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« Ainsi, parce que tu es tiède, et que tu n'es ni froid ni bouillant, je te vomirai de ma bouche. » ou « Dieu vomit les tièdes. »  
 
« Ainsi, parce que tu es tiède, et que tu n'es ni froid ni bouillant, je te vomirai de ma bouche. » ou « Dieu vomit les tièdes. »  
 
*[http://fr.wikipedia.org/wiki/Apocalypse Apocalypse], 3:15
 
*[http://fr.wikipedia.org/wiki/Apocalypse Apocalypse], 3:15
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« On ne veut voir que des partisans des Anglais dans nos colonies, pour avoir le prétexte de les opprimer. Eh bien ! M. Truguet, si vous étiez venu en Égypte nous prêcher la liberté des noirs ou des Arabes, nous vous eussions pendu en haut d'un mât. On a livré tous les blancs à la férocité des noirs, et on ne veut pas même que les victimes soient mécontentes. Eh bien ! si j’avais été à la Martinique, j’aurais été pour les Anglais, parce qu’avant tout il faut sauver sa vie. '''Je suis pour les blancs, parce que je suis blanc''' ; je n’en ai pas d’autre raison, et celle-ci est la bonne. Comment a-t-on pu donner la liberté à des Africains, à des hommes qui n’avaient aucune civilisation, qui ne savaient seulement pas ce que c’était que la colonie, ce que c’était la France ? Il est tout simple que ceux qui ont voulu la liberté des Noirs, veuillent encore l’esclavage des blancs. Mais encore, croyez-vous que, si la majorité de la Convention avait su ce qu’elle faisait et connu les colonies, elle eut donné la liberté aux noirs ? Non, sans doute, mais peu d'entre nous étaient en état d'en prévoir les conséquences, et un sentiment d'humanité est toujours puissant sur l'imagination. Mais à présent, tenir encore à ces principes ! »
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*[http://fr.wikipedia.org/wiki/Napol%C3%A9on_Bonaparte Napoléon Bonaparte], ''Mémoires sur le Consulat''

Version du 6 avril 2017 à 12:13

"Te quoque magna manent regnis penetralia nostris : hic ego namque tuas sortes arcanaque fata, dicta meae genti, ponam, lectosque sacrabo, alma, uiros. Foliis tantum ne carmina manda, ne turbata uolent rapidis ludibria uentis ; ipsa canas oro."

« Toi aussi, un vaste sanctuaire t'attend dans notre royaume : j'y installerai tes oracles et les destins secrets annoncés à mon peuple, et j'y affecterai des hommes choisis, ô vénérable prophétesse. Seulement ne confie pas tes chants aux feuilles, de peur qu'ils ne s'envolent, jouets agités par les vents ; chante-les toi-même, je t'en prie. »
  • Virgile, Énéide, Livre VI, page 377-70, 75

"Tu ne cede malis : sed contrà audentior ito, Quàm tua te fortuna sinet."

« Toi, ne cède pas devant les malheurs, mais, au contraire, avec plus d'audace pars sur la route que te permettra la Fortune. »
  • Virgile, Énéide, Livre VI, page 377-70, 75

« Le mal qui nous ronge les entrailles, ce sont nos prêtres des deux confessions.

- Le dogme du christianisme s'effrite devant les progrès de la science.

- Tout ce qu'il reste à faire est de prouver qu'il n'existe dans la nature aucune frontière entre l'organique et l'inorganique. Lorsque la majorité des hommes saura que les étoiles ne sont pas des sources de lumière, mais des mondes, et peut-être des mondes habités comme le nôtre, alors, la doctrine chrétienne sera convaincue d'absurdité... L'homme qui vit en communion avec la nature est nécessairement opposé aux Églises.

- Placez un petit télescope au milieu d'un village et vous détruirez un monde de superstitions. »

« Là où il n’y a plus de dieux, règnent des spectres. »

Wo keine Götter sind, walten Gespenster

Novalis, Schriften, Bd. III, S. 520

« Je vois le bien, je l’approuve, et je fais le mal. »

« O Pan ! Et vous, divinités de ces ondes, donnez-moi la beauté intérieure de l'âme. »

« Ainsi, parce que tu es tiède, et que tu n'es ni froid ni bouillant, je te vomirai de ma bouche. » ou « Dieu vomit les tièdes. »

« On ne veut voir que des partisans des Anglais dans nos colonies, pour avoir le prétexte de les opprimer. Eh bien ! M. Truguet, si vous étiez venu en Égypte nous prêcher la liberté des noirs ou des Arabes, nous vous eussions pendu en haut d'un mât. On a livré tous les blancs à la férocité des noirs, et on ne veut pas même que les victimes soient mécontentes. Eh bien ! si j’avais été à la Martinique, j’aurais été pour les Anglais, parce qu’avant tout il faut sauver sa vie. Je suis pour les blancs, parce que je suis blanc ; je n’en ai pas d’autre raison, et celle-ci est la bonne. Comment a-t-on pu donner la liberté à des Africains, à des hommes qui n’avaient aucune civilisation, qui ne savaient seulement pas ce que c’était que la colonie, ce que c’était la France ? Il est tout simple que ceux qui ont voulu la liberté des Noirs, veuillent encore l’esclavage des blancs. Mais encore, croyez-vous que, si la majorité de la Convention avait su ce qu’elle faisait et connu les colonies, elle eut donné la liberté aux noirs ? Non, sans doute, mais peu d'entre nous étaient en état d'en prévoir les conséquences, et un sentiment d'humanité est toujours puissant sur l'imagination. Mais à présent, tenir encore à ces principes ! »