Différences entre les versions de « Johann Wolfgang von Goethe »

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Version du 22 décembre 2015 à 09:54

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Culture

« Qui ne connaît pas de langues étrangères ne sait rien de la sienne. »

„Wer fremde Sprachen nicht kennt, weiß nichts von seiner eigenen.“

Liberty

"None are so hopelessly enslaved as those who falsely believe they are free."

« Nul n'est plus esclave que celui qui se croit libre sans l'être. »
„Niemand ist mehr Sklave, als der sich für frei hält, ohne es zu sein.“
  • Johann Wolfgang von Goethe, Bk. II, Ch. 5; source: Die Wahlverwandtschaften, Hamburger Ausgabe, Bd. 6 (Romane und Novellen I), dtv Verlag, München, 1982, p. 397 (II.5)

History

« Qui ne sait pas tirer les leçons de trois mille ans vit au jour le jour. »

Government

"Which is the best government? That which teaches us to govern ourselves."

« Quel est le meilleur gouvernement ? Celui qui nous enseigne à nous gouverner nous même. »
„Welche Regierung die beste sei? Diejenige, die uns lehrt, uns selbst zu regieren.“

Christianity

« La culture intellectuelle peut toujours se développer, les sciences naturelles peuvent gagner toujours en étendue, en profondeur, l'esprit de l'homme peut s'élargir autant qu'il le voudra, on ne trouvera rien au-dessus de la haute doctrine morale qui brille et resplendit dans les Évangiles. »

Law

« C'est dans ma nature : j'aime mieux commettre une injustice que tolérer un désordre. »

„Es liegt nun einmal in meiner Natur : ich will lieber eine Ungerechtigkeit begehen, als Unordnung ertragen.“

Countries

« Mathematicians are like Frenchmen: whatever you say to them they translate into their own language, and forthwith it is something entirely different. »

Miscellaneous

« La nature n'admet pas la plaisanterie ; elle est toujours vraie, toujours sérieuse, toujours sévère ; elle a toujours raison. Les fautes et les erreurs viennent toujours de l'homme. »

« Quand Ulysse parle de la mer immesurable, de la terre infinie, cela est si profondément senti, c'est vrai et humain, c'est à la fois renfermé dans des bornes étroites, et plein de mystère. A quoi me sert-il de pouvoir aujourd'hui avec chaque écolier répéter qu'elle est ronde ? Il n’en faut à l’homme que quelques mottes de terre pour soutenir sa vie, et moins encore pour y reposer ses restes. »

  • Johann Wolfgang von Goethe, Les Souffrances du jeune Werther (1774), trad. Bernard Groethuysen, éd. Gallimard, coll. Folio, 1973 (ISBN 9782070364961), Livre deuxième, p. 111

Source

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