Discussion:Oswald Spengler
« Un certain élément barbare, héritage des temps les plus reculés, doit encore subsister dans le sang sous les formes sévères d’une vieille culture ; il surgit aux époques difficiles pour sauver et pour vaincre. Cet élément barbare, c’est ce que j’appelle une race forte, l’éternel guerrier dans le type de fauve humain. Souvent il semble ne plus exister, mais il est toujours au fond de l'âme, prêt à bondir. »
Oswald Spengler, Années décisives.
« La France noire n'hésitera pas non plus à surpasser les scènes de Paris de 1792 et de 1871. Et les chefs blancs de la lutte des classes, seraient-ils jamais embarrassés si les émeutes des peuples de couleur leur ouvraient la voie ? »
Oswald Spengler, Années décisives.
« Qu’adviendrait-il si un jour la lutte des classes et la lutte des races s'unissaient pour mettre fin au monde blanc ? Cela est dans la nature des choses, et aucune des deux révolutions ne dédaignera le secours de l'autre pour l'unique raison qu'elle méprise ses protagonistes. Une haine commune éteint le mépris réciproque. »
Oswald Spengler, Années décisives.
« Le péril frappe à la porte. Les hommes de couleur ne sont pas pacifistes. Ils ne tiennent pas à une vie dont la longueur est l’unique valeur. Si nous déposons le glaive, ils le relèveront. Jadis ils craignaient l’homme blanc, maintenant ils le méprisent. »
Oswald Spengler, Années décisives.