Jean Cau

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Citations

« Comment ne pas voir que notre décadence est sans remède puisque c’est dans le mal lui-même (dans le mondialisme made in USA) que nous allons le chercher ?

Sans remède ? À moins qu’il n’y en ait un “de cheval”. Il s’appellerait le national-socialisme russe. C’est rude à dire, je le sais mais j’ai beau orienter ma boussole pour essayer de découvrir une autre direction de salut, l’aiguille vibre, tremble puis immobilise sa flèche indiquant la direction de Moscou. Moscou-la-Rouge ? Mais non : la Russe. »

— Jean Cau, Discours de la décadence (1978), éd. Copernic, 1978, p. 186-187


« Tout est évidemment un problème lorsqu’on tremble devant la solution. »

— Jean Cau, Réflexions dures sur une époque molle (1981), éd. La Table Ronde, 1981, p. 


« Aristocrates et paysans acceptaient que leurs fils allassent à la mort. Le bourgeois, lui, “planque” ses enfants car le courage ou l’obéissance héroïque ne sont pas son lot. Pour l’aristocrate : “Si mon fils est un lâche, mon nom est souillé”. Et pour le paysan : “Si je ne défends pas ma terre, l’ennemi l’annexera”. Pour le bourgeois : “Si mon fils est tué, qui héritera de mon or et qui prendra la succession de mon commerce ?” »

— Jean Cau, Les Écuries de l’Occident (1973), éd. La Table Ronde, 1973, p. 


Textes