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Citationes

« Les négations fascistes du socialisme, de la démocratie, du libéralisme, ne doivent cependant pas faire croire que le fascisme entend ramener le monde à ce qu’il était avant 1789, date qui est considérée comme l’année d’inauguration du siècle démo-libéral. On ne revient pas en arrière. La doctrine fasciste n’a pas choisi de Maistre pour prophète. »

— Benito Mussolini, La Doctrine du fascisme (1938), trad. Charles Belin, éd. Kontre Kulture, 2020, p. 29


« Le fascisme nie que le nombre, par le seul fait d’être le nombre, puisse diriger la société humaine ; il nie que ce nombre puisse gouverner au moyen d’une consultation périodique ; il affirme l’inégalité irrémédiable, féconde et bienfaisante des hommes, qui ne peuvent devenir égaux par un fait mécanique et extrinsèque tel que le suffrage universel. »

— Benito Mussolini, La Doctrine du fascisme (1938), trad. Charles Belin, éd. Kontre Kulture, 2020, p. 25-26


« La guerre, seule, porte au maximum de tension toutes les énergies humaines et imprime une marque de noblesse aux peuples qui ont le courage de l’affronter. »

— Benito Mussolini, La Doctrine du fascisme (1938), trad. Charles Belin, éd. Kontre Kulture, 2020, p. 23


« Le fascisme est une conception religieuse, qui considère l’homme dans son rapport sublime avec une loi supérieure, avec une Volonté objective qui dépasse l’individu comme tel et l’élève à la dignité de membre conscient d’une société spirituelle. »

— Benito Mussolini, La Doctrine du fascisme (1938), trad. Charles Belin, éd. Kontre Kulture, 2020, p. 10


« La vie, par conséquent, telle que la conçoit le fasciste, est grave, austère, religieuse : elle est vécue tout entière dans un monde que soutiennent les forces morales et responsables de l’esprit. Le fasciste méprise la vie commode. »

— Benito Mussolini, La Doctrine du fascisme (1938), trad. Charles Belin, éd. Kontre Kulture, 2020, p. 9


« Le fascisme veut que l’homme soit actif et engagé dans l’action avec toutes ses énergies : virilement conscient des difficultés réelles et prêt à les braver. Il conçoit la vie comme une lutte, il estime qu’il appartient à l’homme de conquérir une vie vraiment digne de lui, en créant, avant tout, en lui-même, l’instrument (physique, moral, intellectuel) pour la construire. »

— Benito Mussolini, La Doctrine du fascisme (1938), trad. Charles Belin, éd. Kontre Kulture, 2020, p. 8


« [...] le fascisme considère la nation et la patrie, les individus et les générations se trouvant unis, dans une même tradition et dans une même mission [...]. »

— Benito Mussolini, La Doctrine du fascisme (1938), trad. Charles Belin, éd. Kontre Kulture, 2020, p. 7-8


Bibliographia

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