Différences entre les versions de « Discussion:Léon Bloy »

 
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https://www.clerus.org/clerus/dati/2000-03/02-6/JournalBloy.html
 
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« Nul n'a le droit d'ignorer que les princes des prêtres et les docteurs de la loi qui formaient le Grand Conseil étaient des scélérats d'une science talmudique à faire peur, connaissant sur le bout du doigt toutes les traditions messianiques et tous les signes où se devait reconnaître l'avènement du Fils de Dieu. Quand ils demandèrent Sa mort, ils savaient donc très bien ce qu'ils faisaient, préférant la plus ample damnation lointaine à l'inconvénient prochain d'humilier devant Lui leurs barbes pharisaïques et pédiculaires. »
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— Léon Bloy, La femme pauvre.

Version actuelle datée du 14 avril 2025 à 12:22

« Me voyez-vous, moi, Léon Bloy, passant entre deux rangées de voyous à pieds sales pour aller déposer un papier dans une urne, par-devant un cocu ceinturonné de tricolore ! Votez ! mais pour qui ? Je vote pour Dieu. Ma règle est l’obédience enfantine au pape. [...] »

«le crime le plus énorme[...]: le crime contre l'enfance, l'exterminat° sociale par l'empoisonnement des sources humaines de l'avenir.[...]Le Français de la décadence a des passions séniles qui lui font trouver un ragoût inexprimable à tte tentative de corrupt° sur les innocents»

« Les Juifs donnent précisément la Croix au Verbe de Dieu, pour que l’écrasant Amour soit sur Lui dans sa forme symbolique la plus parfaite et la plus dure. »

« Il faut être arrivé, après tant de générations, sur ce seuil de l'Apocalypse et être ainsi devenu spectateur d'une abomination universelle que ne connurent pas les siècles les plus noirs pour sentir l'impossibilité absolue de toute espérance humaine. »

  1. Bloy — Dans les ténèbres


https://www.clerus.org/clerus/dati/2000-03/02-6/JournalBloy.html

« Nul n'a le droit d'ignorer que les princes des prêtres et les docteurs de la loi qui formaient le Grand Conseil étaient des scélérats d'une science talmudique à faire peur, connaissant sur le bout du doigt toutes les traditions messianiques et tous les signes où se devait reconnaître l'avènement du Fils de Dieu. Quand ils demandèrent Sa mort, ils savaient donc très bien ce qu'ils faisaient, préférant la plus ample damnation lointaine à l'inconvénient prochain d'humilier devant Lui leurs barbes pharisaïques et pédiculaires. »

— Léon Bloy, La femme pauvre.