La dépendance dans laquelle se trouvent toutes les erreurs politiques et sociales vis-à-vis des erreurs religieuses Donoso, Lettre au cardinal Fornari, p. 84

« […] de ces deux civilisations, laquelle remportera la victoire dans le cours des temps ? Je réponds, sans que ma plume hésite, sans que mon coeur tremble, sans que ma raison se trouble : la victoire appartiendra incontestablement à la civilisation philosophique. […] Quant à moi, je tiens pour prouvé et évident qu’ici-bas le mal finit toujours par triompher du bien, et que le triomphe sur le mal est réservé, si l’on peut s’exprimer ainsi, à Dieu personnellement. » Donoso, Oeuvres, p. 339