient les produits nationaux sont remplacés par des besoins nouveau qui exigent pour leur satisfaction les produits des contrées et des climats les plus lointains. L’ancien isolement de localités et de nations qui se suffisaient à elles-mêmes fait place à des relations universelles, à une interdépendance universelle des nations. Et ce qui est vrai de la production matérielle l’est tout autant de la production intellectuelle. Les produits de l’esprit des diverses nations deviennent bien commun. L’exclusivisme et l’étroitesse nationaux deviennent de plus en plus impossibles, et de la multiplicité des littératures nationales et locales naît une littérature mondiale. »

— Karl Marx et Friedrich Engels, Manifeste du Parti communiste (1848), trad. Émile Bottigelli, éd. Flammarion, coll. « Garnier Flammarion », 1998 (ISBN 9782080710024), p. 78


« La bourgeoisie a dépouillé de leur auréole toutes les activités tenues jusqu’ici pour vénérables et considérées avec une piété mêlée de crainte. Elle a transformé le médecin, le juriste, le prêtre, le poète, l’homme de science, en salariés à ses gages.

La bourgeoisie a arraché aux relations familiales leur voile sentimental attendrissant et les a ramenées à un pur rapport d’argent. [...]

La bourgeoisie ne peut exister sans révolutionner en permanence les instruments de production, donc les conditions de la production, donc l’ensemble des rapports sociaux. [...] Le bouleversement constant de la production, l’ébranlement incessant de toutes les conditions sociales, l’insécurité et l’agitation perpétuelle distinguent l’époque bourgeoise de toutes les époques antérieurs. [...] Toute hiérarchie sociale et tout ordre établi se volatilisent, tout ce qui est sacré est profané et les hommes sont enfin contraints de considérer d’un œil froid leur position dans la vie, leurs relations mutuelles. »

— Karl Marx et Friedrich Engels, Manifeste du Parti communiste (1848), trad. Émile Bottigelli, éd. Flammarion, coll. « Garnier Flammarion », 1998 (ISBN 9782080710024), p. 77


« La bourgeoisie a joué dans l’histoire un rôle hautement révolutionnaire.

Là où elle est arrivée au pouvoir, la bourgeoisie a détruit tous les rapports féodaux, patriarcaux, idylliques. Elle a impitoyablement déchiré la variété bariolée des liens féodaux qui unissaient l’homme à ses supérieurs naturels et n’a laissé subsister d’autre lien entre l’homme et l’homme que l’intérêt tout nu, le dur “paiement comptant”. Elle a noyé dans les eaux glacées du calcul égoïste les frissons sacrés de l’exaltation religieuse, de l’enthousiasme chevaleresque, de la mélancolie sentimentale des petits-bourgeois. »

— Karl Marx et Friedrich Engels, Manifeste du Parti communiste (1848), trad. Émile Bottigelli, éd. Flammarion, coll. « Garnier Flammarion », 1998 (ISBN 9782080710024), p. 76


« L’émancipation humaine n’est réalisée que lorsque l’homme a reconnu et organisé ses forces propres comme forces sociales et ne sépare donc plus de lui la force sociale sous la forme de la force politique. »

— Karl Marx, Sur la Question juive (1843), trad. Jean-Michel Palmier, éd. Kontre Kulture, 2013 (ISBN 9782367250021), p. 57


« Aucun des prétendus droits de l’homme ne dépasse donc l’homme égoïste, l’hom­me en tant que membre de la société bourgeoise, c’est-à-dire un individu séparé de la communauté, replié sur lui-même, uniquement préoccupé de son intérêt personnel et obéissant à son arbitraire privé. L’homme est loin d’y être considéré comme un être générique ; tout au contraire, la vie générique elle-même, la société, apparaît comme un cadre extérieur à l’individu, comme une limitation de son indépendance originelle. Le seul lien qui les unisse, c’est la nécessité naturelle, le besoin et l’intérêt privé, la conservation de leurs propriétés et de leur personne égoïste. »

— Karl Marx, Sur la Question juive (1843), trad. Jean-Michel Palmier, éd. Kontre Kulture, 2013 (ISBN 9782367250021), p. 51


« La liberté est donc le droit de faire tout ce qui ne nuit pas à autrui. Les limites dans lesquelles chacun peut se mouvoir sans nuire à autrui sont marquées par la loi, de même que la limite de deux champs est déterminée par un piquet. Il s’agit de la liberté de l’homme considéré comme monade isolée, repliée sur elle-même. »

— Karl Marx, Sur la Question juive (1843), trad. Jean-Michel Palmier, éd. Kontre Kulture, 2013 (ISBN 9782367250021), p. 49


« On fait une distinction entre les “droits de l’homme” et les “droits du citoyen”. Quel est cet “homme” distinct du citoyen ? Personne d’autre que le membre de la société bourgeoise. Pourquoi le membre de la société bourgeoise est-il appelé “homme”, homme tout court, et pourquoi ses droits sont-ils appelés droits de l’homme ? Qu’est-ce qui explique ce fait ? Par le rapport de l’État politique à la société bourgeoise, par l’essence de l’émancipation politique.

Constatons avant tout le fait que les “droits de l’homme”, distincts des “droits du citoyen,” ne sont rien d’autre que les droits du membre de la société bourgeoise, c’est-à-dire de l’homme égoïste, de l’homme séparé de l’homme et de la communauté. »

— Karl Marx, Sur la Question juive (1843), trad. Jean-Michel Palmier, éd. Kontre Kulture, 2013 (ISBN 9782367250021), p. 48-49


« L’État dit chrétien est l’État, imparfait, et la religion chrétienne est pour lui le complément et la sanctification de son imper­fection. La religion devient donc nécessairement un moyen ; et c’est l’État de l’hypo­crisie. »

— Karl Marx, Sur la Question juive (1843), trad. Jean-Michel Palmier, éd. Kontre Kulture, 2013 (ISBN 9782367250021), p. 40


Citations sur Karl Marx

Marx « était juif, donc étranger à l’Europe, et il se mêla pourtant, des affaires des peuples européens. [...] Marx ne peut être compris qu’en se plaçant à un point de vue juif. Ce n’est pas par hasard que tous ses traits sont mosaïques, macchabéique, talmudiques, et qu’ils possédaient toutes les caractéristiques du ghetto. [...] La doctrine de Marx est internationale, c’est pourquoi elle pu dissocier l’Europe et égarer les Européens. Son enseignement s’adressait au prolétariat parce qu’il lui semblait qu’en celui-ci s’étaient amortis les contrastes nationaux entre les peuples, contrastes qui paraissaient autant d’inconcevabilités, au juif qui habitait en lui, et autant de survivances ridicules à son esprit éclairé. Il omit la partie non-prolétarienne de l’humanité européenne, il ne la comprit pas parce qu’en n’en faisait pas partie, et qu’il n’avait aucun accès aux valeurs, qu’elle avait créées au cours des siècles. Mais il se sentait des affinités avec le prolétariat, parce que celui-ci était une chose nouvelle dans le monde, et qu’il était étranger à ce monde, comme il y était lui-même étranger. »

Arthur Moeller van den Bruck, Le Troisième Reich (1923), trad. Jean Louis Lénault, éd. Nouvelles Éditions latines, 1981 (ISBN 9782723301282), p. 68-69


Textes

Bibliographie

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