Différences entre les versions de « Discussion:Johann Wolfgang von Goethe »

 
Ligne 1 : Ligne 1 :
 +
« Il n’y a point de passé vers quoi il soit permis de porter ses regrets, il n’y a qu’une éternelle nouveauté, qui se forme des éléments grandis du passé ; et la vraie nostalgie doit être toujours créatrice, produire à tout instant une nouveauté meilleure encore. »
 +
*Johann Wolfgang von Goethe, Élégie de Marienbad, 1823
 +
 
« C'est dans ma nature : j'aime mieux commettre une injustice que tolérer un désordre. »
 
« C'est dans ma nature : j'aime mieux commettre une injustice que tolérer un désordre. »
 
*[http://fr.wikipedia.org/wiki/Johann_Wolfgang_von_Goethe Johann Wolfgang von Goethe]
 
*[http://fr.wikipedia.org/wiki/Johann_Wolfgang_von_Goethe Johann Wolfgang von Goethe]

Version actuelle datée du 21 août 2023 à 21:14

« Il n’y a point de passé vers quoi il soit permis de porter ses regrets, il n’y a qu’une éternelle nouveauté, qui se forme des éléments grandis du passé ; et la vraie nostalgie doit être toujours créatrice, produire à tout instant une nouveauté meilleure encore. »

  • Johann Wolfgang von Goethe, Élégie de Marienbad, 1823

« C'est dans ma nature : j'aime mieux commettre une injustice que tolérer un désordre. »

„Es liegt nun einmal in meiner Natur : ich will lieber eine Ungerechtigkeit begehen, als Unordnung ertragen.“

"None are so hopelessly enslaved as those who falsely believe they are free."

« Nul n'est plus esclave que celui qui se croit libre sans l'être. »
„Niemand ist mehr Sklave, als der sich für frei hält, ohne es zu sein.“
  • Johann Wolfgang von Goethe, Bk. II, Ch. 5; source: Die Wahlverwandtschaften, Hamburger Ausgabe, Bd. 6 (Romane und Novellen I), dtv Verlag, München, 1982, p. 397 (II.5)

„mit Göttern
Soll sich nicht messen
Irgend ein Mensch.“

(de) Johann Wolfgang von Goethe, « Gränzen der Menschheit », dans Goethes Schriften. Achter Band (1789), éd. G. J. Göschen, 1789, p. 212–214

« Aucun homme
Ne doit se mesurer
Avec les dieux.

— Johann Wolfgang von Goethe, Des limites de l’humanité (1789)