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Version du 23 décembre 2019 à 10:38

Karl Marx.jpg

Citationes

« Aucun des prétendus droits de l’homme ne dépasse donc l’homme égoïste, l’hom­me en tant que membre de la société bourgeoise, c’est-à-dire un individu séparé de la communauté, replié sur lui-même, uniquement préoccupé de son intérêt personnel et obéissant à son arbitraire privé. L’homme est loin d’y être considéré comme un être générique ; tout au contraire, la vie générique elle-même, la société, apparaît comme un cadre extérieur à l’individu, comme une limitation de son indépendance originelle. Le seul lien qui les unisse, c’est la nécessité naturelle, le besoin et l’intérêt privé, la conservation de leurs propriétés et de leur personne égoïste. »

— Karl Marx, Sur la Question juive (1843), trad. Jean-Michel Palmier, éd. Kontre Kulture, 2013 (ISBN 9782367250021), p. 51


« La liberté est donc le droit de faire tout ce qui ne nuit pas à autrui. Les limites dans lesquelles chacun peut se mouvoir sans nuire à autrui sont marquées par la loi, de même que la limite de deux champs est déterminée par un piquet. Il s’agit de la liberté de l’homme considéré comme monade isolée, repliée sur elle-même. »

— Karl Marx, Sur la Question juive (1843), trad. Jean-Michel Palmier, éd. Kontre Kulture, 2013 (ISBN 9782367250021), p. 49


« On fait une distinction entre les “droits de l’homme” et les “droits du citoyen”. Quel est cet “homme” distinct du citoyen ? Personne d’autre que le membre de la société bourgeoise. Pourquoi le membre de la société bourgeoise est-il appelé “homme”, homme tout court, et pourquoi ses droits sont-ils appelés droits de l’homme ? Qu’est-ce qui explique ce fait ? Par le rapport de l’État politique à la société bourgeoise, par l‘essence de l‘émancipation politique.

Constatons avant tout le fait que les “droits de l‘homme”, distincts des “droits du citoyen,” ne sont rien d‘autre que les droits du membre de la société bourgeoise, c‘est-à-dire de l‘homme égoïste, de l‘homme séparé de l‘homme et de la communauté. »

— Karl Marx, Sur la Question juive (1843), trad. Jean-Michel Palmier, éd. Kontre Kulture, 2013 (ISBN 9782367250021), p. 48-49


« L’État dit chrétien est l’État, imparfait, et la religion chrétienne est pour lui le complément et la sanctification de son imper­fection. La religion devient donc nécessairement un moyen ; et c’est l’État de l’hypo­crisie. »

— Karl Marx, Sur la Question juive (1843), trad. Jean-Michel Palmier, éd. Kontre Kulture, 2013 (ISBN 9782367250021), p. 40


« La bourgeoisie a joué dans l’histoire un rôle hautement révolutionnaire.

Là où elle est arrivée au pouvoir, la bourgeoisie a détruit tous les rapports féodaux, patriarcaux, idylliques. Elle a impitoyablement déchiré la variété bariolée des liens féodaux qui unissaient l’homme à ses supérieurs naturels et n’a laissé subsister d’autre lien entre l’homme et l’homme que l’intérêt tout nu, le dur “paiement comptant”. Elle a noyé dans les eaux glacées du calcul égoïste les frissons sacrés de l’exaltation religieuse, de l’enthousiasme chevaleresque, de la mélancolie sentimentale des petits-bourgeois. »

— Karl Marx et Friedrich Engels, Manifeste du Parti communiste (1848), trad. Émile Bottigelli, éd. Flammarion, coll. « Garnier Flammarion », 1998 (ISBN 9782080710024), p. 76


« La bourgeoisie a dépouillé de leur auréole toutes les activités tenues jusqu’ici pour vénérables et considérées avec une piété mêlée de crainte. Elle a transformé le médecin, le juriste, le prêtre, le poète, l’homme de science, en salariés à ses gages.

La bourgeoisie a arraché aux relations familiales leur voile sentimental attendrissant et les a ramenées à un pur rapport d’argent. »

— Karl Marx et Friedrich Engels, Manifeste du Parti communiste (1848), trad. Émile Bottigelli, éd. Flammarion, coll. « Garnier Flammarion », 1998 (ISBN 9782080710024), p. 77


Citationes de Karl Marx

Marx « était juif, donc étranger à l’Europe, et il se mêla pourtant, des affaires des peuples européens. [...] Marx ne peut être compris qu’en se plaçant à un point de vue juif. Ce n’est pas par hasard que tous ses traits sont mosaïques, macchabéique, talmudiques, et qu’ils possédaient toutes les caractéristiques du ghetto. [...] La doctrine de Marx est internationale, c’est pourquoi elle pu dissocier l’Europe et égarer les Européens. Son enseignement s’adressait au prolétariat parce qu’il lui semblait qu’en celui-ci s’étaient amortis les contrastes nationaux entre les peuples, contrastes qui paraissaient autant d’inconcevabilités, au juif qui habitait en lui, et autant de survivances ridicules à son esprit éclairé. Il omit la partie non-prolétarienne de l’humanité européenne, il ne la comprit pas parce qu’en n’en faisait pas partie, et qu’il n’avait aucun accès aux valeurs, qu’elle avait créées au cours des siècles. Mais il se sentait des affinités avec le prolétariat, parce que celui-ci était une chose nouvelle dans le monde, et qu’il était étranger à ce monde, comme il y était lui-même étranger. »

Arthur Moeller van den Bruck, Le Troisième Reich (1923), trad. Jean Louis Lénault, éd. Nouvelles Éditions latines, 1981 (ISBN 9782723301282), p. 68-69


Bibliographia

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