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Citationes

Feminism liberated women from the natural dignity of their sex and turned them into inferior men.

(en) Francis Parker Yockey, Imperium (1948), éd. Invictus Books, 2011 (ISBN 9780615505978), p. 356
« Le féminisme libéra les femmes de la dignité naturelle de leur sexe et les transforma en homme inférieurs. »
— Francis Parker Yockey, Imperium (1948), éd. Avatar, coll. « Heartland », 2008 (ISBN 9780955513275), p. 269


« Il est donc évident que le contact mutuel entre l'Occident et le juif eut une signification opposée pour les deux organismes. Pour le juif, il fut une source de force, et d'inspiration ; pour l'Occident, il fut une perte de force, et fut déformant. Le juif était à l'intérieur de l'Occident, mais l'Occident n'était pas à l'intérieur du juif. La persécution renforce, si elle s'arrête avant l'extermination. »

— Francis Parker Yockey, Imperium (1948), éd. Avatar, coll. « Heartland », 2008 (ISBN 9780955513275), p. 289-290


« La musique est rarement entendue en Amérique, ayant été remplacée par le battement de tambour primitif du Nègre. »

— Francis Parker Yockey, Imperium (1948), éd. Avatar, coll. « Heartland », 2008 (ISBN 9780955513275), p. 345


« Le nationalisme américain n'a aucun lien avec une grande tradition de vie, de pensée et d'action. Il se retrouve chargé d'une mission politiquement révolutionnaire, mais le peuple américain n'est pas révolutionnaire. Sa réaction à la maladie de la Culture se fait sous une forme raciale grossière. Il fait face à une puissante tâche politique, mais est inconscient des nécessités de la pensée du pouvoir. »

— Francis Parker Yockey, Imperium (1948), éd. Avatar, coll. « Heartland », 2008 (ISBN 9780955513275), p. 378-379


« Cette propagande annonça que six millions de membres de la race-peuple-religion-État-nation-Culture juive avaient été tués dans des camps européens, ainsi qu'un nombre indéterminé d'autres gens. La propagande fut faite à une échelle mondiale, et fut d'une malhonnêteté qui était peut-être adaptée à une masse uniformisée, mais qui était simplement répugnante pour les Européens avertis. La propagande fut techniquement très complète. Des “photographies” furent diffusées par millions de copies. Des milliers de gens parmi ceux qui avaient été “tués” publièrent des récits de leurs expériences dans ces camps. Des centaines de milliers d'autre firent fortune dans le marché noir de l'après-guerre. »

— Francis Parker Yockey, Imperium (1948), éd. Avatar, coll. « Heartland », 2008 (ISBN 9780955513275), p. 364


« Le parasitisme de la Culture surgit de la même manière que le parasitisme surgit en politique. Un parasite est simplement une forme de vie qui vit dans ou sur le corps d'une autre forme de vie, à ses dépens. Cela implique donc qu'une partie de l'énergie de l'hôte est dirigée dans une direction étrangère à ses intérêts. C'est complètement inévitable : si l'énergie d'un organisme est utilisé pour quelque chose d'autre que son propre développement, elle est gaspillée. Le parasitisme est inévitablement nuisible à l'hôte. Le mal s'accroît en proportion de la croissance et de la diffusion du parasite.

Tout groupe qui ne prend pas part au sentiment de la Culture, mais qui vit à l'intérieur du corps de la Culture, implique nécessairement une part pour la Culture, une perte pour la Culture. De tels groupes forment des zones de tissu inesthétique, pour ainsi dire, dans le corps de la Culture. Un tel groupe, en se tenant en dehors de la nécessité historique, le destin de la Culture, milite inévitablement contre ce destin. Ce phénomène n'est en aucune manière dépendant de la volonté humaine. Le parasite est spirituellement extérieur, mais physiquement à l'intérieur. Les effets sur l'organisme-hôte sont néfastes à la fois physiquement et spirituellement. »

— Francis Parker Yockey, Imperium (1948), éd. Avatar, coll. « Heartland », 2008 (ISBN 9780955513275), p. 263


« La race est le matériel de l'Histoire, elle est le trésor qu'une population apporte à une Idée. Plus les instincts raciaux d'une population sont forts, plus sa promesse de victoire est grande. Par conséquent, tout ce qui touche à la force de ces instinct est l'ennemi de la signification supérieure de la race, et même de son existence. Ces instincts sont l'auto-préservation, la fécondité, l'accroissement de puissance. Sans ces instincts, il n'y a pas d'Idée, pas d'Histoire — il y a seulement une collection de grains de sable humains — et plus tard une pyramide de crânes érigée par des barbares extérieurs.

Ainsi toute l'idéologie libérale-démocratique, avec son “individualisme” : qui est une simple négation de tout ce qui est supra-personnel, son idéal du “bonheur” qui encourage toutes les faiblesses et tous les apitoiements sur soi-même, sa manie érotique qui déforme toute la vie sexuelle pour en faire une stérile maladie de la volonté, sa “tolérance” qui cherche à briser la cohésion de la race en niant son existence, son matérialisme qui nie toutes les valeurs spirituelles, toute signification supérieure de la vie humaine, son pacifisme qui place la faiblesse au-dessus de la virilité, son idéal de la médiocrité par lequel elle s'oppose à tout homme créatif et a l'Idée qu'il représente dans l'Histoire, son culte du prolétaire comme élément le plus élevé, sa totale renonciation à l'âme de l'Homme — voilà le grand ennemi de la race. »

— Francis Parker Yockey, Imperium (1948), éd. Avatar, coll. « Heartland », 2008 (ISBN 9780955513275), p. 216


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