Ligne 2 : Ligne 2 :
 
== Citationes ==
 
== Citationes ==
  
« [...] je vis que tous les êtres ont une fatalité de bonheur [...]. »
+
« Et le poëte soûl engueule l’Univers. »
 +
 
 +
— Arthur Rimbaud, Lettre du 3 décembre 1885
 +
 
 +
 
 +
« '''Le combat spirituel est aussi brutal que la bataille d’hommes [...].''' »
 
{{Réf Livre
 
{{Réf Livre
 
|auteur=Arthur Rimbaud
 
|auteur=Arthur Rimbaud
Ligne 12 : Ligne 17 :
 
|année=1999
 
|année=1999
 
|ISBN=9782070409006
 
|ISBN=9782070409006
|page=197}}
+
|page=204}}
  
« '''Et j’ai vu quelquefois ce que l’homme a cru voir.''' »
+
« [...] je vis que tous les êtres ont une fatalité de bonheur [...]. »
 
{{Réf Livre
 
{{Réf Livre
 
|auteur=Arthur Rimbaud
 
|auteur=Arthur Rimbaud
|titre de la contribution=Le Bateau ivre
+
|titre de la contribution=Une saison en enfer
|année de la contribution=Septembre 1871
+
|année de la contribution=1873
 
|titre=Poésies — Une saison en enfer — Illuminations
 
|titre=Poésies — Une saison en enfer — Illuminations
 
|éditeur=Gallimard
 
|éditeur=Gallimard
Ligne 24 : Ligne 29 :
 
|année=1999
 
|année=1999
 
|ISBN=9782070409006
 
|ISBN=9782070409006
|page=123}}
+
|page=197}}
  
« Je est un autre. »
+
« La vie fleurit par le travail [...]. »
 
{{Réf Livre
 
{{Réf Livre
 
|auteur=Arthur Rimbaud
 
|auteur=Arthur Rimbaud
|titre de la contribution=« Lettres dites du voyant »
+
|titre de la contribution=Une saison en enfer
|année de la contribution=Mai 1871
+
|année de la contribution=1873
 
|titre=Poésies — Une saison en enfer — Illuminations
 
|titre=Poésies — Une saison en enfer — Illuminations
 
|éditeur=Gallimard
 
|éditeur=Gallimard
Ligne 36 : Ligne 41 :
 
|année=1999
 
|année=1999
 
|ISBN=9782070409006
 
|ISBN=9782070409006
|page=84}}
+
|page=184}}
  
« '''Le combat spirituel est aussi brutal que la bataille d’hommes [...].''' »
+
« '''Et j’ai vu quelquefois ce que l’homme a cru voir.''' »
 
{{Réf Livre
 
{{Réf Livre
 
|auteur=Arthur Rimbaud
 
|auteur=Arthur Rimbaud
|titre de la contribution=Une saison en enfer
+
|titre de la contribution=Le Bateau ivre
|année de la contribution=1873
+
|année de la contribution=Septembre 1871
 
|titre=Poésies — Une saison en enfer — Illuminations
 
|titre=Poésies — Une saison en enfer — Illuminations
 
|éditeur=Gallimard
 
|éditeur=Gallimard
Ligne 48 : Ligne 53 :
 
|année=1999
 
|année=1999
 
|ISBN=9782070409006
 
|ISBN=9782070409006
|page=204}}
+
|page=123}}
  
« La vie fleurit par le travail [...]. »
+
« Je est un autre. »
 
{{Réf Livre
 
{{Réf Livre
 
|auteur=Arthur Rimbaud
 
|auteur=Arthur Rimbaud
|titre de la contribution=Une saison en enfer
+
|titre de la contribution=« Lettres dites du voyant »
|année de la contribution=1873
+
|année de la contribution=Mai 1871
 
|titre=Poésies — Une saison en enfer — Illuminations
 
|titre=Poésies — Une saison en enfer — Illuminations
 
|éditeur=Gallimard
 
|éditeur=Gallimard
Ligne 60 : Ligne 65 :
 
|année=1999
 
|année=1999
 
|ISBN=9782070409006
 
|ISBN=9782070409006
|page=184}}
+
|page=84}}
  
 
<poem>« C’est un trou de verdure où chante une rivière
 
<poem>« C’est un trou de verdure où chante une rivière
Ligne 89 : Ligne 94 :
 
|ISBN=9782070409006
 
|ISBN=9782070409006
 
|page=70}}
 
|page=70}}
 
« Et le poëte soûl engueule l’Univers. »
 
 
— Arthur Rimbaud, Lettre du 3 décembre 1885
 
  
 
== Bibliographia ==
 
== Bibliographia ==

Version du 11 février 2022 à 12:06

Arthur Rimbaud.jpg

Citationes

« Et le poëte soûl engueule l’Univers. »

— Arthur Rimbaud, Lettre du 3 décembre 1885


« Le combat spirituel est aussi brutal que la bataille d’hommes [...]. »

— Arthur Rimbaud, « Une saison en enfer » (1873), dans Poésies — Une saison en enfer — Illuminations, éd. Gallimard, coll. « Folio », 1999 (ISBN 9782070409006), p. 204


« [...] je vis que tous les êtres ont une fatalité de bonheur [...]. »

— Arthur Rimbaud, « Une saison en enfer » (1873), dans Poésies — Une saison en enfer — Illuminations, éd. Gallimard, coll. « Folio », 1999 (ISBN 9782070409006), p. 197


« La vie fleurit par le travail [...]. »

— Arthur Rimbaud, « Une saison en enfer » (1873), dans Poésies — Une saison en enfer — Illuminations, éd. Gallimard, coll. « Folio », 1999 (ISBN 9782070409006), p. 184


« Et j’ai vu quelquefois ce que l’homme a cru voir. »

— Arthur Rimbaud, « Le Bateau ivre » (Septembre 1871), dans Poésies — Une saison en enfer — Illuminations, éd. Gallimard, coll. « Folio », 1999 (ISBN 9782070409006), p. 123


« Je est un autre. »

— Arthur Rimbaud, « « Lettres dites du voyant » » (Mai 1871), dans Poésies — Une saison en enfer — Illuminations, éd. Gallimard, coll. « Folio », 1999 (ISBN 9782070409006), p. 84


« C’est un trou de verdure où chante une rivière
Accrochant follement aux herbes des haillons
D’argent ; où le soleil, de la montagne fière,
Luit : c’est un petit val qui mousse de rayons.

Un soldat jeune, bouche ouverte, tête nue,
Et la nuque baignant dans le frais cresson bleu,
Dort ; il est étendu dans l’herbe sous la nue,
Pâle dans son lit vert où la lumière pleut.

Les pieds dans les glaïeuls, il dort. Souriant comme
Sourirait un enfant malade, il fait un somme :
Nature, berce-le chaudement : il a froid.

Les parfums ne font pas frissonner sa narine ;
Il dort dans le soleil, la main sur sa poitrine
Tranquille. Il a deux trous rouges au côté droit. »

— Arthur Rimbaud, « « Le Dormeur du val » » (Octobre 1870), dans Poésies — Une saison en enfer — Illuminations, éd. Gallimard, coll. « Folio », 1999 (ISBN 9782070409006), p. 70


Bibliographia

poesies-une-saison-en-enfer-illuminations.jpg

Modèle:Facebook