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Truth

« Nous vivons une époque où seule la vérité fait peur. »

France

« Ils confondent la France avec la République. Les “valeurs républicaines” se déclinent à l’infini, on le sait jusqu’à la satiété, mais sans jamais de référence à la France. Or la France est d’abord une patrie charnelle. En revanche, la République, qui n’est qu’une forme de gouvernement, est synonyme pour eux d’idéologie, idéologie avec un grand “I”, l’idéologie majeure. Il me semble, en quelque sorte, qu’ils trahissent la première pour la seconde. »

« Ce que je ne parviens pas à comprendre et qui me plonge dans un abîme de perplexité navrée, c’est pourquoi et comment tant de Français avertis et tant d’hommes politiques français concourent sciemment, méthodiquement, je n’ose dire cyniquement, à l’immolation d’une certaine France sur l’autel de l’humanisme utopique exacerbé. »

« Il est vrai que la France est le produit d’un superbe et bénéfique brassage, sur fond de sauce gallo-romaine, de Francs, de Burgondes, de Vikings, de Wisigoths, etc., puis d’Alsaciens, de Basques, de Catalans, de juifs d’Alsace et de Lorraine, de Bretons, de Provençaux, etc., puis d’Italiens, d’Espagnols, de Polonais, de Portugais – c’était l’Europe qu’elle invitait chez elle. Les voilà, les Français de souche ! Et s’ils se réveillaient aujourd’hui ? S’ils se révoltaient contre les doucereux oukases de Big Other, contre son conformisme mou, son totalitarisme universel au service de l’autre ? »

Europe

« Le tiers-monde dégouline et l’occident lui sert d’égout. »

« L’occident, c’était cela aussi, une certaine forme de pensée précieuse, une connivence d’esthètes, un conspiration de caste, une indifférence aimable au vulgaire. »

« Mais le tout petit bourgeois sourd et aveugle reste bouffon sans le savoir. Encore miraculeusement à l'aise dans ses grasses prairies d'Occident, il crie en louchant sur son plus proche voisin : "Faites payer les riches !" Le sait-il seulement, mais enfin le sait-il ! que le riche c'est précisément lui, et que ce cri de justice, ce cri de toutes les révoltes, hurlé par des milliards de voix, c'est contre lui et contre lui seul que bientôt il s'élèvera. »

  • Jean Raspail, préface de la troisième édition de Le Camp des saints, 1985

Race

« Le racisme ? Une simple constatation de l’incompatibilité des races lorsqu’elles se partagent un même milieu ambiant, devenait aussitôt, pour la plupart de mes contemporains, un appel à la haine et un crime contre la dignité humaine. »

« Dans cette guerre raciale qui fait rage, la non-violence est l’arme de la multitudes. La violence celle des minorités attaquées. Nous nous défendrons. Nous serons violents. »

« Notre monde s’est formé dans une extraordinaire diversité de cultures et de races qui n’ont pu se développer, souvent jusqu’à l’ultime et particulière perfection, que par une nécessaire ségrégation de fait. Les affrontements qui en découlent et qui en ont toujours découlé ne sont pas des affrontements raciste, ni même des affrontements raciaux. Il font simplement partie du mouvement perpétuel des forces qui s’opposent et forgent ainsi l’histoire du monde. Les faibles s’effacent puis disparaissent, les forts se multiplient et triomphent. »

Immigration

« Il n’y a plus de tiers-monde, voilà un mot inventé pour garder vos distances. Il y a le monde tout court, et ce monde-là sera submergé par la vie. Le tiers-monde n’est plus qu’un fleuve de sperme qui vient brusquement de changer de lit et coule vers l’occident. »

« Est-ce qu’on demande à un noyé où il va et pourquoi, avant de le tirer de l’eau ? Est-ce qu’on le rejette à la mer s’il avoue, au pire, qu’il nageait vers votre plage privée pour cambrioler votre villa ? On le sort de l’eau et on le livre aux gendarmes. Pour un million de voleurs sortis de l’eau, de combien de gendarmes pourrez-vous disposer ? »

« Si on était entre Français de souche avec un nombre raisonnable d’assimilés, les choses iraient très bien. Mais il y a trop d’immigrés comme viennent de le dire les Français dans un sondage. »

Tolerance

« L’homme qui se veut et se croit généreux n’ose plus devenir méchant et en crève. »

Multiculturalism

« Charité, solidarité, conscience universelle, mais lorsque je vous regarde je ne distingue en chacun de vous que mépris de vous-même et de ce que vous représentez. »

« On ne cesse de vanter la diversité, alors qu’un métissage généralisé des cultures et des sangs est justement une attaque frontale contre cette diversité. Chacun fait ce qu’il veut, mais il faut savoir qu’en brassant les origines on engage une parcelle de son pays. »

History

« Il n'est pas rare que des causes perdues, parfois mauvaises ou jugées comme telles par l'opinion dominante, suscitent au dernier moment des champions inattendus, résolus mais sans motifs apparents, dont le sacrifice efface tout ce que l'on croyait nocif et justifie tout ce que l'on voulait abattre, et l'on se dit : "Peut-être avaient-ils raison ?" mais il est trop tard, la roue a tourné. L'histoire est encombrée de cadavres dont aucun monument ne perpétue le souvenir et qui, au royaume des morts, ont sans doute construit un monde bien différent du nôtre, où nous nous sentirions chez nous si le courage moral ne nous avait pas manqué... »

Miscellaneous

« Ecoutez ces jeunes vieillards de 20 ans et leurs prières atroces. Tous alignés sur le plus pauvre, le plus crotté, le plus stupide, le plus inutile, le plus malheureux et surtout, ne jamais hausser les yeux sur n’importe quoi d’un peu élevé, d’un peu personnel, c’est moins fatiguant. Quel que soit le monde qu’on veut construire, ce n’est pas ainsi qu’on y arrive. Et surtout, ne pas se hisser au-dessus de la foule sur les épaules du voisin, plutôt ramper à ras de terre, avec tout le monde. »

« Quand on représente une cause (presque) perdue, il faut sonner de la trompette, sauter sur son cheval et tenter la dernière sortie, faute de quoi l’on meurt de vieillesse triste au fond de la forteresse oubliée que personne n’assiège plus parce que la vie s’en est allée. »

« Qu’arrive enfin sur la côte d’azur l’envahisseur venu du Gange et de tout les pays de famine et, hormis les purs dévoyés que nous verrons filer vers le Midi comme des incendiaires courent au feu, les petits braillards machinaux se contenteront de se déculotter comme papa tout en gueulant, selon leur stupide logique, que les coups de pied au cul, cela fait longtemps qu’on les cherche et qu’on ne les a pas volés ! En d’autres temps et d’une autre façon, la France n’avait rien fait d’autre sous Pétain. »

Texts

Sept cavaliers quittèrent la ville au crépuscule par la porte de l'Ouest qui n'était plus gardée

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