Discussion:Louis-Ferdinand Céline
« C’est un prodigieux moyen de propagande. C’est aussi, hélas ! un élément d’abêtissement en ce sens que les gens se fient à ce qu’on leur montre. Ils n’imaginent plus. Ils voient. Ils perdent la notion de jugement et ils se prêtent gentiment à la fainéantise. La TV est dangereuse pour les hommes. L’alcoolisme, le bavardage, et la politique en font déjà des abrutis. Etait-il nécessaire d’ajouter encore quelque chose ? »
« Le monde est matérialiste, le plus menu peuple compris. Il croit plus à rien qu’au tangible. C’est comme ça l’Instruction Publique, l’évaporation des Légendes. Ils veulent plus se remettre en route avant qu’on ait réglé les comptes. Nôtre société elle veut plus rien foutre, elle veut plus se fatiguer du tout. Elle se les retourne de plus en plus. Elle s’effondre dans tous les coins. »
« Quel ignoble chemin parcouru des Celtes à Zazou ! de Vercingétorix à Gunga Diouf ! Tout y est ! Tout est là ! Le reste n’est que farces et discours. La France brûle de finir nègre, je la trouve fort à point, pourrie, croulante de métis. »
« S'attaquer aux intérêts des juifs, c'est affronter le Vésuve équipé d'un petit arrosoir. »
« La seule chose grave à l’heure actuelle, pour un grand homme, savant écrivain, cinéaste, financier, industriel, politicien (mais alors la chose gravissime) c’est de se mettre mal avec les Juifs. — ... Faites le clown, l’insurgé, l’intrépide, l’anti-bourgeois, l’enragé redresseur de torts... le Juif s’en fout ! Divertissements… Babillages ! Mais ne touchez pas à la question juive, ou bien il va vous en cuire... Raide comme une balle, on vous fera calancher d’une manière ou d’une autre... »
« Tout Français de race qui prend le pouvoir se sent perdu sans étrangers, sans cadres de l’étranger. Il se dépêche tout aussitôt de se vendre, c’est son premier souci... »
- Louis-Ferdinand Céline, Les Beaux Draps (1941)
« Cette rage monte du fond des glandes, irresistible, des épididymes métissés, nos égorgeurs prédestinés. »
« Racisme d'abord ! Racisme avant tout ! Dix fois ! Mille fois racisme ! Racisme suprêmement ! Désinfection ! Nettoyage ! Une seule race en France : l'Aryenne. Trois groupes aryens ! Les Alpins (les plus nombreux), les Nordiques, les Méditerranéens : Aryens tous ! Et c'est marre, et c'est tout.
Quel est le véritable ami du peuple ? Le fascisme.
Qui nous préserve de la guerre ? C'est Hitler !
Hitler est un bon éleveur de peuples, il est du côté de la Vie, il est soucieux de la vie des peuples, et même de la nôtre. C'est un Aryen.
Je ressens, tellement je suis drôle, des choses encore bien plus perverses. Des véritables sadismes. Je me sens très ami d'Hitler, très ami de tous les allemands. Je trouve que ce sont des frères, qu'ils ont bien raison d'être racistes. Ca me ferait énormément de peine si jamais ils étaient battus. Je trouve que nos vrais ennemis ce sont les juifs et les francs-maçons. Que la guerre c’est la guerre des Juifs et des francs-maçons, que c’est pas du tout la nôtre. Que c’est un crime qu’on nous oblige à porter les armes contre des personnes de notre race, qui nous demandent rien, que c’est juste pour faire plaisir aux détrousseurs du ghetto. Que c’est la dégringolade au dernier cran de la dégueulasserie. »
- Louis-Ferdinand Céline, L'école des cadavres, 1938
« Il n’y a qu’une seule religion : catholique, protestante ou juive… succursales de la boutique "au petit Jésus"… qu’elles se chamaillent s’entretripent ?… vétilles !… corridas saignantes pour badauds ! le grand boulot le seul le vrai leur profond accord… abrutir, détruire la race blanche. »
- Louis-Ferdinand Céline, Rigodon, 1961
« Comprenez, condamnés à mort ! tous les sangs des races de couleurs sont “dominants”, jaune, rouge ou parme… le sang des blancs est “dominé”… toujours ! les enfants des belles unions mixtes seront jaunes, noirs, rouges, jamais blancs, jamais plus blancs !… »
- Louis-Ferdinand Céline, Rigodon, 1961
« Croyez pas que j’exagère… si je vous dis que demain la France sera toute jaune par les seuls effets des mariages, que toute la politique est conne, puisqu’elle s’occupe que des harangues et des mélis-mélos de partis, autant dire de bulles, que la seule réalité qui compte est celle qui ne se voit pas, s’entend pas, discrète, secrète, biologique, que le sang des blancs est dominé, que les blancs peuvent aller tous s’atteler, très vite, leur dernière chance… pousse-pousse ou mourir de faim… allez pas dire que j’exagère… »
- Louis-Ferdinand Céline, Rigodon, 1961
« Seule la biologie existe, le reste est blabla !… tout le reste !… je maintiens, au « Bal des Gamètes », la grande ronde du monde, les noirs, les jaunes gagnent toujours !… les blancs sont toujours perdants, « fonds de teint », recouverts, effacé !… politiques, discours, faridoles !… qu’une vérité : biologique !… dans un demi-siècle, peut-être avant, la France sera jaune, noire sur les bords… »
- Louis-Ferdinand Céline, Rigodon, 1961
« Rien à côté de ce que vous verrez… tenez par exemple, cette petite idylle entre votre femme de ménage, blanche et votre facteur, noir… sang dominé, sang dominant !… les jeux sont faits !… laissez aux somptueux chefs d’Etats le monopole du Vide, des Emphases, leurs gardes sur la bride, trompettes, fermez le ban ! j’aurais pu dire un facteur jaune, encore bien plus triomphal ! ça que nos princes ne parlent jamais, si absorbés, confondants divagants blablas… sang, blanc perdant !… et nous voici au Brésil !… Amazone !… au Turkestan !… aviation, fusées pour la Lune sont en tout et pour tout que bruits de gueule, clowneries… Il n’y aura plus de blancs. »
- Louis-Ferdinand Céline, Rigodon, 1961