Il n'y a pas de droit, il n'y a que des forces

Il y a dans la France continentale (en 1926) environ vingt millions de Français bien purs d'origine, à peu près dix millions de Français mélangés, contaminés par des infiltrations anciennes provenant de pays voisins, par des importations d'esclaves faits sur les musulmans, et même par des nègres introduits en grand nombre pendant les trois derniers siècles dans les provinces de l'Ouest, enfin près de dix millions de métèques arrivés d'hier ou depuis un siècle au plus, les uns naturalisés souvent par l'autorité de la loi et presque de force, les autres restant étrangers, les uns mariés à des françaises ou même fils de françaises, les autres mariés à des étrangères. Lapouge va fournir plus tard les éléments fondateurs de l'antisémitisme nazi. Le déclin de la Grande Race (1916), Madison Grant, éd. L'Homme Libre, 2002, préface de Vacher de Lapouge (1926), p. 23

Le prince, roi, ministre ou Parlement ne peut pas plus faire un Français d'un Grec ou d'un Marocain, qu'il ne peut blanchir la peau d'un nègre, débrider les yeux d'un Chinois ou changer une femme en homme. [...] Pour qu'un Français soit Français, il faut qu'il soit issu d'un Français et d'une Française, et de siècle en siècle. On ne devient pas Français, et d'ailleurs pas davantage Anglais, Russe ou Japonais. De telles choses ne sont possibles que dans le temps de la fondation, d'une nation neuve en pays inhabité. Lapouge va fournir plus tard les éléments fondateurs de l'antisémitisme nazi. Le déclin de la Grande Race (1916), Madison Grant, éd. L'Homme Libre, 2002, préface de Vacher de Lapouge (1926), p. 24

L'Aryen tel que je l'ai défini [...], c'est l'Homo Europaeus, une race qui a fait la grandeur de la France, et qui est aujourd'hui rare chez nous et presque éteinte. L'Aryen: son rôle social (1899), Vacher de Lapouge, éd. A. Fontemoing, 1899, p. 464