Discussion:Julius Evola
"[...] la totalité de l'histoire est une dégénérescence, parce qu'elle montre le déclin universel des premières cultures de type traditionnel, et la montée décisive et violente d'une nouvelle civilisation universelle du type «moderne». "
— Julius Evola, Deutsches Volkstum, Nr. 11 (1938)
"La communication avec les forces profondes et libres de l’homme et avec celles des choses et de la nature est rompue, le démon des métropoles pétrifie toute vie, syncope toute respiration, contamine toute source."
— Julius Evola, Méditations du haut des cimes (1974)
« L’inégalité est vraie de fait pour la seule raison qu’elle est vraie de droit, elle est réelle pour la seule raison qu’elle est nécessaire. Ce que l’idéologie égalitaire voudrait dépeindre comme un état de justice, serait au contraire, d’un point de vue plus élevé et à l’abri des rhétoriques humanitaires, un état d’injustice. C’est une chose qu’Aristote et Cicéron avaient déjà reconnue. Imposer l’inégalité veut dire transcender la quantité, veut dire admettre la qualité. C’est ici que se distinguent nettement les concepts d’individu et de personne. »
— Julius Evola, Les Hommes au milieu des ruines (1953)
"L'Occident ne représente aucune idée supérieure. Sa civilisation même, basée sur une négation essentielle des valeurs traditionnelles, comporte les mêmes destructions, le même fond nihiliste qui apparaît avec évidence dans l'univers marxiste et communiste, bien que sous des formes et à des degrés différents."
— Julius Evola, Chevaucher le tigre (1961)
"Il est incontestable que, dans le domaine de la culture, de la littérature, des arts et même de la science, les contributions juives, directes ou indirectes, convergent toujours vers un même effet : falsifier, ridiculiser, montrer sous un jour injuste et illusoire tous les idéaux des peuples aryens, en poussant au premier plan tout ce qui se cache de sensuel, d'inférieur et d'animal dans la nature humaine. Souiller tout ce qui est sacré, faire vaciller les certitudes sur leur socle, inspirer un effroi spirituel de nature à encourager les forces les plus viles, ainsi se manifeste l'action juive, action par ailleurs essentiellement instinctive, naturelle, procédant de l'essence, de la «race interne», comme il est propre au feu de brûler et à l'acide de corroder."
— Julius Evola, Il mito del sangue (1942)
"Il y a encore des hommes qui n'appartiennent pas à ce monde moderne et que rien dans ce monde ne saurait égarer, exalter ou humilier. Mais qui sont néanmoins prêts à combattre ce monde de toutes leurs forces, dès qu'il sera temps."
— Julius Evola, Impérialisme Païen
«Entre la vraie droite et la droite économique, écrit Julius Evola, non seulement il n’y a pas identité, mais il y a même opposition précise» (Le fascisme vu de droite, Totalité, 1981, p. 24).
Textes
- https://www.revue-elements.com/le-peril-americain
- https://theatrum-belli.com/orientations-julius-evola
- https://www.cjoint.com/doc/20_05/JEdkAkLQEaV_Evola-Orientations.pdf
« La contemplation, c’est l’essence même de cette expérience héroïque : le regard devient circulaire et solaire, il n’y a plus que le ciel et des forces pures et libres qui reflètent et figent l’immensité dans le chœur titanique des sommets. »
- Julius Evola, Méditations du haut des cimes (Meditazioni delle vette)
"La brutalité qui caractérise incontestablement les Américains peut bien être considérée comme un caractère nègre. Dans les jours heureux de ce qu’Eisenhower n’a pas eu honte d’appeler la « Croisade en Europe », ainsi que dans les premiers temps de l’occupation, nous avons eu l’occasion d’observer les formes typiques de cette brutalité, mais nous avons vu aussi que, parfois, les « blancs » américains allaient encore plus loin dans ce domaine que leurs camarades nègres, dont ils partageaient pourtant souvent l’infantilisme."
— Julius Evola, L'Amérique négrifiée (1968)
"[...] des « affinités électives » très singulières ont conduit l’Amérique, par un processus de régression et de primitivisation, à imiter les N***** [...] l’Amérique a choisi d’imiter les Noirs et les Afro-Cubains, et c’est à partir de l’Amérique que la contagion s’est progressivement étendue à tous les autres pays."
— Julius Evola, L'Amérique négrifiée (1968)