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« '''Quand on représente une cause (presque) perdue, il faut sonner de la trompette, sauter sur son cheval et tenter la dernière sortie, faute de quoi l’on meurt de vieillesse triste au fond de la forteresse oubliée que personne n’assiège plus parce que la vie s’en est allée ailleurs.''' »
 
« '''Quand on représente une cause (presque) perdue, il faut sonner de la trompette, sauter sur son cheval et tenter la dernière sortie, faute de quoi l’on meurt de vieillesse triste au fond de la forteresse oubliée que personne n’assiège plus parce que la vie s’en est allée ailleurs.''' »
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« Est-ce que le mot de racisme aura encore une signification quelconque pour eux ? De mon temps, il prenait déjà des sens si divers que ce qui n’était pour moi que '''la simple constatation de l’incompatibilité des races lorsqu’elles se partagent un même milieu ambiant''', devenait aussitôt, pour la plupart de mes contemporains, un appel à la haine et un crime contre la dignité humaine. »
 
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« Lydie mourut misérablement, putain pour Hindous à Nice, dégoûtée de tout et d’elle-même. '''Chaque quartier d’immigrants possédait alors son cheptel de femmes blanches, dont chacun pouvait user.''' Violée dès le lundi de Pâques au milieu de ses draps blancs qu’elle avait étendus en signe de bienvenue, Lydie avait suivi, à moitié consentante dans l’errance du début, une troupe d’Hindous vigoureux qui se l’étaient adjugée en copropriété, car elle était très belle, et sa peau très blanche. Plus tard, l’ordre revenu, quand les bandes s'étaient fixées, on l’avait enfermée dans une villa, à Nice, en compagnie d’autres filles qui avaient subi le même sort. Un gardien les nourrissait et ouvrait la porte à qui voulait. Ainsi les femmes blanches perdirent vite l’orgueil de leur peau. »
 
« Lydie mourut misérablement, putain pour Hindous à Nice, dégoûtée de tout et d’elle-même. '''Chaque quartier d’immigrants possédait alors son cheptel de femmes blanches, dont chacun pouvait user.''' Violée dès le lundi de Pâques au milieu de ses draps blancs qu’elle avait étendus en signe de bienvenue, Lydie avait suivi, à moitié consentante dans l’errance du début, une troupe d’Hindous vigoureux qui se l’étaient adjugée en copropriété, car elle était très belle, et sa peau très blanche. Plus tard, l’ordre revenu, quand les bandes s'étaient fixées, on l’avait enfermée dans une villa, à Nice, en compagnie d’autres filles qui avaient subi le même sort. Un gardien les nourrissait et ouvrait la porte à qui voulait. Ainsi les femmes blanches perdirent vite l’orgueil de leur peau. »
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== Textes ==
  
 
*[[La patrie trahie par la République - Jean Raspail]]
 
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== Bibliographie ==
  
 
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Version du 30 août 2022 à 09:02

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Citations

« Quand on représente une cause (presque) perdue, il faut sonner de la trompette, sauter sur son cheval et tenter la dernière sortie, faute de quoi l’on meurt de vieillesse triste au fond de la forteresse oubliée que personne n’assiège plus parce que la vie s’en est allée ailleurs. »

— Jean Raspail, Le Roi au-delà de la mer (2000), éd. Albin Michel, 2000 (ISBN 9782226114310), p. 


« On peut juger une race sur l’allure de ses femmes. C’est le meilleur test. »

— Jean Raspail, Journal peau-rouge (1975), éd. Robert Laffont, 1975, p. 169


« Est-ce que le mot de racisme aura encore une signification quelconque pour eux ? De mon temps, il prenait déjà des sens si divers que ce qui n’était pour moi que la simple constatation de l’incompatibilité des races lorsqu’elles se partagent un même milieu ambiant, devenait aussitôt, pour la plupart de mes contemporains, un appel à la haine et un crime contre la dignité humaine. »

— Jean Raspail, Le Camp des Saints (1973), éd. Robert Laffont, 2011 (ISBN 9782221123966), p. 387-388


« J’y relève la présence d’un nombre considérable de femmes blanches, mais toutes mariées, comme Élise, à des hommes d’autre race. Elles furent très écoutées, avec enthousiasme chez la plupart, avec un certain malaise chez la Blancs plus réticents, car tous avaient conscience qu’elles symbolisaient la mort de la race blanche. »

— Jean Raspail, Le Camp des Saints (1973), éd. Robert Laffont, 2011 (ISBN 9782221123966), p. 369


« Lydie mourut misérablement, putain pour Hindous à Nice, dégoûtée de tout et d’elle-même. Chaque quartier d’immigrants possédait alors son cheptel de femmes blanches, dont chacun pouvait user. Violée dès le lundi de Pâques au milieu de ses draps blancs qu’elle avait étendus en signe de bienvenue, Lydie avait suivi, à moitié consentante dans l’errance du début, une troupe d’Hindous vigoureux qui se l’étaient adjugée en copropriété, car elle était très belle, et sa peau très blanche. Plus tard, l’ordre revenu, quand les bandes s'étaient fixées, on l’avait enfermée dans une villa, à Nice, en compagnie d’autres filles qui avaient subi le même sort. Un gardien les nourrissait et ouvrait la porte à qui voulait. Ainsi les femmes blanches perdirent vite l’orgueil de leur peau. »

— Jean Raspail, Le Camp des Saints (1973), éd. Robert Laffont, 2011 (ISBN 9782221123966), p. 344-345


« [...] c’est que jamais la multitude ne sembla prendre conscience que ce pays où elle débarquait pût appartenir à d’autres. »

— Jean Raspail, Le Camp des Saints (1973), éd. Robert Laffont, 2011 (ISBN 9782221123966), p. 338


« Une cascade de corps dont le mouvement ininterrompu paraissait liquide. Les bateaux se vidaient de toute part comme une baignoire qui déborde. Le tiers monde dégoulinait et l’Occident lui servait d’égout. »

— Jean Raspail, Le Camp des Saints (1973), éd. Robert Laffont, 2011 (ISBN 9782221123966), p. 333


« Ce fut sans nul doute la guerre totale la moins meurtrière de toute l’histoire du monde. »

— Jean Raspail, Le Camp des Saints (1973), éd. Robert Laffont, 2011 (ISBN 9782221123966), p. 332


« Au surplus, a toujours vécu dans un recoin de l’esprit cet espoir étrange d’une destruction totale, seul remède à l’ennui qui consume l’homme moderne. »

— Jean Raspail, Le Camp des Saints (1973), éd. Robert Laffont, 2011 (ISBN 9782221123966), p. 310


« Telle fille qui se sentait suivie et guettée chaque jour — petite maladie urbaine courante — cette fois rencontra la mort sous l’effroyable visage de la folie sexuelle. »

— Jean Raspail, Le Camp des Saints (1973), éd. Robert Laffont, 2011 (ISBN 9782221123966), p. 307


« L’ennemi, le vrai, se trouve toujours derrière les lignes, dans votre dos, jamais devant ni dedans. Tous les militaires savent cela et combien, dans toutes les armées de tous les temps, n’ont pas été tentés de laisser tomber l’ennemi désigné pour se retourner sur l’arrière et lui régler son compte une bonne fois ! »

— Jean Raspail, Le Camp des Saints (1973), éd. Robert Laffont, 2011 (ISBN 9782221123966), p. 291


« Les collaborateurs de l’ennemi se sont emparés de vos cervelles d’oiseau. Ne les écoutez plus. Apprenez à les reconnaître et à les chasser de vous-mêmes, si vous en possédez encore la force. Le monstre est là, échoué sur nos côtes mais bien vivant. On vous adjure, et tout à l’heure encore le pape d’une chrétienté malade, d’ouvrir largement vos portes. Moi, je vous dis, je vous supplie, fermez-les, fermez-les vite, s’il en est encore temps ! Soyez durs, insensibles, faites taire votre cœur mou [...]. »

— Jean Raspail, Le Camp des Saints (1973), éd. Robert Laffont, 2011 (ISBN 9782221123966), p. 225-226


« Dans cette guerre raciale qui fait rage, la non-violence est l’arme des multitudes. La violence celle des minorités attaquées. Nous nous défendrons. Nous serons violents. »

— Jean Raspail, Le Camp des Saints (1973), éd. Robert Laffont, 2011 (ISBN 9782221123966), p. 177


« Deux camps se font face. L’un croit aux miracles. L’autre n’y croit plus. Celui qui soulèvera les montagnes est celui qui a conservé la foi. Il vaincra. Chez l’autre, le doute mortel a détruit tout ressort. Il sera vaincu. »

— Jean Raspail, Le Camp des Saints (1973), éd. Robert Laffont, 2011 (ISBN 9782221123966), p. 172


« Quant à nous, fils spirituels des Grecs, des Latins, des moines judéo-chrétiens et des Barbares de l’Est, peut-être, pour achever l’œuvre d’art, fallait-il entrouvrir notre porte [...], ne serait-ce que pour équilibrer le matérialisme contemporain ? »

— Jean Raspail, Le Camp des Saints (1973), éd. Robert Laffont, 2011 (ISBN 9782221123966), p. 146


« Nous vivons une époque où seule la vérité fait peur. »

— Jean Raspail, Le Camp des Saints (1973), éd. Robert Laffont, 2011 (ISBN 9782221123966), p. 143


« “C’est la guerre ! Voici la carte du front.” “Évidemment, c’est la guerre”, dit Marchefer, “mais qui nous croira ? Une guerre où l’ennemi désarmé perd des morts tous les jours à plusieurs milliers de kilomètres d’ici ! On a bien trop endormi la population pour qu’elle possède encore la force d’imaginer d’autres formes de guerre que celles que l’on commémore bêtement chaque année.” »

— Jean Raspail, Le Camp des Saints (1973), éd. Robert Laffont, 2011 (ISBN 9782221123966), p. 142


« Je suis blanc. Blanc et Occidental. Nous sommes blancs. Que représentons-nous, au total ? [...] cette flotte qui s’avance vers nous signifie, qu’on le veuille ou non, que le temps de l’aveuglement, face au tiers monde, est révolu. Comment réagir ? Que faire ? Est-ce-que ce sont des questions que vous vous posez ? Je le souhaite. Il n’est que temps !... »

— Jean Raspail, Le Camp des Saints (1973), éd. Robert Laffont, 2011 (ISBN 9782221123966), p. 136


« Il n’y a plus de tiers monde, voilà un mot que vous aviez inventé pour garder vos distances. Il y a le monde tout court, et ce monde-là sera submergé par la vie. Mon pays n’est plus qu’un fleuve de sperme qui vient brusquement de changer de lit et roule vers l’Occident. »

— Jean Raspail, Le Camp des Saints (1973), éd. Robert Laffont, 2011 (ISBN 9782221123966), p. 85


« L’égalité entre les hommes est à ce prix. Nous le paierons. »

— Jean Raspail, Le Camp des Saints (1973), éd. Robert Laffont, 2011 (ISBN 9782221123966), p. 67


« Vous êtes allés trop loin [...] et vous l’avez fait volontairement car vous pensez profondément tout ce que vous faites. [...] Tout cela en pariant sur la sensibilité que vous avez dévoyée des braves gens de chez nous, en leur inculquant je ne sais quel remords pour plier la charité chrétienne à vos étranges volontés, en accablant nos classes moyenne prospères de complexes dégradants. [...] Vous avez crée de toutes pièces au cœur de notre monde blanc un problème racial qui le détruira et c’est là votre but. Aucun de vous n’a la fierté de sa peau blanche et de ce qu’elle signifie. »

— Jean Raspail, Le Camp des Saints (1973), éd. Robert Laffont, 2011 (ISBN 9782221123966), p. 66


« Votre univers n’a aucune signification pour eux. Ils ne chercheront pas à comprendre. [...] ils feront du feu avec votre porte de chêne. Ils couvriront de caca votre terrasse et s’essuieront les mains aux livres de votre bibliothèque. Ils cracheront votre vin. [...] Assis sur leurs talons, ils regarderont flamber vos fauteuils. »

— Jean Raspail, Le Camp des Saints (1973), éd. Robert Laffont, 2011 (ISBN 9782221123966), p. 51


« L’homme n’a jamais aimé le genre humain en bloc, races, religions et cultures, mais seulement ceux qu’il reconnaît pour siens, ceux de son clan, si vaste soit-il. Pour le reste, il se force et on l’y a forcé et quand le mal est achevé, il ne lui reste qu’à se désagréger. Dans cette guerre étrange qui s’annonçait, ceux qui s’aimaient le plus triompheraient. »

— Jean Raspail, Le Camp des Saints (1973), éd. Robert Laffont, 2011 (ISBN 9782221123966), p. 47-48
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