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=== [[Nationalism]] ===
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== Citations ==
  
« Les SS portent jusqu'au Caucase la torche de Prométhée et le glaive de Siegfried. Ils sont les fils des vieux guerriers germaniques surgis des glaces et des forêts. Ils sont les Teutoniques qui ont remplacé la croix du Christ par la roue du Soleil. Ils sont les SS d'Adolf Hitler. »
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« Ils marchent et ils chantent. Ils sont des millions dans la nuit froide de janvier. Mais ils sont morts. Et nous ne sommes que quelques-uns. Mais nous sommes vivants. Et nous ne lâcherons pas nos épées et nous n’éteindrons pas nos torches. »
*[http://fr.wikipedia.org/wiki/Jean_Mabire Jean Mabire], ''Les Jeunes Fauves du Führer'', la Division SS Hitlerjungend dans la bataille de Normandie, Paris, Fayard, Le Livre de Poche, 1976, p. 46-47
 
  
« Jusqu'au dernier jour de la guerre, ces jeunes volontaires voudront se battre. Toujours résonnera au plus profond de leur mémoire les paroles naïves et tragiques du chant de leur enfance. Oui, le drapeau est plus grand que la mort. »
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Jean Mabire, ''La Torche et le Glaive'' (1994)
*[http://fr.wikipedia.org/wiki/Jean_Mabire Jean Mabire], ''Les Jeunes Fauves du Führer'', la Division SS Hitlerjungend dans la bataille de Normandie, Paris, Fayard, Le Livre de Poche, 1976, p. 350
 
  
« Les SS [...] savent qu'ils font partie d'un véritable ordre, qui est à la fois une armée, une école et une Église. Ils sont certains de porter le germe du nouvel État. »
 
*'''Henri Landemer''' (pseudonyme de [http://fr.wikipedia.org/wiki/Jean_Mabire Jean Mabire]), ''Les Waffen SS'', Paris, Balland, 1972, p. 51
 
  
« La grande aventure de la SS va commencer. De la Baltique à l'Atlantique, de la mer Égée à la mer d'Azov, de la Bavière au Caucase, les hoplites du Führer vont vivre une prodigieuse épopée guerrière. »
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« Nous perdrons si nous nous obstinons à ne pas comprendre où est le champ de bataille : dans le monde entier et dans le cœur de chaque homme. »
*'''Henri Landemer''' (pseudonyme de [http://fr.wikipedia.org/wiki/Jean_Mabire Jean Mabire]), ''Les Waffen SS'', Paris, Balland, 1972, p. 43
 
  
« Plus encore que le décor de la guerre, c'est le moment du combat qui compte ici. Soudain, tout devient possible. Il suffit d'oser. [...] l'homme d'armes y trouvera la place qui devait lui revenir de droit, la première, dans le mépris des valeurs bourgeoises, confortables et marchandes. '''Fidèle à une morale exigeante, l'homme n'est jamais si grand que lorsqu'il agit.''' »
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Jean Mabire, ''La Torche et le Glaive'' (1994)
*[http://fr.wikipedia.org/wiki/Jean_Mabire Jean Mabire], extrait de sa préface à la réédition de ''La Campagne de Russie'' de [[Léon Degrelle]] (Art et Histoire d'Europe, 1987), cité par Jonathan Littell, ''Le Sec et l'Humide'', Paris, Gallimard, 2008, p. 9
 
  
=== [[Miscellaneous]] ===
 
  
« Nous ne savons pas si nous changerons le monde, mais nous savons que le monde ne nous changera pas. »
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« Je ne vois pas pourquoi il faudrait protéger les races animales et laisser périr les peuples tels qu’ils ont été façonnés par des milliers d’années de longue patience.
*[http://fr.wikipedia.org/wiki/Jean_Mabire Jean Mabire]
 
  
« Et que le combat soit sans espoir ne nous empêchera pas de le mener. »
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'''La véritable écologie, c’est de sauvegarder les baleines. Mais aussi les Touaregs et les Zoulous, les Basques et les Serbes, les Flamands et les Bretons, les Écossais et les Estoniens.''' »
*[http://fr.wikipedia.org/wiki/Jean_Mabire Jean Mabire]
 
  
« Écrire doit être un jeu dangereux. C'est la seule noblesse de l'écrivain, sa seule manière de participer aux luttes de la vie. »
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— Jean Mabire, ''La Torche et le Glaive'' (1994)
*[http://fr.wikipedia.org/wiki/Jean_Mabire Jean Mabire]
 
  
[[Category:Nationalism]]
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[[Category:Miscellaneous]]
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[[Category:Revolutionaries]]
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« Nous avons perdu notre âme parce que nous avons perdu le sens des valeurs communes qui formaient l’antique “sagesse” de nos peuples. Il nous faut faire revivre l’âme des Hyperboréens et “redéfinir” Dieu. Car le sacré ne se trouve pas hors de nous, mais en nous. Car Dieu n’est pas du Ciel, mais de la Terre. Car il ne nous attend pas après la mort, mais nous offre la création de la vie. Dieu n’est pas surnaturel et il n’est pas transcendant. Il est, au contraire, la Nature et la Vie. Dieu reste présent dans les mystères de sa création. Il est dans le soleil et dans les étoiles, dans le jour et dans la nuit, dans les arbres et dans les flots. Dieu naît avec les fleurs et meurt avec les feuilles. Dieu respire avec le vent et nous parle dans le silence de la nuit. Il est l’aurore et le crépuscule. Et la brume. Et l’orage.
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Dieu s’incarne dans la Nature. La Nature s’épanouit sur la Terre. '''La Terre se perpétue dans le Sang.'''
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Nous savons, depuis Héraclite, que la vie est un combat et que la paix n’est que la mort. '''Notre religion se veut d’abord culte des héros, des guerriers et des athlètes. Nous célébrons, depuis les Grecs, les hommes différents et inégaux. Notre monde est celui du combat et du choix, non celui de l’égalité.''' L’univers n’est pas une fin mais un ordre. La Nature diversifie, sépare, hiérarchise. L’individu, libre et volontaire devient le centre du monde. Sa plus grande vertu reste l’orgueil — péché suprême pour la religion étrangère. Dans notre conception tragique de la vie, la lutte devient la loi suprême. Est un homme véritable celui qui s’attaque à des entreprises démesurées. Une même ligne de crêtes unit Prométhée à Siegfried. »
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« Les ennemis de Thulé ont remplacé notre foi ancestrale par un rite étranger. Aujourd’hui, leur triomphe semble absolu. Les laïcs et les clercs parlent le même langage et célèbrent le même culte ; celui de la foule contre l’individu, celui de l’idéologie contre l’instinct, celui de l’égalité contre la lutte. On discute même la vie et l’on préfère le suicide au combat. S’affirmer soi-même, vouloir conserver son héritage et préserver sa culture est devenu le péché absolu. Ceux qui ne veulent pas du monde indifférencié sont marqués du sceau infamant des hérétiques. [...]
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Désormais, '''il nous faut revenir au mythe vital par excellence, au mythe du soleil, au mythe de Thulé. Ce qui va renaître n’est pas un souvenir historique mais la foi de l’éternelle Hyperborée. Nous retrouverons, dans la certitude et la fidélité, les gestes de nos ancêtres.''' Nous annoncerons à tous la bonne nouvelle du retour du soleil. Nous allumerons les flammes à nos foyers et dresserons les buchers sur les collines. Quand le destin de nos peuples se caricature dans la société mercantile et dans la foi égalitaire, nous refuserons la religion de la pleurnicherie et du reniement, pour retrouver la conscience de notre aventure et de notre unité. »
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« La tradition atlanto-boréenne m’apprenait quel était le nom de ma véritable patrie. Elle brillait de tous les feux du soleil. Et pourtant elle se situait dans le Nord. Ma religion aussi possédait ses mystères. Mais je savais que Thulé depuis la plus haute Antiquité, était une terre du soleil invaincu : ''Thule ultima a sole nomen habens''. »
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Version du 21 octobre 2022 à 21:04

Jean Mabire 2.jpg

Citations

« Ils marchent et ils chantent. Ils sont des millions dans la nuit froide de janvier. Mais ils sont morts. Et nous ne sommes que quelques-uns. Mais nous sommes vivants. Et nous ne lâcherons pas nos épées et nous n’éteindrons pas nos torches. »

— Jean Mabire, La Torche et le Glaive (1994)


« Nous perdrons si nous nous obstinons à ne pas comprendre où est le champ de bataille : dans le monde entier et dans le cœur de chaque homme. »

— Jean Mabire, La Torche et le Glaive (1994)


« Je ne vois pas pourquoi il faudrait protéger les races animales et laisser périr les peuples tels qu’ils ont été façonnés par des milliers d’années de longue patience.

La véritable écologie, c’est de sauvegarder les baleines. Mais aussi les Touaregs et les Zoulous, les Basques et les Serbes, les Flamands et les Bretons, les Écossais et les Estoniens. »

— Jean Mabire, La Torche et le Glaive (1994)

Jean Mabire.jpg

« Nous avons perdu notre âme parce que nous avons perdu le sens des valeurs communes qui formaient l’antique “sagesse” de nos peuples. Il nous faut faire revivre l’âme des Hyperboréens et “redéfinir” Dieu. Car le sacré ne se trouve pas hors de nous, mais en nous. Car Dieu n’est pas du Ciel, mais de la Terre. Car il ne nous attend pas après la mort, mais nous offre la création de la vie. Dieu n’est pas surnaturel et il n’est pas transcendant. Il est, au contraire, la Nature et la Vie. Dieu reste présent dans les mystères de sa création. Il est dans le soleil et dans les étoiles, dans le jour et dans la nuit, dans les arbres et dans les flots. Dieu naît avec les fleurs et meurt avec les feuilles. Dieu respire avec le vent et nous parle dans le silence de la nuit. Il est l’aurore et le crépuscule. Et la brume. Et l’orage.

Dieu s’incarne dans la Nature. La Nature s’épanouit sur la Terre. La Terre se perpétue dans le Sang.

Nous savons, depuis Héraclite, que la vie est un combat et que la paix n’est que la mort. Notre religion se veut d’abord culte des héros, des guerriers et des athlètes. Nous célébrons, depuis les Grecs, les hommes différents et inégaux. Notre monde est celui du combat et du choix, non celui de l’égalité. L’univers n’est pas une fin mais un ordre. La Nature diversifie, sépare, hiérarchise. L’individu, libre et volontaire devient le centre du monde. Sa plus grande vertu reste l’orgueil — péché suprême pour la religion étrangère. Dans notre conception tragique de la vie, la lutte devient la loi suprême. Est un homme véritable celui qui s’attaque à des entreprises démesurées. Une même ligne de crêtes unit Prométhée à Siegfried. »

— Jean Mabire, Thulé, le soleil retrouvé des Hyperboréens (1978), éd. Pardès, 2009, p. 297


« Les ennemis de Thulé ont remplacé notre foi ancestrale par un rite étranger. Aujourd’hui, leur triomphe semble absolu. Les laïcs et les clercs parlent le même langage et célèbrent le même culte ; celui de la foule contre l’individu, celui de l’idéologie contre l’instinct, celui de l’égalité contre la lutte. On discute même la vie et l’on préfère le suicide au combat. S’affirmer soi-même, vouloir conserver son héritage et préserver sa culture est devenu le péché absolu. Ceux qui ne veulent pas du monde indifférencié sont marqués du sceau infamant des hérétiques. [...]

Désormais, il nous faut revenir au mythe vital par excellence, au mythe du soleil, au mythe de Thulé. Ce qui va renaître n’est pas un souvenir historique mais la foi de l’éternelle Hyperborée. Nous retrouverons, dans la certitude et la fidélité, les gestes de nos ancêtres. Nous annoncerons à tous la bonne nouvelle du retour du soleil. Nous allumerons les flammes à nos foyers et dresserons les buchers sur les collines. Quand le destin de nos peuples se caricature dans la société mercantile et dans la foi égalitaire, nous refuserons la religion de la pleurnicherie et du reniement, pour retrouver la conscience de notre aventure et de notre unité. »

— Jean Mabire, Thulé, le soleil retrouvé des Hyperboréens (1978), éd. Pardès, 2009, p. 296-297


« Voici huit mille ans commençait pour nous l’aventure néolithique. Je l’appelais révolution parce que j’y discernais l’apparition d’un état d’esprit nouveau. La volonté y tenait la première place et elle n’allait pas cesser de dominer notre monde, jusqu’à l’avènement des idées suicidaires aujourd’hui à la mode. Passer de la cueillette et de la chasse à l’agriculture et à l’élevage représente un bond en avant prodigieux. En un sens, dans cette plaine nordique si cruelle aux paysans aux prises avec un climat impitoyable, c’était un défi qui rejoignait la légende hellène de Prométhée dérobant le feu aux dieux. »

— Jean Mabire, Thulé, le soleil retrouvé des Hyperboréens (1978), éd. Pardès, 2009, p. 66


« La tradition atlanto-boréenne m’apprenait quel était le nom de ma véritable patrie. Elle brillait de tous les feux du soleil. Et pourtant elle se situait dans le Nord. Ma religion aussi possédait ses mystères. Mais je savais que Thulé depuis la plus haute Antiquité, était une terre du soleil invaincu : Thule ultima a sole nomen habens. »

— Jean Mabire, Thulé, le soleil retrouvé des Hyperboréens (1978), éd. Pardès, 2009, p. 48


Bibliographie

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