Différences entre les versions de « Discussion:Arthur Moeller van den Bruck »

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« Tout peuple incarne une idée particulière qui est un tout indivisible et lui appartient, comme il est lui-même un tout indivisible qui s’appartient. Il est né avec cette idée. C’est avec cette idée qu’il est sorti du sein maternel de la race et de la terre pour se jeter dans son espace historique. »
 
  
— Arthur Moeller van den Bruck, La révolution des peuples jeunes
 
  
 
« Nous sommes aujourd’hui face à l’éventualité d’une infinité de destins qui vont, dans le registre des possibilités, de l’anéantissement définitif que nous ont réservé nos adversaires jusqu’à un nouveau rassemblement si fortement redouté de ces mêmes adversaires. Personne ne nous dit pour quel destin nous sommes nés. […] On doit bien pouvoir lire quelque part dans l’idée que nous nous faisons de nous-mêmes ce qu’il va advenir de nous dans un monde qui ne cesse jamais de devenir l’Histoire dans la suite des événements. Ce ne saurait être que là où le destin rencontre les hommes, là où le présent rencontre ceux qui triomphent de lui, là où l’avenir rencontre ceux qui lui ouvrent la voie. »
 
« Nous sommes aujourd’hui face à l’éventualité d’une infinité de destins qui vont, dans le registre des possibilités, de l’anéantissement définitif que nous ont réservé nos adversaires jusqu’à un nouveau rassemblement si fortement redouté de ces mêmes adversaires. Personne ne nous dit pour quel destin nous sommes nés. […] On doit bien pouvoir lire quelque part dans l’idée que nous nous faisons de nous-mêmes ce qu’il va advenir de nous dans un monde qui ne cesse jamais de devenir l’Histoire dans la suite des événements. Ce ne saurait être que là où le destin rencontre les hommes, là où le présent rencontre ceux qui triomphent de lui, là où l’avenir rencontre ceux qui lui ouvrent la voie. »

Version du 17 janvier 2024 à 18:13


« Nous sommes aujourd’hui face à l’éventualité d’une infinité de destins qui vont, dans le registre des possibilités, de l’anéantissement définitif que nous ont réservé nos adversaires jusqu’à un nouveau rassemblement si fortement redouté de ces mêmes adversaires. Personne ne nous dit pour quel destin nous sommes nés. […] On doit bien pouvoir lire quelque part dans l’idée que nous nous faisons de nous-mêmes ce qu’il va advenir de nous dans un monde qui ne cesse jamais de devenir l’Histoire dans la suite des événements. Ce ne saurait être que là où le destin rencontre les hommes, là où le présent rencontre ceux qui triomphent de lui, là où l’avenir rencontre ceux qui lui ouvrent la voie. »

  • Arthur Moeller van den Bruck

La révolution des peuples jeunes, recueil de textes écrits entre 1916 et 1923, trad. Jean-Paul Allard, éditions Pardès, 1993