Différences entre les versions de « Friedrich Hölderlin »

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:— Friedrich Hölderlin, ''Les peuples somnolaient...'' (1797)
 
:— Friedrich Hölderlin, ''Les peuples somnolaient...'' (1797)
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Version du 17 avril 2022 à 11:49

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Citationes

« Mais aux lieux du péril croît
Aussi ce qui sauve. »

— Friedrich Hölderlin, « Patmos » (1803), dans Odes, Élégies, Hymnes, trad. Michel Deguy, André du Bouchet, Francois Fédier, Philippe Jaccottet, Gustave Roud et Robert Rovini, éd. Gallimard, coll. « La Nouvelle Revue française », 2016 (ISBN 9782070327393), p. 162


« Tel est notre ancêtre, le Dieu Soleil »

— Friedrich Hölderlin, « Courage du poète » (1805), dans Odes, Élégies, Hymnes, trad. Michel Deguy, André du Bouchet, Francois Fédier, Philippe Jaccottet, Gustave Roud et Robert Rovini, éd. Gallimard, coll. « La Nouvelle Revue française », 2016 (ISBN 9782070327393), p. 67


« Notre journée humaine, ah, que ses bornes sont étroites !
Tu vis, tu vois, tu t’étonnes, — le soir est là.
Dors maintenant aux lointains infinis où les années
Des nations passent et disparaissent. »

— Friedrich Hölderlin, « Rousseau », dans Odes, Élégies, Hymnes, trad. Michel Deguy, André du Bouchet, Francois Fédier, Philippe Jaccottet, Gustave Roud et Robert Rovini, éd. Gallimard, coll. « La Nouvelle Revue française », 2016 (ISBN 9782070327393), p. 39


Die Völker schwiegen, schlummerten, da sahe
Das Schicksal, daß sie nicht entschliefen, und es kam

— Friedrich Hölderlin, Die Völker schwiegen, schlummerten... (1797)

« Les peuples somnolaient, mais le destin
prit soin qu’ils ne s’endormissent point. »

— Friedrich Hölderlin, Les peuples somnolaient... (1797)
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