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Citations

« Que le peuple français, soi-disant affranchi par la révolution de 89 du joug de la féodalité nobiliaire, n’a fait que changer de maîtres [...]. »

— Alphonse Toussenel, Les Juifs, rois de l’époque (1845), éd. Kontre Kulture, 2013 (ISBN 9782367250274), p. 273


« Le juif règne et gouverne en France. [...]

La royauté du juif se reconnaît à ce que le juif est en possession de tous les privilèges qui formaient autrefois l’apanage de la royauté.

Le privilège de battre monnaie était jadis un de ces droits régaliens. Qui bat monnaie aujourd’hui, sinon le juif ? [...]

Qui perçoit l’impôt sur le sel, sinon le juif ? La dîme du travail des populations, sinon le juif, créancier du capital de la dette nationale ? »

— Alphonse Toussenel, Les Juifs, rois de l’époque (1845), éd. Kontre Kulture, 2013 (ISBN 9782367250274), p. 45-46


« Et qui dit juif, dit protestant, sachez-le. L’Anglais, le Hollandais, le Genevois, qui apprennent à lire la volonté de Dieu dans le même livre que le juif, professent pour les lois de l’équité et les droits des travailleurs le même mépris que le juif. Il y a même dispute entre ces races pour savoir à laquelle revient le prix de l’avarice et de la cupidité. »

— Alphonse Toussenel, Les Juifs, rois de l’époque (1845), éd. Kontre Kulture, 2013 (ISBN 9782367250274), p. 26


« J’appelle, comme le peuple, de ce nom méprisé de juif, tout trafiquant d’espèces, tout parasite improductif, vivant de la substance et du travail d’autrui. Juif, usurier, trafiquant sont pour moi synonymes. »

— Alphonse Toussenel, Les Juifs, rois de l’époque (1845), éd. Kontre Kulture, 2013 (ISBN 9782367250274), p. 23


Bibliographie

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