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== Citations ==
  
« Ce n'est pas la conscience des hommes qui détermine leur existence, c'est au contraire leur existence sociale qui détermine leur conscience. »
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« '''Le pouvoir politique au sens propre est le pouvoir organisé d’une classe pour l’oppression d’une autre.''' »
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« '''Que prouve l’histoire des idées sinon que la production intellectuelle se métamorphose avec la production matérielle ? Les idées dominantes d’une époque n’ont toujours été que les idées de la classe dominante.''' »
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« Pour obtenir le contrôle total, deux ingrédients sont essentiels : une banque centrale, et un impôt progressif, pour que les gens ne s'en rendent pas compte. »
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« '''La bourgeoisie a soumis la campagne à la domination de la ville.''' Elle a crée des villes énormes, elle a considérablement augmenté la population urbaine par rapport à celle des campagnes et arraché ainsi une part importante de la population à l’abêtissement de la vie rurale. Tout comme elle a assujetti la campagne à la ville, elle a rendu les pays barbares ou à demi barbares dépendants des pays civilisés, les peuples paysans dépendants des peuples bourgeois, l’Orient de l’Occident. »
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« Grâce au perfectionnement rapide de tous les instruments de production, grâce aux communications rendues infiniment plus faciles, la bourgeoisie entraîne brutalement dans la civilisation toutes les nations, même les plus barbares. Le bon marché de ses marchandises est l’artillerie lourde avec laquelle elle abat toutes les murailles de Chine et contraint à capituler les barbares qui nourrissent la haine la plus opiniâtre de l’étranger. Elle oblige toutes les nations à faire leur, si elles ne veulent pas disparaître, le mode de production de la bourgeoisie ; elle les contraint à introduire chez elles ce qu’elle appelle la civilisation, c’est-à-dire à devenir bourgeoises. En un mot, elle se crée un mode à son image. »
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« Avant tout, nous constatons que les droits dits de l'homme, les droits de l'homme par opposition aux droits du citoyen, ne sont rien d'autre que les droits du membre de la société bourgeoise, c'est-à-dire de l'homme égoïste, de l'homme séparé de l'homme et de la collectivité. »
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« '''Par l’exploitation du marché mondial, la bourgeoisie a donné une tournure cosmopolite à la production et à la consommation de tous les pays. Au grand regret des réactionnaires, elle a sapé sous les pieds de l’industrie sa base nationale.''' Les antiques industrie nationales ont été anéanties et continuent à l’être chaque jour. Elles sont évincées par des industries nouvelles, dont l’introduction devient une question ou de mort pour toutes les nations civilisées, des industries qui ne transforment plus des matières premières du pays, mais des matières premières en provenance des zones les plus reculées et dont les produits sont consommés non seulement dans le pays même, mais dans toutes les parties du monde à la fois. Les anciens besoins que satisfaisaient les produits nationaux sont remplacés par des besoins nouveau qui exigent pour leur satisfaction les produits des contrées et des climats les plus lointains. L’ancien isolement de localités et de nations qui se suffisaient à elles-mêmes fait place à des relations universelles, à une interdépendance universelle des nations. Et ce qui est vrai de la production matérielle l’est tout autant de la production intellectuelle. Les produits de l’esprit des diverses nations deviennent bien commun. L’exclusivisme et l’étroitesse nationaux deviennent de plus en plus impossibles, et de la multiplicité des littératures nationales et locales naît une littérature mondiale. »
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« '''La bourgeoisie a dépouillé de leur auréole toutes les activités tenues jusqu’ici pour vénérables et considérées avec une piété mêlée de crainte. Elle a transformé le médecin, le juriste, le prêtre, le poète, l’homme de science, en salariés à ses gages.'''
  
« Il n'y a qu'une façon de tuer le capitalisme: des impôts, des impôts et toujours des impôts. »
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La bourgeoisie a arraché aux relations familiales leur voile sentimental attendrissant et les a ramenées à un pur rapport d’argent. [...]
  
*[http://fr.wikipedia.org/wiki/Karl_Marx Karl Marx]
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La bourgeoisie ne peut exister sans révolutionner en permanence les instruments de production, donc les conditions de la production, donc l’ensemble des rapports sociaux. [...] Le bouleversement constant de la production, l’ébranlement incessant de toutes les conditions sociales, l’insécurité et l’agitation perpétuelle distinguent l’époque bourgeoise de toutes les époques antérieurs. [...] '''Toute hiérarchie sociale et tout ordre établi se volatilisent, tout ce qui est sacré est profané''' et les hommes sont enfin contraints de considérer d’un œil froid leur position dans la vie, leurs relations mutuelles. »
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« Toute ce qui aspire à la domination doit conquérir d'abord le pouvoir politique pour représenter à son tour son intérêt propre comme étant l'intérêt général. »
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« '''La bourgeoisie a joué dans l’histoire un rôle hautement révolutionnaire.'''
  
*[http://fr.wikipedia.org/wiki/Karl_Marx Karl Marx]
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Là où elle est arrivée au pouvoir, la bourgeoisie a détruit tous les rapports féodaux, patriarcaux, idylliques. Elle a impitoyablement déchiré la variété bariolée des liens féodaux qui unissaient l’homme à ses supérieurs naturels et n’a laissé subsister d’autre lien entre l’homme et l’homme que l’intérêt tout nu, le dur “paiement comptant”. '''Elle a noyé dans les eaux glacées du calcul égoïste les frissons sacrés de l’exaltation religieuse''', de l’enthousiasme chevaleresque, de la mélancolie sentimentale des petits-bourgeois. »
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« La religion est le soupir de la créature accablée, le cœur d’un monde sans cœur, comme elle est l’esprit d’une époque sans esprit. '''Elle est l'opium du peuple'''. »
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« L’émancipation humaine n’est réalisée que lorsque l’homme a reconnu et organisé ses forces propres comme forces sociales et ne sépare donc plus de lui la force sociale sous la forme de la force politique. »
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*[http://fr.wikipedia.org/wiki/Karl_Marx Karl Marx], ''Contribution à la critique de la philosophie du droit de Hegel''
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« '''Aucun des prétendus droits de l’homme ne dépasse donc l’homme égoïste, l’hom­me en tant que membre de la société bourgeoise, c’est-à-dire un individu séparé de la communauté, replié sur lui-même, uniquement préoccupé de son intérêt personnel et obéissant à son arbitraire privé.''' L’homme est loin d’y être considéré comme un être générique ; tout au contraire, la vie générique elle-même, la société, apparaît comme un cadre extérieur à l’individu, comme une limitation de son indépendance originelle. Le seul lien qui les unisse, c’est la nécessité naturelle, le besoin et l’intérêt privé, la conservation de leurs propriétés et de leur personne égoïste. »
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« Les philosophes n'ont fait qu'interpréter diversement le monde ; il s'agit maintenant de le transformer. »
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« La liberté est donc le droit de faire tout ce qui ne nuit pas à autrui. Les limites dans lesquelles chacun peut se mouvoir ''sans nuire'' à autrui sont marquées par la loi, de même que la limite de deux champs est déterminée par un piquet. Il s’agit de la liberté de l’homme considéré comme monade isolée, repliée sur elle-même. »
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*[http://fr.wikipedia.org/wiki/Karl_Marx Karl Marx], ''Thèse sur Feuerbach'', 1845
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« On fait une distinction entre les “droits de l’homme” et les “droits du citoyen”. Quel est cet “homme” distinct du citoyen ? Personne d’autre que le ''membre de la société bourgeoise''. Pourquoi le membre de la société bourgeoise est-il appelé “homme”, homme tout court, et pourquoi ses droits sont-ils appelés droits de l’homme ? Qu’est-ce qui explique ce fait ? Par le rapport de l’État politique à la société bourgeoise, par l’essence de l’émancipation politique.
  
:„Die Philosophen haben die Welt nur verschieden interpretiert, es kömmt drauf an, sie zu verändern.
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Constatons avant tout le fait que '''les “droits de l’homme”, distincts des “droits du citoyen,” ne sont rien d’autre que les droits du membre de la société bourgeoise, c’est-à-dire de l’homme égoïste, de l’homme séparé de l’homme et de la communauté.''' »
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:*[http://de.wikipedia.org/wiki/Karl_Marx Karl Marx], ''Thesen über Feuerbach''
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« L’État dit chrétien est l’État, ''imparfait'', et la religion chrétienne est pour lui le complément et la sanctification de son imper­fection. La religion devient donc nécessairement un moyen ; et c’est l’État de l’hypo­crisie. »
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|page=40}}
  
<poem>« Bientôt je proférerai sur l'humanité
+
== Citations sur Karl Marx ==
D'horribles malédictions [...]
 
S'il y a quelque chose capable de détruire,
 
Je m'y jetterai à corps perdu,
 
Quitte à mener le monde à la ruine.
 
Oui ce monde qui fait écran entre moi et l'abîme,
 
Je le fracasserai en mille morceaux
 
A force de malédictions »</poem>
 
  
*[http://fr.wikipedia.org/wiki/Karl_Marx Karl Marx], ''Oulanem''
+
Marx « était juif, donc étranger à l’Europe, et il se mêla pourtant, des affaires des peuples européens. [...] Marx ne peut être compris qu’en se plaçant à un point de vue juif. Ce n’est pas par hasard que tous ses traits sont mosaïques, macchabéique, talmudiques, et qu’ils possédaient toutes les caractéristiques du ghetto. [...] '''La doctrine de Marx est internationale, c’est pourquoi elle pu dissocier l’Europe et égarer les Européens.''' Son enseignement s’adressait au prolétariat parce qu’il lui semblait qu’en celui-ci s’étaient amortis les contrastes nationaux entre les peuples, contrastes qui paraissaient autant d’inconcevabilités, au juif qui habitait en lui, et autant de survivances ridicules à son esprit éclairé. Il omit la partie non-prolétarienne de l’humanité européenne, il ne la comprit pas parce qu’en n’en faisait pas partie, et qu’il n’avait aucun accès aux valeurs, qu’elle avait créées au cours des siècles. Mais il se sentait des affinités avec le prolétariat, parce que celui-ci était une chose nouvelle dans le monde, et qu’il était étranger à ce monde, comme il y était lui-même étranger. »
 +
{{Réf Livre
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|auteur=[[Arthur Moeller van den Bruck]]
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|titre=Le Troisième Reich
 +
|traducteur=Jean Louis Lénault
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|année d'origine=1923
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|éditeur=Nouvelles Éditions latines
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|année=1981
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|ISBN=9782723301282
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|page=68-69}}
  
=== [[:Category:Democracy|Democracy]] ===
+
== Textes ==
  
"Democracy is the road to socialism."
+
*[[Sur la Question juive - Karl Marx]]
 +
*[[La dette publique - Karl Marx]]
  
*[http://en.wikipedia.org/wiki/Marx Karl Marx]
+
== Bibliographie ==
  
=== [[:Category:Racism|Racism]] ===
+
{{Affiliation|https://kontrekulture.com/produit/sur-la-question-juive/&#63;asv&#61;7|https://cdn.culturepourtous.net/wp-content/uploads/20200626231224/sur-la-question-juive-300x300.png}}
  
« Observons le Juif de tous les jours, le Juif ordinaire et non celui du sabbat. Ne cherchons point le mystère du Juif dans sa religion, mais le mystère de sa religion dans le Juif réel. Quelle est donc la base mondaine du judaïsme ? C'est le besoin pratique, l'égoïsme. Quel est le culte mondain du Juif ? C'est le trafic. Quelle est la divinité mondaine du Juif ? C'est l'argent. »
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{{DEFAULTSORT:Marx, Karl}}
 
+
[[Category:Auctores]]
*[http://fr.wikipedia.org/wiki/Karl_Marx Karl Marx]
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{{Footer}}
 
+
__NOTOC__
« Cette ordure de correspondant berlinois [...] est un youpin du nom de Meier... »
 
 
 
*[http://fr.wikipedia.org/wiki/Karl_Marx Karl Marx]
 
 
 
« Cette demoiselle [...] est la créature la plus laide [...], une affreuse tête de juive.
 
 
 
*[http://fr.wikipedia.org/wiki/Karl_Marx Karl Marx]
 
 
 
« Il y a ici beaucoup de juifs et de puces. »
 
 
 
*[http://fr.wikipedia.org/wiki/Karl_Marx Karl Marx]
 
 
 
« Ce négro-juif de Lassalle [...] ses cheveux le prouvent, il descend de nègres... »
 
 
 
*[http://fr.wikipedia.org/wiki/Karl_Marx Karl Marx]
 
 
 
« La libération de l'Europe vis-à-vis des valeurs capitalistes est identique à sa libération vis-à-vis des valeurs juives. »
 
 
 
*[http://fr.wikipedia.org/wiki/Karl_Marx Karl Marx]
 
 
 
« La nationalité chimérique du Juif est la nationalité du commerçant, de l'homme d'argent en général. »
 
 
 
*[http://fr.wikipedia.org/wiki/Karl_Marx Karl Marx], ''La question juive'', 1844
 
 
 
« Ne cherchons pas le secret du Juif dans sa religion, mais cherchons le secret de la religion dans le Juif réel. Quel est le fond profane du judaïsme ? Le besoin pratique, l'utilité personnelle. Quel est le culte profane du Juif ? Le trafic. Quel est son dieu profane ? L'argent. [...] La nationalité chimérique du Juif est la nationalité du commerçant, de l'homme d'argent. Le judaïsme n'atteint son apogée qu'avec la perfection de la société bourgeoise ; mais la société bourgeoise n'atteint sa perfection que dans le monde chrétien [...]. Le christianisme est issu du judaïsme ; et il a fini par se ramener au judaïsme. [...] Ce n'est donc pas seulement dans le Pentateuque et le Talmud, c'est dans la société actuelle que nous trouvons l'essence du Juif de nos jours. [...] L'argent est le dieu jaloux d'Israël, devant qui nul autre dieu ne doit subsister. [...] L'argent abaisse tous les dieux de l'homme et les change en marchandise. L'argent est la valeur générale et constituée en soi de toutes choses. »
 
 
 
*[http://fr.wikipedia.org/wiki/Karl_Marx Karl Marx], ''La question juive'', 1844
 
 
 
=== [[:Category:Perversion|Perversion]] ===
 
 
 
« Bridez la sexualité et vous hâterez l’émancipation du prolétariat ! »
 
 
 
*[http://fr.wikipedia.org/wiki/Karl_Marx Karl Marx]
 
 
 
[[Category:Communism]]
 
[[Category:Democracy]]
 
[[Category:Racism]]
 
[[Category:Perversion]]
 
[[Category:Revolutionaries]]
 

Version actuelle datée du 23 avril 2024 à 20:46

Karl Marx.jpg

Citations

« Le pouvoir politique au sens propre est le pouvoir organisé d’une classe pour l’oppression d’une autre. »

— Karl Marx et Friedrich Engels, Manifeste du Parti communiste (1848), trad. Émile Bottigelli, éd. Flammarion, coll. « Garnier Flammarion », 1998 (ISBN 9782080710024), p. 101


« Que prouve l’histoire des idées sinon que la production intellectuelle se métamorphose avec la production matérielle ? Les idées dominantes d’une époque n’ont toujours été que les idées de la classe dominante. »

— Karl Marx et Friedrich Engels, Manifeste du Parti communiste (1848), trad. Émile Bottigelli, éd. Flammarion, coll. « Garnier Flammarion », 1998 (ISBN 9782080710024), p. 99


« La bourgeoisie a soumis la campagne à la domination de la ville. Elle a crée des villes énormes, elle a considérablement augmenté la population urbaine par rapport à celle des campagnes et arraché ainsi une part importante de la population à l’abêtissement de la vie rurale. Tout comme elle a assujetti la campagne à la ville, elle a rendu les pays barbares ou à demi barbares dépendants des pays civilisés, les peuples paysans dépendants des peuples bourgeois, l’Orient de l’Occident. »

— Karl Marx et Friedrich Engels, Manifeste du Parti communiste (1848), trad. Émile Bottigelli, éd. Flammarion, coll. « Garnier Flammarion », 1998 (ISBN 9782080710024), p. 79


« Grâce au perfectionnement rapide de tous les instruments de production, grâce aux communications rendues infiniment plus faciles, la bourgeoisie entraîne brutalement dans la civilisation toutes les nations, même les plus barbares. Le bon marché de ses marchandises est l’artillerie lourde avec laquelle elle abat toutes les murailles de Chine et contraint à capituler les barbares qui nourrissent la haine la plus opiniâtre de l’étranger. Elle oblige toutes les nations à faire leur, si elles ne veulent pas disparaître, le mode de production de la bourgeoisie ; elle les contraint à introduire chez elles ce qu’elle appelle la civilisation, c’est-à-dire à devenir bourgeoises. En un mot, elle se crée un mode à son image. »

— Karl Marx et Friedrich Engels, Manifeste du Parti communiste (1848), trad. Émile Bottigelli, éd. Flammarion, coll. « Garnier Flammarion », 1998 (ISBN 9782080710024), p. 78-79


« Par l’exploitation du marché mondial, la bourgeoisie a donné une tournure cosmopolite à la production et à la consommation de tous les pays. Au grand regret des réactionnaires, elle a sapé sous les pieds de l’industrie sa base nationale. Les antiques industrie nationales ont été anéanties et continuent à l’être chaque jour. Elles sont évincées par des industries nouvelles, dont l’introduction devient une question ou de mort pour toutes les nations civilisées, des industries qui ne transforment plus des matières premières du pays, mais des matières premières en provenance des zones les plus reculées et dont les produits sont consommés non seulement dans le pays même, mais dans toutes les parties du monde à la fois. Les anciens besoins que satisfaisaient les produits nationaux sont remplacés par des besoins nouveau qui exigent pour leur satisfaction les produits des contrées et des climats les plus lointains. L’ancien isolement de localités et de nations qui se suffisaient à elles-mêmes fait place à des relations universelles, à une interdépendance universelle des nations. Et ce qui est vrai de la production matérielle l’est tout autant de la production intellectuelle. Les produits de l’esprit des diverses nations deviennent bien commun. L’exclusivisme et l’étroitesse nationaux deviennent de plus en plus impossibles, et de la multiplicité des littératures nationales et locales naît une littérature mondiale. »

— Karl Marx et Friedrich Engels, Manifeste du Parti communiste (1848), trad. Émile Bottigelli, éd. Flammarion, coll. « Garnier Flammarion », 1998 (ISBN 9782080710024), p. 78


« La bourgeoisie a dépouillé de leur auréole toutes les activités tenues jusqu’ici pour vénérables et considérées avec une piété mêlée de crainte. Elle a transformé le médecin, le juriste, le prêtre, le poète, l’homme de science, en salariés à ses gages.

La bourgeoisie a arraché aux relations familiales leur voile sentimental attendrissant et les a ramenées à un pur rapport d’argent. [...]

La bourgeoisie ne peut exister sans révolutionner en permanence les instruments de production, donc les conditions de la production, donc l’ensemble des rapports sociaux. [...] Le bouleversement constant de la production, l’ébranlement incessant de toutes les conditions sociales, l’insécurité et l’agitation perpétuelle distinguent l’époque bourgeoise de toutes les époques antérieurs. [...] Toute hiérarchie sociale et tout ordre établi se volatilisent, tout ce qui est sacré est profané et les hommes sont enfin contraints de considérer d’un œil froid leur position dans la vie, leurs relations mutuelles. »

— Karl Marx et Friedrich Engels, Manifeste du Parti communiste (1848), trad. Émile Bottigelli, éd. Flammarion, coll. « Garnier Flammarion », 1998 (ISBN 9782080710024), p. 77


« La bourgeoisie a joué dans l’histoire un rôle hautement révolutionnaire.

Là où elle est arrivée au pouvoir, la bourgeoisie a détruit tous les rapports féodaux, patriarcaux, idylliques. Elle a impitoyablement déchiré la variété bariolée des liens féodaux qui unissaient l’homme à ses supérieurs naturels et n’a laissé subsister d’autre lien entre l’homme et l’homme que l’intérêt tout nu, le dur “paiement comptant”. Elle a noyé dans les eaux glacées du calcul égoïste les frissons sacrés de l’exaltation religieuse, de l’enthousiasme chevaleresque, de la mélancolie sentimentale des petits-bourgeois. »

— Karl Marx et Friedrich Engels, Manifeste du Parti communiste (1848), trad. Émile Bottigelli, éd. Flammarion, coll. « Garnier Flammarion », 1998 (ISBN 9782080710024), p. 76


« L’émancipation humaine n’est réalisée que lorsque l’homme a reconnu et organisé ses forces propres comme forces sociales et ne sépare donc plus de lui la force sociale sous la forme de la force politique. »

— Karl Marx, Sur la Question juive (1843), trad. Jean-Michel Palmier, éd. Kontre Kulture, 2013 (ISBN 9782367250021), p. 57


« Aucun des prétendus droits de l’homme ne dépasse donc l’homme égoïste, l’hom­me en tant que membre de la société bourgeoise, c’est-à-dire un individu séparé de la communauté, replié sur lui-même, uniquement préoccupé de son intérêt personnel et obéissant à son arbitraire privé. L’homme est loin d’y être considéré comme un être générique ; tout au contraire, la vie générique elle-même, la société, apparaît comme un cadre extérieur à l’individu, comme une limitation de son indépendance originelle. Le seul lien qui les unisse, c’est la nécessité naturelle, le besoin et l’intérêt privé, la conservation de leurs propriétés et de leur personne égoïste. »

— Karl Marx, Sur la Question juive (1843), trad. Jean-Michel Palmier, éd. Kontre Kulture, 2013 (ISBN 9782367250021), p. 51


« La liberté est donc le droit de faire tout ce qui ne nuit pas à autrui. Les limites dans lesquelles chacun peut se mouvoir sans nuire à autrui sont marquées par la loi, de même que la limite de deux champs est déterminée par un piquet. Il s’agit de la liberté de l’homme considéré comme monade isolée, repliée sur elle-même. »

— Karl Marx, Sur la Question juive (1843), trad. Jean-Michel Palmier, éd. Kontre Kulture, 2013 (ISBN 9782367250021), p. 49


« On fait une distinction entre les “droits de l’homme” et les “droits du citoyen”. Quel est cet “homme” distinct du citoyen ? Personne d’autre que le membre de la société bourgeoise. Pourquoi le membre de la société bourgeoise est-il appelé “homme”, homme tout court, et pourquoi ses droits sont-ils appelés droits de l’homme ? Qu’est-ce qui explique ce fait ? Par le rapport de l’État politique à la société bourgeoise, par l’essence de l’émancipation politique.

Constatons avant tout le fait que les “droits de l’homme”, distincts des “droits du citoyen,” ne sont rien d’autre que les droits du membre de la société bourgeoise, c’est-à-dire de l’homme égoïste, de l’homme séparé de l’homme et de la communauté. »

— Karl Marx, Sur la Question juive (1843), trad. Jean-Michel Palmier, éd. Kontre Kulture, 2013 (ISBN 9782367250021), p. 48-49


« L’État dit chrétien est l’État, imparfait, et la religion chrétienne est pour lui le complément et la sanctification de son imper­fection. La religion devient donc nécessairement un moyen ; et c’est l’État de l’hypo­crisie. »

— Karl Marx, Sur la Question juive (1843), trad. Jean-Michel Palmier, éd. Kontre Kulture, 2013 (ISBN 9782367250021), p. 40


Citations sur Karl Marx

Marx « était juif, donc étranger à l’Europe, et il se mêla pourtant, des affaires des peuples européens. [...] Marx ne peut être compris qu’en se plaçant à un point de vue juif. Ce n’est pas par hasard que tous ses traits sont mosaïques, macchabéique, talmudiques, et qu’ils possédaient toutes les caractéristiques du ghetto. [...] La doctrine de Marx est internationale, c’est pourquoi elle pu dissocier l’Europe et égarer les Européens. Son enseignement s’adressait au prolétariat parce qu’il lui semblait qu’en celui-ci s’étaient amortis les contrastes nationaux entre les peuples, contrastes qui paraissaient autant d’inconcevabilités, au juif qui habitait en lui, et autant de survivances ridicules à son esprit éclairé. Il omit la partie non-prolétarienne de l’humanité européenne, il ne la comprit pas parce qu’en n’en faisait pas partie, et qu’il n’avait aucun accès aux valeurs, qu’elle avait créées au cours des siècles. Mais il se sentait des affinités avec le prolétariat, parce que celui-ci était une chose nouvelle dans le monde, et qu’il était étranger à ce monde, comme il y était lui-même étranger. »

Arthur Moeller van den Bruck, Le Troisième Reich (1923), trad. Jean Louis Lénault, éd. Nouvelles Éditions latines, 1981 (ISBN 9782723301282), p. 68-69


Textes

Bibliographie

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