Discussion:Charles Maurras
« Non seulement l’État ennuie et tracasse le citoyen français, mais il lui inflige des commodités dangereuses.[...] Le citoyen devient ignorant, paresseux et lâche. Il perd le sens et l’esprit public. Traité en mineur, il devient digne de retomber en tutelle. »
« J'ai vu ce que devient un milieu juif d'abord patriote et même nationaliste, quand la passion de ses intérêts proprement juifs y jaillit tout à coup : alors, à coup presque sûr, tout change, tout se transforme, et les habitudes de cœur et d'esprit acquises en une ou deux générations se trouvent bousculées par le réveil des facteurs naturels beaucoup plus profonds, ceux qui viennent de l'être juif »
« L’amour de tous les peuples, hormis du peuple français, est au fond de l’esprit des grands docteurs de la République française. »
Journal
« Prenez un magasin, un journal, une administration, un cabinet d’avocat ou de ministre, une équipe quelconque : qu’un seul Juif y pénètre, vous n’attendrez pas six mois pour y voir entrer à sa suite un bataillon d’autres juifs manœuvrant au doigt et à l’œil dans l’intérêt du clan. La maison qu’ils n’ont pas construite tombe aussi peu à peu, morceau à morceau, entre leurs griffes. Sa propriété, la souveraineté effective passent des maîtres et fondateurs à des habitants sans droit, qui lui imprimeront peu à peu le caractère qu’ils voudront mais, à coup sûr, aussi peu français que possible. »
— Charles Maurras, Journal
Dictionnaire politique et critique
« La plus grande folie qui se puisse commettre c'est [...] d'épouser un être de race différente de soi et de vouloir à toute force assimiler ce qui, quoiqu'on fasse, ne s'assimile pas. »
« Nous ne sommes pas, nous n’avons jamais été pour «l’octroi» des libertés. Les libertés ne s’octroient pas. Elles se prennent. Elles ne viennent pas d’en haut, mais d’en bas. L’autorité supérieure les garantit, les reconnaît, les consacre: elle est tout à fait incapable les donner. Elles sont. On les a. »
- Liberté
- Juif