"De toutes les ruines du monde, la ruine de l'homme est sans doute le plus triste spectacle."

« (...) La grande prétention au bonheur, voilà l'énorme imposture ! C'est elle qui complique toute la vie ! Qui rend les gens si venimeux, crapules, imbuvables. Y a pas de bonheur dans l'existence, y a que des malheurs plus ou moins grands, plus ou moins tardifs, éclatants, secrets, différés, sournois... " C'est avec des gens heureux qu'on fait les meilleurs damnés. " Le principe du diable tient bon. Il avait raison comme toujours, en braquant l'Homme sur la matière. Ça n'a pas traîné. En deux siècles, tout fou d'orgueil, dilaté par la mécanique, il est devenu impossible. Tel nous le voyons aujourd'hui, hagard, saturé, ivrogne d'alcool, de gazoline, défiant, prétentieux, l'univers avec un pouvoir en secondes ! Éberlué, démesuré, irrémédiable, mouton et taureau mélangé, hyène aussi. Charmant. Le moindre obstrué trou du cul, se voit Jupiter dans la glace. Voilà le grand miracle moderne. Une fatuité gigantesque, cosmique. L'envie tient la planète en rage, en tétanos, en surfusion. Le contraire de ce qu'on voulait arrive forcément. Tout créateur au premier mot se trouve à présent écrasé de haines, concassé, vaporisé. Le monde entier tourne critique, donc effroyablement médiocre. Critique collective, torve, larbine, bouchée, esclave absolue. (...) »

Louis-Ferdinand Céline, Mea culpa (1936)


https://www.retronews.fr/journal/germinal-1944/28-avril-1944/1443/2898885/5

« La télé est dangereuse pour les hommes. Personne ne pourra empêcher maintenant la marche en avant de cette infernale machine. »

« Les blancs disparaîtront ! vaincus par l’avarice, l’égoïsme et l’alcool et ce sera bien fait ! Quelle salade ! Je ne parle pas des USA – là tout est déjà en parfaite décomposition – et à quelle allure ! Prodigieux ! »

  • 7 avril 1935

« C’est un prodigieux moyen de propagande. C’est aussi, hélas ! un élément d’abêtissement en ce sens que les gens se fient à ce qu’on leur montre. Ils n’imaginent plus. Ils voient. Ils perdent la notion de jugement et ils se prêtent gentiment à la fainéantise. La TV est dangereuse pour les hommes. L’alcoolisme, le bavardage, et la politique en font déjà des abrutis. Etait-il nécessaire d’ajouter encore quelque chose ? »

« Quel ignoble chemin parcouru des Celtes à Zazou ! de Vercingétorix à Gunga Diouf ! Tout y est ! Tout est là ! Le reste n’est que farces et discours. La France brûle de finir nègre, je la trouve fort à point, pourrie, croulante de métis. »


« Il n’y a qu’une seule religion : catholique, protestante ou juive… succursales de la boutique "au petit Jésus"… qu’elles se chamaillent s’entretripent ?… vétilles !… corridas saignantes pour badauds ! le grand boulot le seul le vrai leur profond accord… abrutir, détruire la race blanche. »

« Comprenez, condamnés à mort ! tous les sangs des races de couleurs sont “dominants”, jaune, rouge ou parme… le sang des blancs est “dominé”… toujours ! les enfants des belles unions mixtes seront jaunes, noirs, rouges, jamais blancs, jamais plus blancs !… »

« Croyez pas que j’exagère… si je vous dis que demain la France sera toute jaune par les seuls effets des mariages, que toute la politique est conne, puisqu’elle s’occupe que des harangues et des mélis-mélos de partis, autant dire de bulles, que la seule réalité qui compte est celle qui ne se voit pas, s’entend pas, discrète, secrète, biologique, que le sang des blancs est dominé, que les blancs peuvent aller tous s’atteler, très vite, leur dernière chance… pousse-pousse ou mourir de faim… allez pas dire que j’exagère… »

« Seule la biologie existe, le reste est blabla !… tout le reste !… je maintiens, au « Bal des Gamètes », la grande ronde du monde, les noirs, les jaunes gagnent toujours !… les blancs sont toujours perdants, « fonds de teint », recouverts, effacé !… politiques, discours, faridoles !… qu’une vérité : biologique !… dans un demi-siècle, peut-être avant, la France sera jaune, noire sur les bords… »

« Rien à côté de ce que vous verrez… tenez par exemple, cette petite idylle entre votre femme de ménage, blanche et votre facteur, noir… sang dominé, sang dominant !… les jeux sont faits !… laissez aux somptueux chefs d’Etats le monopole du Vide, des Emphases, leurs gardes sur la bride, trompettes, fermez le ban ! j’aurais pu dire un facteur jaune, encore bien plus triomphal ! ça que nos princes ne parlent jamais, si absorbés, confondants divagants blablas… sang, blanc perdant !… et nous voici au Brésil !… Amazone !… au Turkestan !… aviation, fusées pour la Lune sont en tout et pour tout que bruits de gueule, clowneries… Il n’y aura plus de blancs. »