Ligne 3 : Ligne 3 :
 
« On n’échappe pas au commerce américain. »
 
« On n’échappe pas au commerce américain. »
 
{{Réf Livre
 
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|auteur=[[Louis-Ferdinand Céline]]
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|auteur=Louis-Ferdinand Céline
 
|titre=Voyage au bout de la nuit
 
|titre=Voyage au bout de la nuit
 
|année d'origine=1932
 
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« [...] l’américanisme, pour nous, est plus dangereux que le communisme [...]. »
 
« [...] l’américanisme, pour nous, est plus dangereux que le communisme [...]. »
 
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{{Réf Livre
|auteur=[[Julius Evola]]
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|titre=Orientations
 
|titre=Orientations
 
|année d'origine=1950
 
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« L’Amérique n’est pas une nouvelle Rome, mais une nouvelle Carthage. Nous serons toujours pour Rome, contre Carthage. »
 
« L’Amérique n’est pas une nouvelle Rome, mais une nouvelle Carthage. Nous serons toujours pour Rome, contre Carthage. »
 
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|auteur=[[Alain de Benoist]]
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|titre=Orientations pour des années décisives
 
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|année d'origine=1982
 
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« La dictature peut demain nous tuer individuellement. La décadence, elle, anéantit nos chances de survie en tant que peuple. »
 
« La dictature peut demain nous tuer individuellement. La décadence, elle, anéantit nos chances de survie en tant que peuple. »
 
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« L’Angleterre, ah ! la perfide Angleterre [...]. »
 
« L’Angleterre, ah ! la perfide Angleterre [...]. »
 
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|titre de la contribution=Premier Sermon pour la Fête de la Circoncision
 
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« L’or est le souverain des souverains. »
 
« L’or est le souverain des souverains. »
 
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|titre de la contribution=Pensées
 
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|année de la contribution=
 
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« [...] dans la civilisation moderne, les capitaux, les puissances d’argent tendent à devenir les puissances suprêmes. »
 
« [...] dans la civilisation moderne, les capitaux, les puissances d’argent tendent à devenir les puissances suprêmes. »
 
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|titre=Scènes et doctrines du nationalisme
 
|titre=Scènes et doctrines du nationalisme
 
|année d'origine=1902
 
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« Le Sang du Pauvre, c’est l’argent. »
 
« Le Sang du Pauvre, c’est l’argent. »
 
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|titre=Essais et pamphlets
 
|titre=Essais et pamphlets
 
|titre de la contribution=Le Sang du pauvre
 
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« L’or en démocratie commande tout, les hommes, les gouvernants, les choses, la loi, les arts, la musique, le cul, l’armée, la vie, la mort, les âmes. »
 
« L’or en démocratie commande tout, les hommes, les gouvernants, les choses, la loi, les arts, la musique, le cul, l’armée, la vie, la mort, les âmes. »
  
[[Louis-Ferdinand Céline]], ''L’École des cadavres'' (1938)
+
— Louis-Ferdinand Céline, ''L’École des cadavres'' (1938)
  
  
 
« Le règne de l’argent est le règne de l’étranger [...]. »
 
« Le règne de l’argent est le règne de l’étranger [...]. »
 
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|auteur=[[Maurice Bardèche]]
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|titre=L’Œuf de Christophe Colomb. Lettre à un sénateur d’Amérique
 
|titre=L’Œuf de Christophe Colomb. Lettre à un sénateur d’Amérique
 
|année d'origine=1951
 
|année d'origine=1951
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« La fuite vers l’abstrait est la lâcheté même de l’artiste. »
 
« La fuite vers l’abstrait est la lâcheté même de l’artiste. »
  
[[Louis-Ferdinand Céline]], Lettre à Élie Faure, 2 mars 1935
+
— Louis-Ferdinand Céline, Lettre à Élie Faure, 2 mars 1935
  
 
== Beauté ==
 
== Beauté ==
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« Nous faisons cas du beau, nous méprisons l’utile »
 
« Nous faisons cas du beau, nous méprisons l’utile »
 
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|auteur=[[Jean de La Fontaine]]
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|titre de la contribution=Le Cerf se voyant dans l’eau
 
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|titre=Fables
 
|titre=Fables
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« [...] la beauté sauvera le monde ! »
 
« [...] la beauté sauvera le monde ! »
 
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|titre=L’Idiot
 
|titre=L’Idiot
 
|année d'origine=1869
 
|année d'origine=1869
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« Parmi toutes les causes de faiblesse qui affectent l’action des nations blanches, la plus profonde, de beaucoup, est de n’avoir pas de doctrine. »
 
« Parmi toutes les causes de faiblesse qui affectent l’action des nations blanches, la plus profonde, de beaucoup, est de n’avoir pas de doctrine. »
 
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|titre=En Chine
 
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|publication=Magazine littéraire
 
|publication=Magazine littéraire
 
|date=mars 1967
 
|date=mars 1967
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[...] Elle a noyé dans les eaux glacées du calcul égoïste les frissons sacrés de l’exaltation religieuse, de l’enthousiasme chevaleresque, de la mélancolie sentimentale des petits-bourgeois. »
 
[...] Elle a noyé dans les eaux glacées du calcul égoïste les frissons sacrés de l’exaltation religieuse, de l’enthousiasme chevaleresque, de la mélancolie sentimentale des petits-bourgeois. »
 
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|titre=Manifeste du Parti communiste
 
|titre=Manifeste du Parti communiste
 
|année d'origine=1848
 
|année d'origine=1848
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« La bourgeoisie a dépouillé de leur auréole toutes les activités tenues jusqu’ici pour vénérables et considérées avec une piété mêlée de crainte. Elle a transformé le médecin, le juriste, le prêtre, le poète, l’homme de science, en salariés à ses gages. »
 
« La bourgeoisie a dépouillé de leur auréole toutes les activités tenues jusqu’ici pour vénérables et considérées avec une piété mêlée de crainte. Elle a transformé le médecin, le juriste, le prêtre, le poète, l’homme de science, en salariés à ses gages. »
 
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|titre=Manifeste du Parti communiste
 
|titre=Manifeste du Parti communiste
 
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« Le sublime est mort dans la bourgeoisie et celle-ci est donc condamnée à ne plus avoir de morale. »
 
« Le sublime est mort dans la bourgeoisie et celle-ci est donc condamnée à ne plus avoir de morale. »
 
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|auteur=Georges Sorel
 
|titre=Réflexions sur la violence
 
|titre=Réflexions sur la violence
 
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|année d'origine=1908
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« Le prolétaire est un bourgeois qui n’a pas réussi. Rien de plus. Rien de moins. »
 
« Le prolétaire est un bourgeois qui n’a pas réussi. Rien de plus. Rien de moins. »
  
[[Louis-Ferdinand Céline]], Lettre à Élie Faure, 2 mars 1935
+
— Louis-Ferdinand Céline, Lettre à Élie Faure, 2 mars 1935
  
  
 
« Le seul vrai regret du bourgeois c’est de pas être né juif, juif tout à fait, depuis toujours, papa maman. La vraie noblesse de notre époque. »
 
« Le seul vrai regret du bourgeois c’est de pas être né juif, juif tout à fait, depuis toujours, papa maman. La vraie noblesse de notre époque. »
  
[[Louis-Ferdinand Céline]], ''Les Beaux Draps'' (1941)
+
— Louis-Ferdinand Céline, ''Les Beaux Draps'' (1941)
  
 
== Christianisme ==
 
== Christianisme ==
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« ''Le Christ est le plus grand des hommes parce qu’il s’est mesuré à l’ennemi le plus grand''. »
 
« ''Le Christ est le plus grand des hommes parce qu’il s’est mesuré à l’ennemi le plus grand''. »
 
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|auteur=[[Otto Weininger]]
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|auteur=Otto Weininger
 
|titre=Sexe et Caractère
 
|titre=Sexe et Caractère
 
|année d'origine=1903
 
|année d'origine=1903
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« Le cinéma en tant que rêve, le cinéma en tant que musique. Aucun art ne traverse, comme le cinéma, directement notre conscience diurne pour toucher à nos sentiments, au fond de la chambre crépusculaire de notre âme. »
 
« Le cinéma en tant que rêve, le cinéma en tant que musique. Aucun art ne traverse, comme le cinéma, directement notre conscience diurne pour toucher à nos sentiments, au fond de la chambre crépusculaire de notre âme. »
 
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|titre=Laterna Magica
 
|titre=Laterna Magica
 
|année d'origine=1987
 
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« [...] tout haute civilisation naît d’une collectivité ordonnée. »
 
« [...] tout haute civilisation naît d’une collectivité ordonnée. »
 
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|titre=Scènes et doctrines du nationalisme
 
|titre=Scènes et doctrines du nationalisme
 
|année d'origine=1902
 
|année d'origine=1902
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« Le communisme a été un reproche lancé au monde chrétien, une sentence portée contre sa longue carence dans l’accomplissement de ses devoirs essentiels. »
 
« Le communisme a été un reproche lancé au monde chrétien, une sentence portée contre sa longue carence dans l’accomplissement de ses devoirs essentiels. »
 
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|titre=Les Sources et le sens du communisme russe
 
|titre=Les Sources et le sens du communisme russe
 
|année d'origine=1936
 
|année d'origine=1936
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Il me plaist d’imiter le train de mes ayeux »</poem>
 
Il me plaist d’imiter le train de mes ayeux »</poem>
 
{{Réf Livre
 
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|auteur=[[Pierre de Ronsard]]
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|auteur=Pierre de Ronsard
 
|titre=Œuvres complètes
 
|titre=Œuvres complètes
 
|titre de la contribution=Remonstrance au peuple de France
 
|titre de la contribution=Remonstrance au peuple de France
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« La destruction du passé est peut-être le plus grand de tous les crimes. »
 
« La destruction du passé est peut-être le plus grand de tous les crimes. »
 
{{Réf Livre
 
{{Réf Livre
|auteur=[[Simone Weil]]
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|auteur=Simone Weil
 
|titre=L’Enracinement
 
|titre=L’Enracinement
 
|année d'origine=1943
 
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« Il faut peser les voix, et non les compter. »
 
« Il faut peser les voix, et non les compter. »
  
[[Joseph de Maistre]], Lettre à M. Le Chevalier de Saint-Réal, Saint-Pétersbourg, 22 décembre 1816-3 janvier 1817
+
— Joseph de Maistre, Lettre à M. Le Chevalier de Saint-Réal, Saint-Pétersbourg, 22 décembre 1816-3 janvier 1817
  
  
 
« La démocratie reste indifférente au bien et au mal. »
 
« La démocratie reste indifférente au bien et au mal. »
 
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|auteur=Nicolas Berdiaev
 
|titre=Le Nouveau Moyen Âge
 
|titre=Le Nouveau Moyen Âge
 
|année d'origine=1924
 
|année d'origine=1924
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« La démocratie partout et toujours, n’est jamais que le paravent de la dictature juive. »
 
« La démocratie partout et toujours, n’est jamais que le paravent de la dictature juive. »
 
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|auteur=[[Louis-Ferdinand Céline]]
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|titre=Bagatelles pour un massacre
 
|titre=Bagatelles pour un massacre
 
|année d'origine=1937
 
|année d'origine=1937
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« Proclamer qu’on respecte la volonté du peuple, après s’être arrangé pour la fabriquer, c’est tout le secret de la démocratie. »
 
« Proclamer qu’on respecte la volonté du peuple, après s’être arrangé pour la fabriquer, c’est tout le secret de la démocratie. »
  
[[Abel Bonnard]], « Les opinions », ''Je suis partout'', 13 avril 1941
+
— Abel Bonnard, « Les opinions », ''Je suis partout'', 13 avril 1941
  
 
== Destin ==
 
== Destin ==
Ligne 317 : Ligne 317 :
 
« Nous ne luttons pas pour que le peuple devienne heureux. Nous luttons pour lui imposer une destinée. »
 
« Nous ne luttons pas pour que le peuple devienne heureux. Nous luttons pour lui imposer une destinée. »
 
{{Réf Livre
 
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|auteur=[[Ernst von Salomon]]
+
|auteur=Ernst von Salomon
 
|titre=Les Réprouvés
 
|titre=Les Réprouvés
 
|année d'origine=1930
 
|année d'origine=1930
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« Mes chers frères, n’oubliez jamais, quand vous entendrez vanter le progrès des lumières, que la plus belle des ruses du diable est de vous persuader qu’il n’existe pas ! »
 
« Mes chers frères, n’oubliez jamais, quand vous entendrez vanter le progrès des lumières, que la plus belle des ruses du diable est de vous persuader qu’il n’existe pas ! »
 
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|auteur=[[Charles Baudelaire]]
+
|auteur=Charles Baudelaire
 
|titre de la contribution=Petits Poèmes en prose
 
|titre de la contribution=Petits Poèmes en prose
 
|année de la contribution=1869
 
|année de la contribution=1869
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« '''L’homme sans Dieu cesse d’être homme''' [...]. »
 
« '''L’homme sans Dieu cesse d’être homme''' [...]. »
 
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|auteur=[[Nicolas Berdiaev]]
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|auteur=Nicolas Berdiaev
 
|titre=Le Nouveau Moyen Âge
 
|titre=Le Nouveau Moyen Âge
 
|année d'origine=1924
 
|année d'origine=1924
Ligne 358 : Ligne 358 :
 
« La constitution de 1795, tout comme ses aînées, est faite pour l’''homme''. Or, il n’y a point d’''homme'' dans le monde. J’ai vu, dans ma vie, des Français, des Italiens, des Russes, etc., je sais même, grâce à Montesquieu, ''qu’on peut être Persan'' : mais quant à l’''homme'', je déclare ne l’avoir rencontré de ma vie ; s’il existe, c’est bien à mon insu. »
 
« La constitution de 1795, tout comme ses aînées, est faite pour l’''homme''. Or, il n’y a point d’''homme'' dans le monde. J’ai vu, dans ma vie, des Français, des Italiens, des Russes, etc., je sais même, grâce à Montesquieu, ''qu’on peut être Persan'' : mais quant à l’''homme'', je déclare ne l’avoir rencontré de ma vie ; s’il existe, c’est bien à mon insu. »
 
{{Réf Livre
 
{{Réf Livre
|auteur=[[Joseph de Maistre]]
+
|auteur=Joseph de Maistre
 
|titre de la contribution=Considérations sur la France
 
|titre de la contribution=Considérations sur la France
 
|année de la contribution=1796
 
|année de la contribution=1796
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« [...] que la révolution a commencé par la déclaration des droits de l’homme, et qu’elle ne finira que par la déclaration des droits de Dieu. »
 
« [...] que la révolution a commencé par la déclaration des droits de l’homme, et qu’elle ne finira que par la déclaration des droits de Dieu. »
 
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{{Réf Livre
|auteur=[[Louis de Bonald]]
+
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|titre de la contribution=Législation primitive
 
|titre de la contribution=Législation primitive
 
|année de la contribution=1802
 
|année de la contribution=1802
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« L’amour de l’égalité trahit la préférence pour l’inférieur. »
 
« L’amour de l’égalité trahit la préférence pour l’inférieur. »
 
{{Réf Livre
 
{{Réf Livre
|auteur=[[Abel Bonnard]]
+
|auteur=Abel Bonnard
 
|titre de la contribution=La Question juive
 
|titre de la contribution=La Question juive
 
|année de la contribution=1937
 
|année de la contribution=1937
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« Mais l’âge de la chevalerie est passé. Celui des sophistes, des économistes et des calculateurs lui a succédé ; et la gloire de l’Europe est éteinte à jamais. »
 
« Mais l’âge de la chevalerie est passé. Celui des sophistes, des économistes et des calculateurs lui a succédé ; et la gloire de l’Europe est éteinte à jamais. »
 
{{Réf Livre
 
{{Réf Livre
|auteur=[[Edmund Burke]]
+
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|titre=Réflexions sur la Révolution en France
 
|titre=Réflexions sur la Révolution en France
 
|année d'origine=1790
 
|année d'origine=1790
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« [...] je meurs avec l’Europe, je suis en bonne compagnie. »
 
« [...] je meurs avec l’Europe, je suis en bonne compagnie. »
  
[[Joseph de Maistre]], Lettre au comte de Marcellus, 9 août 1819
+
— Joseph de Maistre, Lettre au comte de Marcellus, 9 août 1819
  
  
Ligne 420 : Ligne 420 :
 
« Sentir, aimer, souffrir, se dévouer, sera toujours le texte de la vie des femmes. »
 
« Sentir, aimer, souffrir, se dévouer, sera toujours le texte de la vie des femmes. »
 
{{Réf Livre
 
{{Réf Livre
|auteur=[[Honoré de Balzac]]
+
|auteur=Honoré de Balzac
 
|titre=Eugénie Grandet
 
|titre=Eugénie Grandet
 
|année d'origine=1833
 
|année d'origine=1833
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« La femme est une traîtresse-chienne née... autant que le Juif est escroc né... »
 
« La femme est une traîtresse-chienne née... autant que le Juif est escroc né... »
 
{{Réf Livre
 
{{Réf Livre
|auteur=[[Louis-Ferdinand Céline]]
+
|auteur=Louis-Ferdinand Céline
 
|titre=Bagatelles pour un massacre
 
|titre=Bagatelles pour un massacre
 
|année d'origine=1937
 
|année d'origine=1937
Ligne 442 : Ligne 442 :
 
« Que soit bénie la foi des hommes qui osent renouveler la figure du monde selon l’idéal qu’ils chérissent. »
 
« Que soit bénie la foi des hommes qui osent renouveler la figure du monde selon l’idéal qu’ils chérissent. »
 
{{Réf Livre
 
{{Réf Livre
|auteur=[[Pierre Drieu la Rochelle]]
+
|auteur=Pierre Drieu la Rochelle
 
|titre de la contribution=À vous, Allemands
 
|titre de la contribution=À vous, Allemands
 
|année de la contribution=1917
 
|année de la contribution=1917
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« La France, premier-né de la civilisation européenne, sera la première à renaître à l’ordre ou à périr. »
 
« La France, premier-né de la civilisation européenne, sera la première à renaître à l’ordre ou à périr. »
 
{{Réf Livre
 
{{Réf Livre
|auteur=[[Louis de Bonald]]
+
|auteur=Louis de Bonald
 
|titre de la contribution=Pensées sur divers sujets
 
|titre de la contribution=Pensées sur divers sujets
 
|année de la contribution=1817
 
|année de la contribution=1817
Ligne 465 : Ligne 465 :
 
« La France est une œuvre de l’intelligence et de la volonté. »
 
« La France est une œuvre de l’intelligence et de la volonté. »
 
{{Réf Livre
 
{{Réf Livre
|auteur=[[Jacques Bainville]]
+
|auteur=Jacques Bainville
 
|titre=Histoire de France
 
|titre=Histoire de France
 
|année d'origine=1924
 
|année d'origine=1924
Ligne 475 : Ligne 475 :
 
« [...] la Fille aînée de l’Église, devenue la Salope du monde [...]. »
 
« [...] la Fille aînée de l’Église, devenue la Salope du monde [...]. »
 
{{Réf Livre
 
{{Réf Livre
|auteur=[[Léon Bloy]]
+
|auteur=Léon Bloy
 
|titre=Le Désespéré
 
|titre=Le Désespéré
 
|année d'origine=1887
 
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Ligne 486 : Ligne 486 :
 
« La France est une colonie du pouvoir juif international, toute velléité de soulèvement indigène, la moindre tentative pour évincer le Juif, toute chouannerie est condamnée d’avance à la faillite honteuse... »
 
« La France est une colonie du pouvoir juif international, toute velléité de soulèvement indigène, la moindre tentative pour évincer le Juif, toute chouannerie est condamnée d’avance à la faillite honteuse... »
 
{{Réf Livre
 
{{Réf Livre
|auteur=[[Louis-Ferdinand Céline]]
+
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|titre=Bagatelles pour un massacre
 
|titre=Bagatelles pour un massacre
 
|année d'origine=1937
 
|année d'origine=1937
Ligne 497 : Ligne 497 :
 
« L’histoire mondiale est l’histoire de la lutte des puissances maritimes contre les puissances continentales et des puissances continentales contre les puissances maritimes. »
 
« L’histoire mondiale est l’histoire de la lutte des puissances maritimes contre les puissances continentales et des puissances continentales contre les puissances maritimes. »
 
{{Réf Livre
 
{{Réf Livre
|auteur=[[Carl Schmitt]]
+
|auteur=Carl Schmitt
 
|titre=Terre et Mer
 
|titre=Terre et Mer
 
|année d'origine=1942
 
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Ligne 510 : Ligne 510 :
 
« L’ordre de Sparte, l’homme selon Sparte, c’est le seul bouclier qui nous restera, nous le savons tous, quand l’ombre de la mort se lèvera devant l’Occident. »
 
« L’ordre de Sparte, l’homme selon Sparte, c’est le seul bouclier qui nous restera, nous le savons tous, quand l’ombre de la mort se lèvera devant l’Occident. »
 
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{{Réf Livre
|auteur=[[Maurice Bardèche]]
+
|auteur=Maurice Bardèche
 
|titre=Qu’est-ce que le fascisme ?
 
|titre=Qu’est-ce que le fascisme ?
 
|année d'origine=1961
 
|année d'origine=1961
Ligne 521 : Ligne 521 :
 
« Toutes les guerres, toutes les révolutions, ne sont en définitive que des pogroms d’Aryens organisés par les Juifs. »
 
« Toutes les guerres, toutes les révolutions, ne sont en définitive que des pogroms d’Aryens organisés par les Juifs. »
  
[[Louis-Ferdinand Céline]], ''L’École des cadavres'' (1938)
+
— Louis-Ferdinand Céline, ''L’École des cadavres'' (1938)
  
 
== Guerre civile ==
 
== Guerre civile ==
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« Toute guerre civile introduit l’étranger dans les affaires d’un pays. »
 
« Toute guerre civile introduit l’étranger dans les affaires d’un pays. »
 
{{Réf Livre
 
{{Réf Livre
|auteur=[[Jacques Bainville]]
+
|auteur=Jacques Bainville
 
|titre=Histoire de France
 
|titre=Histoire de France
 
|année d'origine=1924
 
|année d'origine=1924
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« Quant à l’histoire, elle est écrite pas les vainqueurs, quels qu’ils soient. »
 
« Quant à l’histoire, elle est écrite pas les vainqueurs, quels qu’ils soient. »
 
{{Réf Livre
 
{{Réf Livre
|auteur=[[Robert Brasillach]]
+
|auteur=Robert Brasillach
 
|titre de la contribution=Les Frères ennemis
 
|titre de la contribution=Les Frères ennemis
 
|année de la contribution=octobre 1944
 
|année de la contribution=octobre 1944
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« Pour honorer des étrangers, tu as perdu ta cité ! »
 
« Pour honorer des étrangers, tu as perdu ta cité ! »
 
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{{Réf Livre
|auteur=[[Eschyle]]
+
|auteur=Eschyle
 
|titre de la contribution=Les Suppliantes
 
|titre de la contribution=Les Suppliantes
 
|titre=Tragédies complètes
 
|titre=Tragédies complètes
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« [...] dans les sociétés modernes, la spoliation par l’impôt s’exerce sur une immense échelle. »
 
« [...] dans les sociétés modernes, la spoliation par l’impôt s’exerce sur une immense échelle. »
 
{{Réf Livre
 
{{Réf Livre
|auteur=[[Frédéric Bastiat]]
+
|auteur=Frédéric Bastiat
 
|titre de la contribution=Harmonies Économiques
 
|titre de la contribution=Harmonies Économiques
 
|année de la contribution=1850
 
|année de la contribution=1850
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« Le peuple sera écrasé d’impôts, on fera emprunt sur emprunt ; après avoir épuisé le présent, on dévorera l’avenir. »
 
« Le peuple sera écrasé d’impôts, on fera emprunt sur emprunt ; après avoir épuisé le présent, on dévorera l’avenir. »
 
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|auteur=[[Frédéric Bastiat]]
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|auteur=Frédéric Bastiat
 
|titre de la contribution=''Journal des Économistes''
 
|titre de la contribution=''Journal des Économistes''
 
|année de la contribution=15 juin 1848
 
|année de la contribution=15 juin 1848
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« '''L’individu, c’est le dernier produit d’une société qui devient stérile [...]. »
 
« '''L’individu, c’est le dernier produit d’une société qui devient stérile [...]. »
 
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{{Réf Livre
|auteur=[[Abel Bonnard]]
+
|auteur=Abel Bonnard
 
|titre de la contribution=Discours aux chefs miliciens
 
|titre de la contribution=Discours aux chefs miliciens
 
|année de la contribution=30 janvier 1943
 
|année de la contribution=30 janvier 1943
Ligne 602 : Ligne 602 :
 
« Il y a dans le Coran quelque chose de guerrier et de fort, quelque chose de viril, quelque chose de romain pour ainsi dire. »
 
« Il y a dans le Coran quelque chose de guerrier et de fort, quelque chose de viril, quelque chose de romain pour ainsi dire. »
 
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|auteur=[[Maurice Bardèche]]
+
|auteur=Maurice Bardèche
 
|titre=Qu’est-ce que le fascisme ?
 
|titre=Qu’est-ce que le fascisme ?
 
|année d'origine=1961
 
|année d'origine=1961
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« Le journalisme est un enfer, un abîme d’iniquités, de mensonges, de trahisons, que l’on ne peut traverser et d’où l’on ne peut sortir pur [...]. »
 
« Le journalisme est un enfer, un abîme d’iniquités, de mensonges, de trahisons, que l’on ne peut traverser et d’où l’on ne peut sortir pur [...]. »
 
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|auteur=[[Honoré de Balzac]]
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|titre=Illusions perdues
 
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|année d'origine=1837-1843
 
|année d'origine=1837-1843
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« Les journaux ! les chemins de fer du mensonge. »
 
« Les journaux ! les chemins de fer du mensonge. »
 
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|auteur=[[Jules Barbey d’Aurevilly]]
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|titre=Pensées détachées
 
|titre=Pensées détachées
 
|année d'origine=1889
 
|année d'origine=1889
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« Les Juifs, cette poignée de déracinés a causé le déracinement de tout le globe terrestre. »
 
« Les Juifs, cette poignée de déracinés a causé le déracinement de tout le globe terrestre. »
 
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|auteur=[[Simone Weil]]
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|auteur=Simone Weil
 
|titre=La Pesanteur et la Grâce
 
|titre=La Pesanteur et la Grâce
 
|année d'origine=1942
 
|année d'origine=1942
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« Qu’est-ce que c’est qu’un Juif ? C’est un bourgeois qui croit en Dieu, ce qui lui fait un atout de plus, alors que le bourgeois ne croit qu’en sa rente. »
 
« Qu’est-ce que c’est qu’un Juif ? C’est un bourgeois qui croit en Dieu, ce qui lui fait un atout de plus, alors que le bourgeois ne croit qu’en sa rente. »
  
[[Alain Soral]], Conférence d’Alain Soral & Gabriele Adinolfi à Nice, 26 mars 2013
+
— Alain Soral, Conférence d’Alain Soral & Gabriele Adinolfi à Nice, 26 mars 2013
  
  
 
« La question juive est liée à la question nationale. Assimilés aux Français d’origine par la Révolution, les Juifs ont conservé leurs caractères distinctifs, et, de persécutés qu’ils étaient autrefois, ils sont devenus dominateurs. »
 
« La question juive est liée à la question nationale. Assimilés aux Français d’origine par la Révolution, les Juifs ont conservé leurs caractères distinctifs, et, de persécutés qu’ils étaient autrefois, ils sont devenus dominateurs. »
 
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|auteur=[[Maurice Barrès]]
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|auteur=Maurice Barrès
 
|titre=Scènes et doctrines du nationalisme
 
|titre=Scènes et doctrines du nationalisme
 
|année d'origine=1902
 
|année d'origine=1902
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« Le seul concurrent dangereux de l’Aryen, dans le présent, c’est le Juif. »
 
« Le seul concurrent dangereux de l’Aryen, dans le présent, c’est le Juif. »
 
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|auteur=[[Georges Vacher de Lapouge]]
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|auteur=Georges Vacher de Lapouge
 
|titre=L’Aryen, son rôle social
 
|titre=L’Aryen, son rôle social
 
|année d'origine=1889-1890
 
|année d'origine=1889-1890
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« Les juifs n’ont pas de patrie au sens où nous l’entendons. Pour nous, la patrie, c’est le sol et les ancêtres, c’est la terre de nos morts. Pour eux, c’est l’endroit où ils trouvent leur plus grand intérêt. »
 
« Les juifs n’ont pas de patrie au sens où nous l’entendons. Pour nous, la patrie, c’est le sol et les ancêtres, c’est la terre de nos morts. Pour eux, c’est l’endroit où ils trouvent leur plus grand intérêt. »
 
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|auteur=[[Maurice Barrès]]
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|titre=Scènes et doctrines du nationalisme
 
|titre=Scènes et doctrines du nationalisme
 
|année d'origine=1902
 
|année d'origine=1902
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« Quand les juifs disent qu’il n’y a pas de race, cela se conçoit, c’est le meilleur moyen d’introduire la leur. »
 
« Quand les juifs disent qu’il n’y a pas de race, cela se conçoit, c’est le meilleur moyen d’introduire la leur. »
 
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|auteur=[[Abel Bonnard]]
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|titre de la contribution=La Question juive
 
|titre de la contribution=La Question juive
 
|année de la contribution=1937
 
|année de la contribution=1937
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« Affronter la juiverie mondiale mais c’est affronter le Vésuve avec un petit arrosoir, pour l’éteindre. »
 
« Affronter la juiverie mondiale mais c’est affronter le Vésuve avec un petit arrosoir, pour l’éteindre. »
 
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{{Réf Livre
|auteur=[[Louis-Ferdinand Céline]]
+
|auteur=Louis-Ferdinand Céline
 
|titre=Bagatelles pour un massacre
 
|titre=Bagatelles pour un massacre
 
|année d'origine=1937
 
|année d'origine=1937
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« Le capitaine Dreyfus est bien plus grand que le capitaine Bonaparte. Il a conquis la France et il l’a gardée. »
 
« Le capitaine Dreyfus est bien plus grand que le capitaine Bonaparte. Il a conquis la France et il l’a gardée. »
 
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|auteur=[[Louis-Ferdinand Céline]]
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|titre=Bagatelles pour un massacre
 
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|année d'origine=1937
 
|année d'origine=1937
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« Lorsque les Français monteront une ligue antisémite, le Président, le Secrétaire et le Trésorier seront juifs. »
 
« Lorsque les Français monteront une ligue antisémite, le Président, le Secrétaire et le Trésorier seront juifs. »
 
{{Réf Livre
 
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|auteur=[[Louis-Ferdinand Céline]]
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|titre=Bagatelles pour un massacre
 
|titre=Bagatelles pour un massacre
 
|année d'origine=1937
 
|année d'origine=1937
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« Soyez résolus de ne servir plus, et vous voilà libres. »
 
« Soyez résolus de ne servir plus, et vous voilà libres. »
 
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|auteur=[[Étienne de La Boétie]]
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|titre=Discours de la servitude volontaire
 
|titre=Discours de la servitude volontaire
 
|année d'origine=1548
 
|année d'origine=1548
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« Quand une fois on a trouvé le moyen de prendre la multitude par l’appât de la liberté, elle suit en aveugle, pourvu qu’elle en entende seulement le nom. »
 
« Quand une fois on a trouvé le moyen de prendre la multitude par l’appât de la liberté, elle suit en aveugle, pourvu qu’elle en entende seulement le nom. »
 
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|auteur=[[Jacques-Bénigne Bossuet]]
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|auteur=Jacques-Bénigne Bossuet
 
|titre de la contribution=Oraison funèbre de Henriette-Marie de France
 
|titre de la contribution=Oraison funèbre de Henriette-Marie de France
 
|année de la contribution=1670
 
|année de la contribution=1670
Ligne 743 : Ligne 743 :
 
« Le despotisme fait illégalement de grandes choses, la liberté ne se donne même pas la peine d’en faire légalement de très-petites. »
 
« Le despotisme fait illégalement de grandes choses, la liberté ne se donne même pas la peine d’en faire légalement de très-petites. »
 
{{Réf Livre
 
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|auteur=[[Honoré de Balzac]]
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|auteur=Honoré de Balzac
 
|titre de la contribution=La Peau de chagrin (1831)
 
|titre de la contribution=La Peau de chagrin (1831)
 
|titre=Œuvres complètes de H. de Balzac
 
|titre=Œuvres complètes de H. de Balzac
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« [...] la liberté enfante l’anarchie, l’anarchie conduit au despotisme, et le despotisme ramène à la liberté. »
 
« [...] la liberté enfante l’anarchie, l’anarchie conduit au despotisme, et le despotisme ramène à la liberté. »
 
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|titre de la contribution=La Peau de chagrin (1831)
 
|titre de la contribution=La Peau de chagrin (1831)
 
|titre=Œuvres complètes de H. de Balzac
 
|titre=Œuvres complètes de H. de Balzac
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« Notre liberté est solidaire de l’équilibre du monde [...]. »
 
« Notre liberté est solidaire de l’équilibre du monde [...]. »
 
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{{Réf Livre
|auteur=[[Léon Bloy]]
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|auteur=Léon Bloy
 
|titre=Le Désespéré
 
|titre=Le Désespéré
 
|année d'origine=1887
 
|année d'origine=1887
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« À mesure que les peuples montent en civilisation, les gouvernements descendent en police. »
 
« À mesure que les peuples montent en civilisation, les gouvernements descendent en police. »
 
{{Réf Livre
 
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|auteur=[[Jules Barbey d’Aurevilly]]
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|auteur=Jules Barbey d’Aurevilly
 
|titre=Pensées détachées
 
|titre=Pensées détachées
 
|année d'origine=1889
 
|année d'origine=1889
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« Je crois que le monde moderne est une entreprise de dénaturation de l’homme et de la création. Je crois à l’inégalité parmi les hommes, à la malfaisance de certaines formes de la liberté, à l’hypocrisie de la fraternité. Je crois à la force et à la générosité. Je crois à d’autres hiérarchies que celle de l’argent. Je crois le monde pourri par ses idéologies. Je crois que gouverner c’est préserver notre indépendance, puis nous laisser vivre à notre gré. »
 
« Je crois que le monde moderne est une entreprise de dénaturation de l’homme et de la création. Je crois à l’inégalité parmi les hommes, à la malfaisance de certaines formes de la liberté, à l’hypocrisie de la fraternité. Je crois à la force et à la générosité. Je crois à d’autres hiérarchies que celle de l’argent. Je crois le monde pourri par ses idéologies. Je crois que gouverner c’est préserver notre indépendance, puis nous laisser vivre à notre gré. »
 
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|auteur=[[Maurice Bardèche]]
+
|auteur=Maurice Bardèche
 
|titre=Sparte et les Sudistes
 
|titre=Sparte et les Sudistes
 
|année d'origine=1969
 
|année d'origine=1969
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« Le monde moderne est saturé des vieilles vertus chrétiennes virant à la folie. »
 
« Le monde moderne est saturé des vieilles vertus chrétiennes virant à la folie. »
 
{{Réf Livre
 
{{Réf Livre
|auteur=[[Gilbert Keith Chesterton]]
+
|auteur=Gilbert Keith Chesterton
 
|titre=Orthodoxie
 
|titre=Orthodoxie
 
|année d'origine=1908
 
|année d'origine=1908
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« On ne comprend absolument rien à la civilisation moderne si l’on n’admet pas d’abord qu’elle est une conspiration universelle contre toute espèce de vie intérieure. »
 
« On ne comprend absolument rien à la civilisation moderne si l’on n’admet pas d’abord qu’elle est une conspiration universelle contre toute espèce de vie intérieure. »
 
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{{Réf Livre
|auteur=[[Georges Bernanos]]
+
|auteur=Georges Bernanos
 
|titre de la contribution=La France contre les robots
 
|titre de la contribution=La France contre les robots
 
|année de la contribution=1947
 
|année de la contribution=1947
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« Le monde moderne n’a pas le temps d’espérer, ni d’aimer, ni de rêver. »
 
« Le monde moderne n’a pas le temps d’espérer, ni d’aimer, ni de rêver. »
 
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|auteur=[[Georges Bernanos]]
+
|auteur=Georges Bernanos
 
|titre=Les Enfants humiliés
 
|titre=Les Enfants humiliés
 
|année d'origine=1939-1940
 
|année d'origine=1939-1940
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Le monde moderne : « une '''Atlantide submergée dans un dépotoir'''. »
 
Le monde moderne : « une '''Atlantide submergée dans un dépotoir'''. »
 
{{Réf Livre
 
{{Réf Livre
|auteur=[[Léon Bloy]]
+
|auteur=Léon Bloy
 
|titre=Le Désespéré
 
|titre=Le Désespéré
 
|année d'origine=1887
 
|année d'origine=1887
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« Le monde moderne est le monde de l’argent : c’est la plus brève façon de dire qu’il n’a plus d’âme. »
 
« Le monde moderne est le monde de l’argent : c’est la plus brève façon de dire qu’il n’a plus d’âme. »
 
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|auteur=[[Abel Bonnard]]
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|auteur=Abel Bonnard
 
|titre=L’Argent
 
|titre=L’Argent
 
|année d'origine=1928
 
|année d'origine=1928
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« La civilisation moderne c’est la standardisation totale, âmes et corps sous le Juif. »
 
« La civilisation moderne c’est la standardisation totale, âmes et corps sous le Juif. »
 
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{{Réf Livre
|auteur=[[Louis-Ferdinand Céline]]
+
|auteur=Louis-Ferdinand Céline
 
|titre=Bagatelles pour un massacre
 
|titre=Bagatelles pour un massacre
 
|année d'origine=1937
 
|année d'origine=1937
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« Nous crevons d’être sans légende, sans mystère, sans grandeur. Les cieux nous vomissent. »
 
« Nous crevons d’être sans légende, sans mystère, sans grandeur. Les cieux nous vomissent. »
  
[[Louis-Ferdinand Céline]], ''Les Beaux Draps'' (1941)
+
— Louis-Ferdinand Céline, ''Les Beaux Draps'' (1941)
  
 
== Monarchie ==
 
== Monarchie ==
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« Beaucoup voudraient une religion sans prêtres comme une monarchie sans nobles. Ils ne voient en tout et pour tout que l’homme et jamais le ministère de la société. »
 
« Beaucoup voudraient une religion sans prêtres comme une monarchie sans nobles. Ils ne voient en tout et pour tout que l’homme et jamais le ministère de la société. »
 
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{{Réf Livre
|auteur=[[Louis de Bonald]]
+
|auteur=Louis de Bonald
 
|titre=Réflexions sur l’accord des dogmes de la religion avec la raison
 
|titre=Réflexions sur l’accord des dogmes de la religion avec la raison
 
|année d'origine=1817-1818
 
|année d'origine=1817-1818
Ligne 887 : Ligne 887 :
 
« Il est aujourd’hui pour le moins paradoxal de constater que, pendant des siècles, l’Ancien Régime avait préservé jalousement le droit de l’État de battre monnaie, et le privilège exclusif d’en garder le bénéfice, la république démocratique a abandonné pour une grande part ce droit et ce privilège à des intérêts privés. »
 
« Il est aujourd’hui pour le moins paradoxal de constater que, pendant des siècles, l’Ancien Régime avait préservé jalousement le droit de l’État de battre monnaie, et le privilège exclusif d’en garder le bénéfice, la république démocratique a abandonné pour une grande part ce droit et ce privilège à des intérêts privés. »
 
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{{Réf Livre
|auteur=[[Maurice Allais]]
+
|auteur=Maurice Allais
 
|titre=L’Impôt sur le capital et la réforme monétaire
 
|titre=L’Impôt sur le capital et la réforme monétaire
 
|année d'origine=1977
 
|année d'origine=1977
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« L’ordre est le nom social de la beauté. »
 
« L’ordre est le nom social de la beauté. »
 
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{{Réf Livre
|auteur=[[Abel Bonnard]]
+
|auteur=Abel Bonnard
 
|titre=Les Modérés
 
|titre=Les Modérés
 
|année d'origine=1936
 
|année d'origine=1936
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« L’ordre du monde, c’est la beauté du monde. »
 
« L’ordre du monde, c’est la beauté du monde. »
 
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{{Réf Livre
|auteur=[[Simone Weil]]
+
|auteur=Simone Weil
 
|titre=L’Enracinement
 
|titre=L’Enracinement
 
|année d'origine=1943
 
|année d'origine=1943
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« J’attends les Cosaques et le Saint-Esprit. »
 
« J’attends les Cosaques et le Saint-Esprit. »
 
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{{Réf Livre
|auteur=[[Léon Bloy]]
+
|auteur=Léon Bloy
 
|titre=Au Seuil de l’Apocalypse
 
|titre=Au Seuil de l’Apocalypse
 
|année d'origine=1916
 
|année d'origine=1916
Ligne 948 : Ligne 948 :
 
« Ce sera le communisme rouge qui réalisera le vieux rêve des slavophiles, de transporter la capitale de Pétersbourg à Moscou, au sein du Kremlin. Ce sera lui qui reprendra la formule des slavophiles et de Dostoïevski : ''Ex Oriente lux''. De Moscou, du Kremlin, jaillit la lueur qui doit éclairer les ténèbres bourgeoises de l’Occident. »
 
« Ce sera le communisme rouge qui réalisera le vieux rêve des slavophiles, de transporter la capitale de Pétersbourg à Moscou, au sein du Kremlin. Ce sera lui qui reprendra la formule des slavophiles et de Dostoïevski : ''Ex Oriente lux''. De Moscou, du Kremlin, jaillit la lueur qui doit éclairer les ténèbres bourgeoises de l’Occident. »
 
{{Réf Livre
 
{{Réf Livre
|auteur=[[Nicolas Berdiaev]]
+
|auteur=Nicolas Berdiaev
 
|titre=Les Sources et le sens du communisme russe
 
|titre=Les Sources et le sens du communisme russe
 
|année d'origine=1936
 
|année d'origine=1936
Ligne 972 : Ligne 972 :
 
« [...] ''le ludique de la consommation s’est substitué progressivement au tragique de l’identité''. »
 
« [...] ''le ludique de la consommation s’est substitué progressivement au tragique de l’identité''. »
 
{{Réf Livre
 
{{Réf Livre
|auteur=[[Jean Baudrillard]]
+
|auteur=Jean Baudrillard
 
|titre=La Société de consommation
 
|titre=La Société de consommation
 
|année d'origine=1970
 
|année d'origine=1970
Ligne 985 : Ligne 985 :
 
« Il n’y a de grand parmi les hommes que le poète, le prêtre et le soldat. L’homme qui chante, l’homme qui sacrifie et se sacrifie. Le reste est fait pour le fouet. »
 
« Il n’y a de grand parmi les hommes que le poète, le prêtre et le soldat. L’homme qui chante, l’homme qui sacrifie et se sacrifie. Le reste est fait pour le fouet. »
 
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{{Réf Livre
|auteur=[[Charles Baudelaire]]
+
|auteur=Charles Baudelaire
 
|titre de la contribution=Mon cœur mis à nu
 
|titre de la contribution=Mon cœur mis à nu
 
|année de la contribution=1887
 
|année de la contribution=1887
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« La féminisation est consubstantielle à la tertiarisation. »
 
« La féminisation est consubstantielle à la tertiarisation. »
  
[[Alain Soral]], « Soral a (presque toujours) raison — À l’Université d’été d’E&R 2021 ! », juillet 2021
+
— Alain Soral, « Soral a (presque toujours) raison — À l’Université d’été d’E&R 2021 ! », juillet 2021
  
  
 
« Le féminisme libéra les femmes de la dignité naturelle de leur sexe et les transforma en homme inférieurs. »
 
« Le féminisme libéra les femmes de la dignité naturelle de leur sexe et les transforma en homme inférieurs. »
 
{{Réf Livre
 
{{Réf Livre
|auteur=[[Francis Parker Yockey]]
+
|auteur=Francis Parker Yockey
 
|traducteur=Jean-François Hivernat
 
|traducteur=Jean-François Hivernat
 
|titre=Imperium
 
|titre=Imperium
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« Le spectacle est le moment où la marchandise est parvenue à l’occupation totale de la vie sociale. »
 
« Le spectacle est le moment où la marchandise est parvenue à l’occupation totale de la vie sociale. »
 
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{{Réf Livre
|auteur=[[Guy Debord]]
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|auteur=Guy Debord
 
|titre=Œuvres
 
|titre=Œuvres
 
|titre de la contribution=La Société du spectacle
 
|titre de la contribution=La Société du spectacle
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« L’économie transforme le monde, mais le transforme seulement en monde de l’économie. »
 
« L’économie transforme le monde, mais le transforme seulement en monde de l’économie. »
 
{{Réf Livre
 
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|auteur=[[Guy Debord]]
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|auteur=Guy Debord
 
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|titre de la contribution=La Société du spectacle
 
|titre de la contribution=La Société du spectacle
Ligne 1 049 : Ligne 1 049 :
 
« [...] le capitalisme a produit la société civile, ce que Hegel appelait “la Bête Sauvage” : une société qui n’est plus qu’un marché [...]. »
 
« [...] le capitalisme a produit la société civile, ce que Hegel appelait “la Bête Sauvage” : une société qui n’est plus qu’un marché [...]. »
 
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{{Réf Livre
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|titre=La Bête sauvage
 
|titre=La Bête sauvage
 
|année d'origine=1983
 
|année d'origine=1983
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Le nationalisme « défend la nation contre l’Étranger de l’intérieur. »
 
Le nationalisme « défend la nation contre l’Étranger de l’intérieur. »
 
{{Réf Livre
 
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|auteur=[[Charles Maurras]]
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|auteur=Charles Maurras
 
|titre=Mes idées politiques
 
|titre=Mes idées politiques
 
|année d'origine=1937
 
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« Le nationalisme est une attitude de défense, rendue nécessaire par la faiblesse de l’État français. »
 
« Le nationalisme est une attitude de défense, rendue nécessaire par la faiblesse de l’État français. »
  
[[Jacques Bainville]], Journal, 12 novembre 1911
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— Jacques Bainville, Journal, 12 novembre 1911
  
 
== Violence ==
 
== Violence ==
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{{Réf Article
 
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|titre=Notre antisémitisme
 
|titre=Notre antisémitisme
|auteur=[[Charles Maurras]] cité par Henri Vaugeois
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|auteur=Charles Maurras cité par Henri Vaugeois
 
|publication=L’Action française
 
|publication=L’Action française
 
|date=15 août 1900
 
|date=15 août 1900
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« Le libéralisme est l’expression d’une société qui n’est plus une communauté. »
 
« Le libéralisme est l’expression d’une société qui n’est plus une communauté. »
 
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|auteur=[[Arthur Moeller van den Bruck]]
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|auteur=Arthur Moeller van den Bruck
 
|titre=Le Troisième Reich
 
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|traducteur=Jean Louis Lénault
 
|traducteur=Jean Louis Lénault
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« Des sottises faites par des gens habiles ; des extravagances dites par des gens d’esprit ; des crimes commis par d’honnêtes gens... Voilà les révolutions. »
 
« Des sottises faites par des gens habiles ; des extravagances dites par des gens d’esprit ; des crimes commis par d’honnêtes gens... Voilà les révolutions. »
 
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|auteur=[[Louis de Bonald]]
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|titre de la contribution=Pensées sur divers sujets
 
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|année de la contribution=1817
 
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« Nous voulons gagner la révolution. »
 
« Nous voulons gagner la révolution. »
 
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|auteur=[[Arthur Moeller van den Bruck]]
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|titre=Le Troisième Reich
 
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|traducteur=Jean Louis Lénault
 
|traducteur=Jean Louis Lénault
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« La question est seulement de savoir si le conservateur devra triompher de la révolution, ou si le révolutionnaire trouvera de lui-même le chemin du conservatisme. »
 
« La question est seulement de savoir si le conservateur devra triompher de la révolution, ou si le révolutionnaire trouvera de lui-même le chemin du conservatisme. »
 
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|traducteur=Jean Louis Lénault
 
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« Il n’y a rien d’intéressant sur la terre que les religions. »
 
« Il n’y a rien d’intéressant sur la terre que les religions. »
 
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|auteur=[[Charles Baudelaire]]
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|auteur=Charles Baudelaire
 
|titre de la contribution=Mon cœur mis à nu
 
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|année de la contribution=1887
 
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« Dieu châtie les hommes et les peuples par les révolutions. »
 
« Dieu châtie les hommes et les peuples par les révolutions. »
 
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|auteur=[[Nicolas Berdiaev]]
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|auteur=Nicolas Berdiaev
 
|titre=Le Nouveau Moyen Âge
 
|titre=Le Nouveau Moyen Âge
 
|année d'origine=1924
 
|année d'origine=1924
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« Défiez-vous de ces cosmopolites qui vont chercher au loin dans leurs livres des devoirs qu’ils dédaignent de remplir autour d’eux. Tel philosophe aime les Tartares pour être dispensé d’aimer ses voisins. »
 
« Défiez-vous de ces cosmopolites qui vont chercher au loin dans leurs livres des devoirs qu’ils dédaignent de remplir autour d’eux. Tel philosophe aime les Tartares pour être dispensé d’aimer ses voisins. »
 
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|auteur=[[Jean-Jacques Rousseau]]
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|auteur=Jean-Jacques Rousseau
 
|titre de la contribution=Émile, ou De l’éducation (1762)
 
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|titre=Œuvres complètes de J.-J. Rousseau
 
|titre=Œuvres complètes de J.-J. Rousseau
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« L’Usure est le cancer du monde, seul le bistouri du Fascisme peut l’extirper de la vie des nations. »
 
« L’Usure est le cancer du monde, seul le bistouri du Fascisme peut l’extirper de la vie des nations. »
 
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|auteur=[[Ezra Pound]]
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|auteur=Ezra Pound
 
|titre=Ezra Pound
 
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|titre de la contribution=À quoi sert l’argent ?
 
|titre de la contribution=À quoi sert l’argent ?
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« L’histoire du monde est faite par les minorités, chaque fois que les minorités de nombre incarnent la majorité de la volonté et de la décision.'' »
 
« L’histoire du monde est faite par les minorités, chaque fois que les minorités de nombre incarnent la majorité de la volonté et de la décision.'' »
 
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|auteur=[[Adolf Hitler]]
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|titre=Mein Kampf
 
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|année d'origine=1925
 
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« Jugez de ce qu’un peuple défend quand il défend ses frontières ! »
 
« Jugez de ce qu’un peuple défend quand il défend ses frontières ! »
 
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|auteur=[[Antoine Blanc de Saint-Bonnet]]
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|titre=La Restauration française
 
|titre=La Restauration française
 
|année d'origine=1851
 
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« [...] les hommes se ressembleront tous. »
 
« [...] les hommes se ressembleront tous. »
 
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|auteur=[[Arthur de Gobineau]]
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|auteur=Arthur de Gobineau
 
|titre=Essai sur l’inégalité des races humaines
 
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|année d'origine=1853
 
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« Tant que les qualités héréditaires de la race seront intactes, la force et l’audace de leurs ancêtres pourront se réveiller chez les hommes modernes. Sont-ils encore capables de le vouloir ? »
 
« Tant que les qualités héréditaires de la race seront intactes, la force et l’audace de leurs ancêtres pourront se réveiller chez les hommes modernes. Sont-ils encore capables de le vouloir ? »
 
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|titre=L’Homme, cet inconnu
 
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|année d'origine=1935
 
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« Il y a plusieurs humanités dans l’humanité. »
 
« Il y a plusieurs humanités dans l’humanité. »
 
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|auteur=[[Abel Bonnard]]
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|auteur=Abel Bonnard
 
|titre de la contribution=La Question juive
 
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|année de la contribution=1937
 
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« Il ne s’agit pas de mépriser les races [...] mais de mépriser le mélange. »
 
« Il ne s’agit pas de mépriser les races [...] mais de mépriser le mélange. »
 
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|auteur=[[Abel Bonnard]]
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|titre de la contribution=La Question juive
 
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|année de la contribution=1937
 
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« ''L’inégalité est une condition du développement de la culture.'' »
 
« ''L’inégalité est une condition du développement de la culture.'' »
 
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|auteur=[[Nicolas Berdiaev]]
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|auteur=Nicolas Berdiaev
 
|titre=De l’inégalité
 
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|année d'origine=1918-1923
 
|année d'origine=1918-1923
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« La menace principale, aujourd’hui, quelle est-elle ? Elle est la disparition progressive de la diversité du monde. »
 
« La menace principale, aujourd’hui, quelle est-elle ? Elle est la disparition progressive de la diversité du monde. »
 
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|auteur=[[Alain de Benoist]]
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|auteur=Alain de Benoist
 
|titre=Vu de droite
 
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|année d'origine=1977
 
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« Tous les concepts prégnants de la théorie moderne de l’État sont des concepts théologiques sécularisés. »
 
« Tous les concepts prégnants de la théorie moderne de l’État sont des concepts théologiques sécularisés. »
 
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{{Réf Livre
|auteur=[[Carl Schmitt]]
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|auteur=Carl Schmitt
 
|titre=Théologie politique
 
|titre=Théologie politique
 
|année d'origine=1922
 
|année d'origine=1922
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« La distinction spécifique du politique, à laquelle peuvent se ramener les actes et les mobiles politiques, c’est la discrimination de l’ami et de l’ennemi. »
 
« La distinction spécifique du politique, à laquelle peuvent se ramener les actes et les mobiles politiques, c’est la discrimination de l’ami et de l’ennemi. »
 
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|titre=La Notion de politique
 
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|année d'origine=1927
 
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« [...] la conquête du pouvoir ''politique'' passe par celle du pouvoir ''culturel'' [...]. »
 
« [...] la conquête du pouvoir ''politique'' passe par celle du pouvoir ''culturel'' [...]. »
 
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|auteur=[[Alain de Benoist]]
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|titre=Orientations pour des années décisives
 
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|année d'origine=1982
 
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« On ne choisit pas plus sa patrie — ''la terre de ses pères'' — que l’on ne choisit son père et sa mère. »
 
« On ne choisit pas plus sa patrie — ''la terre de ses pères'' — que l’on ne choisit son père et sa mère. »
 
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|auteur=[[Charles Maurras]]
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|auteur=Charles Maurras
 
|titre=Mes idées politiques
 
|titre=Mes idées politiques
 
|année d'origine=1937
 
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« En coupant la tête à Louis XVI, la Révolution a coupé la tête à tous les pères de famille. Il n’y a plus de famille aujourd’hui, il n’y a plus que des individus. »
 
« En coupant la tête à Louis XVI, la Révolution a coupé la tête à tous les pères de famille. Il n’y a plus de famille aujourd’hui, il n’y a plus que des individus. »
 
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|auteur=[[Honoré de Balzac]]
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|auteur=Honoré de Balzac
 
|titre de la contribution=Mémoires de deux jeunes mariées (1841)
 
|titre de la contribution=Mémoires de deux jeunes mariées (1841)
 
|titre=Œuvres complètes de H. de Balzac
 
|titre=Œuvres complètes de H. de Balzac
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« Parlé, avec la sage-femme, de la vaccination, qui est, parait-il, exigée par la loi, car toute liberté décampe. J’exprime fortement, quoique bien inutilement, mon horreur pour cette ordure, dont l’humanité s’est si bien passée, jusqu’au dernier siècle, et dont l’Angleterre nous gratifia. Le courant moderne est, d’ailleurs, aux inoculations de tout genre. On finira par putréfier les petits enfants de quarante sorte de vaccins. »
 
« Parlé, avec la sage-femme, de la vaccination, qui est, parait-il, exigée par la loi, car toute liberté décampe. J’exprime fortement, quoique bien inutilement, mon horreur pour cette ordure, dont l’humanité s’est si bien passée, jusqu’au dernier siècle, et dont l’Angleterre nous gratifia. Le courant moderne est, d’ailleurs, aux inoculations de tout genre. On finira par putréfier les petits enfants de quarante sorte de vaccins. »
  
[[Léon Bloy]], Journal, 2 octobre 1895
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— Léon Bloy, Journal, 2 octobre 1895
  
 
== Shoah ==
 
== Shoah ==
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« [...] il y a officiellement depuis le jugement de Nuremberg, une religion de l’humanité [...]. »
 
« [...] il y a officiellement depuis le jugement de Nuremberg, une religion de l’humanité [...]. »
 
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|auteur=[[Maurice Bardèche]]
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|auteur=Maurice Bardèche
 
|titre=Nuremberg ou la Terre promise
 
|titre=Nuremberg ou la Terre promise
 
|année d'origine=1948
 
|année d'origine=1948
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« Les prétendues “chambres à gaz” hitlériennes et le prétendu “génocide” des Juifs forment un seul et même mensonge historique, qui a permis une gigantesque escroquerie politico-financière dont les principaux bénéficiaires sont l’État d’Israël et le sionisme international et dont les principales victimes sont le peuple allemand — mais non pas ses dirigeants — et le peuple palestinien tout entier. »
 
« Les prétendues “chambres à gaz” hitlériennes et le prétendu “génocide” des Juifs forment un seul et même mensonge historique, qui a permis une gigantesque escroquerie politico-financière dont les principaux bénéficiaires sont l’État d’Israël et le sionisme international et dont les principales victimes sont le peuple allemand — mais non pas ses dirigeants — et le peuple palestinien tout entier. »
  
[[Robert Faurisson]], ''Europe 1'', 17 décembre 1980
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— Robert Faurisson, ''Europe 1'', 17 décembre 1980
  
 
== Science ==
 
== Science ==
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« [...] le mot de Science est une des idoles du temps. Ce mot reste dans la tête de ceux à qui l’on n’a précisément rien appris. [...] Ils croient à la Science, sans rien savoir. »
 
« [...] le mot de Science est une des idoles du temps. Ce mot reste dans la tête de ceux à qui l’on n’a précisément rien appris. [...] Ils croient à la Science, sans rien savoir. »
 
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|auteur=[[Abel Bonnard]]
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|auteur=Abel Bonnard
 
|titre=Éloge de l’ignorance
 
|titre=Éloge de l’ignorance
 
|année d'origine=1926
 
|année d'origine=1926
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« Le sionisme allumera sans doute en Palestine une hideuse guerre de religion : encore un de ces progrès à rebours que les traités auront valu au genre humain. »
 
« Le sionisme allumera sans doute en Palestine une hideuse guerre de religion : encore un de ces progrès à rebours que les traités auront valu au genre humain. »
  
[[Jacques Bainville]], « Les effets du sionisme », ''L’Action française'', 20 décembre 1920
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— Jacques Bainville, « Les effets du sionisme », ''L’Action française'', 20 décembre 1920
  
 
== Technique ==
 
== Technique ==
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« On a senti le diable dans la machine et on n’a pas tort. Elle signifie, aux yeux d’un croyant le Dieu détrôné. »
 
« On a senti le diable dans la machine et on n’a pas tort. Elle signifie, aux yeux d’un croyant le Dieu détrôné. »
 
{{Réf Livre
 
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|auteur=[[Oswald Spengler]]
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|auteur=Oswald Spengler
 
|titre=Le Déclin de l’Occident
 
|titre=Le Déclin de l’Occident
 
|année d'origine=1918-1922
 
|année d'origine=1918-1922
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« Un monde gagné pour la Technique est perdu pour la Liberté. »
 
« Un monde gagné pour la Technique est perdu pour la Liberté. »
 
{{Réf Livre
 
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|titre de la contribution=La France contre les robots
 
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|année de la contribution=1947
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« Qui ne travaille pas est pourri d’idées générales et généreuses. »
 
« Qui ne travaille pas est pourri d’idées générales et généreuses. »
  
[[Louis-Ferdinand Céline]], Lettre à Élie Faure, 2 mars 1935
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— Louis-Ferdinand Céline, Lettre à Élie Faure, 2 mars 1935
  
 
== Vérité ==
 
== Vérité ==
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Il est de feu pour les mensonges. »</poem>
 
Il est de feu pour les mensonges. »</poem>
 
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|titre de la contribution=Le Statuaire et la Statue de Jupiter
 
|titre=Fables
 
|titre=Fables

Version du 15 décembre 2023 à 16:26

Américanisme

« On n’échappe pas au commerce américain. »

— Louis-Ferdinand Céline, Voyage au bout de la nuit (1932), éd. Gallimard, coll. « Folio », 1972 (ISBN 9782070360284), p. 207


« [...] l’américanisme, pour nous, est plus dangereux que le communisme [...]. »

— Julius Evola, Orientations (1950), trad. Philippe Baillet, éd. Pardès, 2011 (ISBN 9782867144509), p. 56


« L’Amérique n’est pas une nouvelle Rome, mais une nouvelle Carthage. Nous serons toujours pour Rome, contre Carthage. »

— Alain de Benoist, Orientations pour des années décisives (1982), éd. Le Labyrinthe, 1982, p. 73


« La dictature peut demain nous tuer individuellement. La décadence, elle, anéantit nos chances de survie en tant que peuple. »

— Alain de Benoist, Orientations pour des années décisives (1982), éd. Le Labyrinthe, 1982, p. 76


Angleterre

« L’Angleterre, ah ! la perfide Angleterre [...]. »

— Jacques-Bénigne Bossuet, « Premier Sermon pour la Fête de la Circoncision » (1653), dans Œuvres complètes de Bossuet, éd. Louis Vivès, 1862-1875, t. VIII, p. 318


Argent

« L’or est le souverain des souverains. »

— Antoine de Rivarol, « Pensées », dans Œuvres complètes, éd. Robert Laffont, coll. « Bouquins », 2018 (ISBN 9782221144992), p. 1405


« [...] dans la civilisation moderne, les capitaux, les puissances d’argent tendent à devenir les puissances suprêmes. »

— Maurice Barrès, Scènes et doctrines du nationalisme (1902), éd. Kontre Kulture, 2015 (ISBN 9782367250717), p. 457


« Le Sang du Pauvre, c’est l’argent. »

— Léon Bloy, « Le Sang du pauvre » (1909), dans Essais et pamphlets, éd. Robert Laffont, coll. « Bouquins », 2017 (ISBN 9782221193303), p. 437


« L’or en démocratie commande tout, les hommes, les gouvernants, les choses, la loi, les arts, la musique, le cul, l’armée, la vie, la mort, les âmes. »

— Louis-Ferdinand Céline, L’École des cadavres (1938)


« Le règne de l’argent est le règne de l’étranger [...]. »

— Maurice Bardèche, L’Œuf de Christophe Colomb. Lettre à un sénateur d’Amérique (1951), éd. Les Sept Couleurs, 1951, p. 195-196


Art contemporain

« La fuite vers l’abstrait est la lâcheté même de l’artiste. »

— Louis-Ferdinand Céline, Lettre à Élie Faure, 2 mars 1935

Beauté

« Nous faisons cas du beau, nous méprisons l’utile »

— Jean de La Fontaine, « Le Cerf se voyant dans l’eau », dans Fables (1668), éd. Flammarion, coll. « Garnier Flammarion », 2004 (ISBN 9782080707819), Livre VI, 9, p. 189


« [...] la beauté sauvera le monde ! »

— Fiodor Dostoïevski, L’Idiot (1869), trad. Albert Mousset, éd. Gallimard, coll. « Folio », 2005 (ISBN 9782070389636), p. 464


Blancs

« Parmi toutes les causes de faiblesse qui affectent l’action des nations blanches, la plus profonde, de beaucoup, est de n’avoir pas de doctrine. »

— Abel Bonnard, En Chine (1924), éd. Fayard, 1924, p. 278-340


« [...] l’homme blanc est mort à Stalingrad. »

— « Mon ami Céline », Louis-Ferdinand Céline cité par Pierre Duverger, Magazine littéraire, mars 1967


Bourgeoisie

« La bourgeoisie a joué dans l’histoire un rôle hautement révolutionnaire.

[...] Elle a noyé dans les eaux glacées du calcul égoïste les frissons sacrés de l’exaltation religieuse, de l’enthousiasme chevaleresque, de la mélancolie sentimentale des petits-bourgeois. »

— Karl Marx et Friedrich Engels, Manifeste du Parti communiste (1848), trad. Émile Bottigelli, éd. Flammarion, coll. « Garnier Flammarion », 1998 (ISBN 9782080710024), p. 76


« La bourgeoisie a dépouillé de leur auréole toutes les activités tenues jusqu’ici pour vénérables et considérées avec une piété mêlée de crainte. Elle a transformé le médecin, le juriste, le prêtre, le poète, l’homme de science, en salariés à ses gages. »

— Karl Marx et Friedrich Engels, Manifeste du Parti communiste (1848), trad. Émile Bottigelli, éd. Flammarion, coll. « Garnier Flammarion », 1998 (ISBN 9782080710024), p. 77


« Le sublime est mort dans la bourgeoisie et celle-ci est donc condamnée à ne plus avoir de morale. »

— Georges Sorel, Réflexions sur la violence (1908), éd. Kontre Kulture, 2014 (ISBN 9782367250441), p. 179


« Le prolétaire est un bourgeois qui n’a pas réussi. Rien de plus. Rien de moins. »

— Louis-Ferdinand Céline, Lettre à Élie Faure, 2 mars 1935


« Le seul vrai regret du bourgeois c’est de pas être né juif, juif tout à fait, depuis toujours, papa maman. La vraie noblesse de notre époque. »

— Louis-Ferdinand Céline, Les Beaux Draps (1941)

Christianisme

« Le Christ est le plus grand des hommes parce qu’il s’est mesuré à l’ennemi le plus grand. »

— Otto Weininger, Sexe et Caractère (1903), trad. Daniel Renaud, éd. Kontre Kulture, 2012 (ISBN 9782367250137), p. 450


Cinéma

« Le cinéma en tant que rêve, le cinéma en tant que musique. Aucun art ne traverse, comme le cinéma, directement notre conscience diurne pour toucher à nos sentiments, au fond de la chambre crépusculaire de notre âme. »

— Ingmar Bergman, Laterna Magica (1987), trad. Carl Gustaf Bjurström et Lucie Albertini, éd. Gallimard, coll. « Folio », 2001 (ISBN 9782070383382), p. 103


Civilisation

« [...] tout haute civilisation naît d’une collectivité ordonnée. »

— Maurice Barrès, Scènes et doctrines du nationalisme (1902), éd. Kontre Kulture, 2015 (ISBN 9782367250717), p. 198


Communisme

« Le communisme a été un reproche lancé au monde chrétien, une sentence portée contre sa longue carence dans l’accomplissement de ses devoirs essentiels. »

— Nicolas Berdiaev, Les Sources et le sens du communisme russe (1936), trad. Lucienne Julien Cain, éd. Gallimard, coll. « La Nouvelle Revue française », 1966, p. 345


Conservatisme

« De tant de nouveautez je ne suis curieux,
Il me plaist d’imiter le train de mes ayeux »

— Pierre de Ronsard, « Remonstrance au peuple de France » (1563), dans Œuvres complètes, éd. Gallimard, coll. « Bibliothèque de la Pléiade », 1994, t. II, p. 1022


« La destruction du passé est peut-être le plus grand de tous les crimes. »

— Simone Weil, L’Enracinement (1943), éd. Gallimard, coll. « Champs Classiques », 2014 (ISBN 9782081295865), p. 121


Démocratie

« Il faut peser les voix, et non les compter. »

— Joseph de Maistre, Lettre à M. Le Chevalier de Saint-Réal, Saint-Pétersbourg, 22 décembre 1816-3 janvier 1817


« La démocratie reste indifférente au bien et au mal. »

— Nicolas Berdiaev, Le Nouveau Moyen Âge (1924), trad. Jean-Claude Marcadé et Sylviane Siger, éd. L’Âge d’Homme, coll. « Sophia », 1986, p. 114


« La démocratie partout et toujours, n’est jamais que le paravent de la dictature juive. »

— Louis-Ferdinand Céline, Bagatelles pour un massacre (1937), éd. Denoël, 1937, p. 51


« Proclamer qu’on respecte la volonté du peuple, après s’être arrangé pour la fabriquer, c’est tout le secret de la démocratie. »

— Abel Bonnard, « Les opinions », Je suis partout, 13 avril 1941

Destin

« Nous ne luttons pas pour que le peuple devienne heureux. Nous luttons pour lui imposer une destinée. »

— Ernst von Salomon, Les Réprouvés (1930), trad. Andhrée Vaillant et Jean Kuckenburg, éd. Omnia, coll. « Omnia poche », 2016 (ISBN 9782841006076), p. 276


Diable

« Mes chers frères, n’oubliez jamais, quand vous entendrez vanter le progrès des lumières, que la plus belle des ruses du diable est de vous persuader qu’il n’existe pas ! »

— Charles Baudelaire, « Petits Poèmes en prose » (1869), dans Œuvres complètes, éd. Robert Laffont, coll. « Bouquins », 2011, Le Joueur généreux, p. 191


Dieu

« L’homme sans Dieu cesse d’être homme [...]. »

— Nicolas Berdiaev, Le Nouveau Moyen Âge (1924), trad. Jean-Claude Marcadé et Sylviane Siger, éd. L’Âge d’Homme, coll. « Sophia », 1986, p. 41


Droits de l’homme

« La constitution de 1795, tout comme ses aînées, est faite pour l’homme. Or, il n’y a point d’homme dans le monde. J’ai vu, dans ma vie, des Français, des Italiens, des Russes, etc., je sais même, grâce à Montesquieu, qu’on peut être Persan : mais quant à l’homme, je déclare ne l’avoir rencontré de ma vie ; s’il existe, c’est bien à mon insu. »

— Joseph de Maistre, « Considérations sur la France » (1796), dans Œuvres, éd. Robert Laffont, coll. « Bouquins », 2007 (ISBN 9782221095430), p. 235


« [...] que la révolution a commencé par la déclaration des droits de l’homme, et qu’elle ne finira que par la déclaration des droits de Dieu. »

— Louis de Bonald, « Législation primitive » (1802), dans Œuvres complètes de M. de Bonald, éd. Migne, 1859, t. III, p. 1133


Égalité

« L’amour de l’égalité trahit la préférence pour l’inférieur. »

— Abel Bonnard, « La Question juive » (1937), dans Berlin, Hitler et moi, éd. Kontre Kulture, 2022, p. 34-36


Europe

« Mais l’âge de la chevalerie est passé. Celui des sophistes, des économistes et des calculateurs lui a succédé ; et la gloire de l’Europe est éteinte à jamais. »

— Edmund Burke, Réflexions sur la Révolution en France (1790), trad. Pierre Andler, éd. Les Belles Lettres, coll. « Le Goût des idées », 2016 (ISBN 9782251445939), p. 79


« [...] je meurs avec l’Europe, je suis en bonne compagnie. »

— Joseph de Maistre, Lettre au comte de Marcellus, 9 août 1819


« L’Europe retournera à la Foi, ou bien elle périra.

La Foi, c’est l’Europe. Et l’Europe, c’est la Foi. »

— Hilaire Belloc, L’Europe et la Foi (1920), trad. Maximilien Vox

Femme

« Sentir, aimer, souffrir, se dévouer, sera toujours le texte de la vie des femmes. »

— Honoré de Balzac, Eugénie Grandet (1833), éd. Gallimard, coll. « Folio », 1999 (ISBN 9782070409280), p. 182


« La femme est une traîtresse-chienne née... autant que le Juif est escroc né... »

— Louis-Ferdinand Céline, Bagatelles pour un massacre (1937), éd. Denoël, 1937, p. 89


Foi

« Que soit bénie la foi des hommes qui osent renouveler la figure du monde selon l’idéal qu’ils chérissent. »

— Pierre Drieu la Rochelle, « À vous, Allemands » (1917), dans Interrogation, éd. La Nouvelle Revue française, 1917, p. 


France

« La France, premier-né de la civilisation européenne, sera la première à renaître à l’ordre ou à périr. »

— Louis de Bonald, « Pensées sur divers sujets » (1817), dans Œuvres complètes de M. de Bonald, éd. Migne, 1859, t. III, p. 1393


« La France est une œuvre de l’intelligence et de la volonté. »

— Jacques Bainville, Histoire de France (1924), éd. Kontre Kulture, 2012 (ISBN 9782367250045), p. 21


« [...] la Fille aînée de l’Église, devenue la Salope du monde [...]. »

— Léon Bloy, Le Désespéré (1887), éd. Flammarion, coll. « Garnier Flammarion », 2010 (ISBN 9782080712561), p. 79-80


« La France est une colonie du pouvoir juif international, toute velléité de soulèvement indigène, la moindre tentative pour évincer le Juif, toute chouannerie est condamnée d’avance à la faillite honteuse... »

— Louis-Ferdinand Céline, Bagatelles pour un massacre (1937), éd. Denoël, 1937, p. 131


Géopolitique

« L’histoire mondiale est l’histoire de la lutte des puissances maritimes contre les puissances continentales et des puissances continentales contre les puissances maritimes. »

— Carl Schmitt, Terre et Mer (1942), trad. Jean-Louis Pesteil, éd. Éditions Pierre-Guillaume de Roux, 2017 (ISBN 9782363712059), p. 110


Grèce

« L’ordre de Sparte, l’homme selon Sparte, c’est le seul bouclier qui nous restera, nous le savons tous, quand l’ombre de la mort se lèvera devant l’Occident. »

— Maurice Bardèche, Qu’est-ce que le fascisme ? (1961), éd. Kontre Kulture, 2019, p. 133


Guerre

« Toutes les guerres, toutes les révolutions, ne sont en définitive que des pogroms d’Aryens organisés par les Juifs. »

— Louis-Ferdinand Céline, L’École des cadavres (1938)

Guerre civile

« Toute guerre civile introduit l’étranger dans les affaires d’un pays. »

— Jacques Bainville, Histoire de France (1924), éd. Kontre Kulture, 2012 (ISBN 9782367250045), p. 164


Histoire

« Quant à l’histoire, elle est écrite pas les vainqueurs, quels qu’ils soient. »

— Robert Brasillach, « Les Frères ennemis » (octobre 1944), dans Œuvres complètes, éd. Club de l’honnête homme, 1964, vol. 9, p. 138


Immigration

« Pour honorer des étrangers, tu as perdu ta cité ! »

— Eschyle, « Les Suppliantes », dans Tragédies complètes, trad. Paul Mazon, éd. Gallimard, coll. « Folio », 1982 (ISBN 9782070373642), p. 65


Impôt

« [...] dans les sociétés modernes, la spoliation par l’impôt s’exerce sur une immense échelle. »

— Frédéric Bastiat, « Harmonies Économiques » (1850), dans L’État, c’est toi !, éd. L’Arche, coll. « Tête-à-tête », 2004, p. 80


« Le peuple sera écrasé d’impôts, on fera emprunt sur emprunt ; après avoir épuisé le présent, on dévorera l’avenir. »

— Frédéric Bastiat, « Journal des Économistes » (15 juin 1848), dans L’État, c’est toi !, éd. L’Arche, coll. « Tête-à-tête », 2004, p. 37


Individualisme

« L’individu, c’est le dernier produit d’une société qui devient stérile [...]. »

— Abel Bonnard, « Discours aux chefs miliciens » (30 janvier 1943), dans Berlin, Hitler et moi, éd. Kontre Kulture, 2022, p. 143-144


Islam

« Il y a dans le Coran quelque chose de guerrier et de fort, quelque chose de viril, quelque chose de romain pour ainsi dire. »

— Maurice Bardèche, Qu’est-ce que le fascisme ? (1961), éd. Kontre Kulture, 2019, p. 87


Journalisme

« Le journalisme est un enfer, un abîme d’iniquités, de mensonges, de trahisons, que l’on ne peut traverser et d’où l’on ne peut sortir pur [...]. »

— Honoré de Balzac, Illusions perdues (1837-1843), éd. Flammarion, coll. « Garnier Flammarion », 2010 (ISBN 9782081238077), p. 182


« Les journaux ! les chemins de fer du mensonge. »

— Jules Barbey d’Aurevilly, Pensées détachées (1889), éd. Alphonse Lemerre, 1889, LXVII, p. 36


Judaïsme

« Les Juifs, cette poignée de déracinés a causé le déracinement de tout le globe terrestre. »

— Simone Weil, La Pesanteur et la Grâce (1942), éd. Plon, coll. « Agora », 1988 (ISBN 9782266045964), p. 190


« Qu’est-ce que c’est qu’un Juif ? C’est un bourgeois qui croit en Dieu, ce qui lui fait un atout de plus, alors que le bourgeois ne croit qu’en sa rente. »

— Alain Soral, Conférence d’Alain Soral & Gabriele Adinolfi à Nice, 26 mars 2013


« La question juive est liée à la question nationale. Assimilés aux Français d’origine par la Révolution, les Juifs ont conservé leurs caractères distinctifs, et, de persécutés qu’ils étaient autrefois, ils sont devenus dominateurs. »

— Maurice Barrès, Scènes et doctrines du nationalisme (1902), éd. Kontre Kulture, 2015 (ISBN 9782367250717), p. 435


« Le seul concurrent dangereux de l’Aryen, dans le présent, c’est le Juif. »

— Georges Vacher de Lapouge, L’Aryen, son rôle social (1889-1890), éd. Ars Magna, 2016 (ISBN 9791096338115), p. 555


« Les juifs n’ont pas de patrie au sens où nous l’entendons. Pour nous, la patrie, c’est le sol et les ancêtres, c’est la terre de nos morts. Pour eux, c’est l’endroit où ils trouvent leur plus grand intérêt. »

— Maurice Barrès, Scènes et doctrines du nationalisme (1902), éd. Kontre Kulture, 2015 (ISBN 9782367250717), p. 69


« Quand les juifs disent qu’il n’y a pas de race, cela se conçoit, c’est le meilleur moyen d’introduire la leur. »

— Abel Bonnard, « La Question juive » (1937), dans Berlin, Hitler et moi, éd. Kontre Kulture, 2022, p. 42


« Affronter la juiverie mondiale mais c’est affronter le Vésuve avec un petit arrosoir, pour l’éteindre. »

— Louis-Ferdinand Céline, Bagatelles pour un massacre (1937), éd. Denoël, 1937, p. 253


« Le capitaine Dreyfus est bien plus grand que le capitaine Bonaparte. Il a conquis la France et il l’a gardée. »

— Louis-Ferdinand Céline, Bagatelles pour un massacre (1937), éd. Denoël, 1937, p. 329


« Lorsque les Français monteront une ligue antisémite, le Président, le Secrétaire et le Trésorier seront juifs. »

— Louis-Ferdinand Céline, Bagatelles pour un massacre (1937), éd. Denoël, 1937, p. 174


Liberté

« Soyez résolus de ne servir plus, et vous voilà libres. »

— Étienne de La Boétie, Discours de la servitude volontaire (1548), éd. Flammarion, coll. « Garnier Flammarion », 1983 (ISBN 9782080703941), p. 138-139


« Quand une fois on a trouvé le moyen de prendre la multitude par l’appât de la liberté, elle suit en aveugle, pourvu qu’elle en entende seulement le nom. »

— Jacques-Bénigne Bossuet, « Oraison funèbre de Henriette-Marie de France » (1670), dans Œuvres complètes de Bossuet, éd. Louis Vivès, 1862-1875, t. XII, p. 435


« Le despotisme fait illégalement de grandes choses, la liberté ne se donne même pas la peine d’en faire légalement de très-petites. »

— Honoré de Balzac, « La Peau de chagrin (1831) », dans Œuvres complètes de H. de Balzac, éd. A. Houssiaux, 1855, vol. 14, p. 44


« [...] la liberté enfante l’anarchie, l’anarchie conduit au despotisme, et le despotisme ramène à la liberté. »

— Honoré de Balzac, « La Peau de chagrin (1831) », dans Œuvres complètes de H. de Balzac, éd. A. Houssiaux, 1855, vol. 14, p. 42


« Notre liberté est solidaire de l’équilibre du monde [...]. »

— Léon Bloy, Le Désespéré (1887), éd. Flammarion, coll. « Garnier Flammarion », 2010 (ISBN 9782080712561), p. 161-162


Loi

« [...] et jamais les lois ne furent plus multipliées que lorsque l’État fut le plus corrompu. »

— Tacite, « Annales », dans Œuvres complètes de Tacite, trad. Jean-Louis Burnouf, éd. Hachette, 1872, p. 110


Modernité

« À mesure que les peuples montent en civilisation, les gouvernements descendent en police. »

— Jules Barbey d’Aurevilly, Pensées détachées (1889), éd. Alphone Lemerre, 1889, XXX, p. 21


« Je crois que le monde moderne est une entreprise de dénaturation de l’homme et de la création. Je crois à l’inégalité parmi les hommes, à la malfaisance de certaines formes de la liberté, à l’hypocrisie de la fraternité. Je crois à la force et à la générosité. Je crois à d’autres hiérarchies que celle de l’argent. Je crois le monde pourri par ses idéologies. Je crois que gouverner c’est préserver notre indépendance, puis nous laisser vivre à notre gré. »

— Maurice Bardèche, Sparte et les Sudistes (1969), éd. Les Sept Couleurs, 1969, p. Quatrième de couverture


« Le monde moderne est saturé des vieilles vertus chrétiennes virant à la folie. »

— Gilbert Keith Chesterton, Orthodoxie (1908), trad. Lucien d’Azay, éd. Flammarion, coll. « Climats », 2010 (ISBN 9782081220287), p. 50


« On ne comprend absolument rien à la civilisation moderne si l’on n’admet pas d’abord qu’elle est une conspiration universelle contre toute espèce de vie intérieure. »

— Georges Bernanos, « La France contre les robots » (1947), dans Scandale de la vérité, éd. Robert Laffont, coll. « Bouquins », 2019, p. 1076


« Le monde moderne n’a pas le temps d’espérer, ni d’aimer, ni de rêver. »

— Georges Bernanos, Les Enfants humiliés (1939-1940), éd. Gallimard, 1949, p. 251


Le monde moderne : « une Atlantide submergée dans un dépotoir. »

— Léon Bloy, Le Désespéré (1887), éd. Flammarion, coll. « Garnier Flammarion », 2010 (ISBN 9782080712561), p. 341


« Le monde moderne est le monde de l’argent : c’est la plus brève façon de dire qu’il n’a plus d’âme. »

— Abel Bonnard, L’Argent (1928), éd. Éditions du Trident, 2000, p. 121


« La civilisation moderne c’est la standardisation totale, âmes et corps sous le Juif. »

— Louis-Ferdinand Céline, Bagatelles pour un massacre (1937), éd. Denoël, 1937, p. 185


« Nous crevons d’être sans légende, sans mystère, sans grandeur. Les cieux nous vomissent. »

— Louis-Ferdinand Céline, Les Beaux Draps (1941)

Monarchie

« Beaucoup voudraient une religion sans prêtres comme une monarchie sans nobles. Ils ne voient en tout et pour tout que l’homme et jamais le ministère de la société. »

— Louis de Bonald, Réflexions sur l’accord des dogmes de la religion avec la raison (1817-1818), éd. Cerf, coll. « La nuit surveillée », 2012 (ISBN 9782204098106), p. 121


Monnaie

« Il est aujourd’hui pour le moins paradoxal de constater que, pendant des siècles, l’Ancien Régime avait préservé jalousement le droit de l’État de battre monnaie, et le privilège exclusif d’en garder le bénéfice, la république démocratique a abandonné pour une grande part ce droit et ce privilège à des intérêts privés. »

— Maurice Allais, L’Impôt sur le capital et la réforme monétaire (1977), éd. Hermann, 1977, p. 


Natalité

« Ne pas avoir d’enfant, c’est un suicide reporté. »

— Abel Bonnard, Ce monde et moi, éd. Dismas, 1991, p. 67


Ordre

« L’ordre est le nom social de la beauté. »

— Abel Bonnard, Les Modérés (1936), éd. Kontre Kulture, 2013 (ISBN 9782367250205), p. 190


« L’ordre du monde, c’est la beauté du monde. »

— Simone Weil, L’Enracinement (1943), éd. Gallimard, coll. « Champs Classiques », 2014 (ISBN 9782081295865), p. 346


Progressisme

« Les hommes croient au Progrès quand ils ne sont plus capables de se battre avec le Destin ; ils réclament des distributions de bonheur quand ils ont perdu le secret d’être heureux. »

— Abel Bonnard, « La sommation du destin », Je suis partout, 2 mai 1941

Russie

« J’attends les Cosaques et le Saint-Esprit. »

— Léon Bloy, Au Seuil de l’Apocalypse (1916), éd. Mercure de France, 1935, octobre 1915, p. 350-351


« Ce sera le communisme rouge qui réalisera le vieux rêve des slavophiles, de transporter la capitale de Pétersbourg à Moscou, au sein du Kremlin. Ce sera lui qui reprendra la formule des slavophiles et de Dostoïevski : Ex Oriente lux. De Moscou, du Kremlin, jaillit la lueur qui doit éclairer les ténèbres bourgeoises de l’Occident. »

— Nicolas Berdiaev, Les Sources et le sens du communisme russe (1936), trad. Lucienne Julien Cain, éd. Gallimard, coll. « La Nouvelle Revue française », 1966, p. 281-282


Société de consommation

« Tout le discours sur la consommation​ vise à faire du consommateur l’Homme Universel, l’incarnation générale, idéale et définitive de l’Espèce Humaine [...]. »

— Jean Baudrillard, La Société de consommation (1970), éd. Gallimard, coll. « Folio essais », 2019 (ISBN 9782070323494), p. 120-121


« [...] le ludique de la consommation s’est substitué progressivement au tragique de l’identité. »

— Jean Baudrillard, La Société de consommation (1970), éd. Gallimard, coll. « Folio essais », 2019 (ISBN 9782070323494), p. 310


Tripartition

« Il n’y a de grand parmi les hommes que le poète, le prêtre et le soldat. L’homme qui chante, l’homme qui sacrifie et se sacrifie. Le reste est fait pour le fouet. »

— Charles Baudelaire, « Mon cœur mis à nu » (1887), dans Œuvres complètes, éd. Robert Laffont, coll. « Bouquins », 2011, p. 416


Féminisme

« La féminisation est consubstantielle à la tertiarisation. »

— Alain Soral, « Soral a (presque toujours) raison — À l’Université d’été d’E&R 2021 ! », juillet 2021


« Le féminisme libéra les femmes de la dignité naturelle de leur sexe et les transforma en homme inférieurs. »

— Francis Parker Yockey, Imperium (1948), trad. Jean-François Hivernat, éd. Avatar, coll. « Heartland », 2008 (ISBN 9780955513275), p. 269


Socialisme

Spectacle

« Le spectacle est le moment où la marchandise est parvenue à l’occupation totale de la vie sociale. »

— Guy Debord, « La Société du spectacle » (1967), dans Œuvres, éd. Gallimard, coll. « Quarto », 2006 (ISBN 9782070773749), p. 766-872


Capitalisme

« L’économie transforme le monde, mais le transforme seulement en monde de l’économie. »

— Guy Debord, « La Société du spectacle » (1967), dans Œuvres, éd. Gallimard, coll. « Quarto », 2006 (ISBN 9782070773749), p. 766-872


Société civile

« [...] le capitalisme a produit la société civile, ce que Hegel appelait “la Bête Sauvage” : une société qui n’est plus qu’un marché [...]. »

— Michel Clouscard, La Bête sauvage (1983), éd. Kontre Kulture, 2014 (ISBN 9782367250557), p. 11


Nationalisme

Le nationalisme « défend la nation contre l’Étranger de l’intérieur. »

— Charles Maurras, Mes idées politiques (1937), éd. Kontre Kulture, 2019, p. 322


« Le nationalisme est une attitude de défense, rendue nécessaire par la faiblesse de l’État français. »

— Jacques Bainville, Journal, 12 novembre 1911

Violence

« Nous devons être intellectuels et violents. »

— « Notre antisémitisme », Charles Maurras cité par Henri Vaugeois, L’Action française, 15 août 1900


Libéralisme

« Le libéralisme est l’expression d’une société qui n’est plus une communauté. »

— Arthur Moeller van den Bruck, Le Troisième Reich (1923), trad. Jean Louis Lénault, éd. Nouvelles Éditions latines, 1981 (ISBN 9782723301282), p. 132


Révolution

« Des sottises faites par des gens habiles ; des extravagances dites par des gens d’esprit ; des crimes commis par d’honnêtes gens... Voilà les révolutions. »

— Louis de Bonald, « Pensées sur divers sujets » (1817), dans Œuvres complètes de M. de Bonald, éd. Migne, 1859, t. III, p. 1392


« Nous voulons gagner la révolution. »

— Arthur Moeller van den Bruck, Le Troisième Reich (1923), trad. Jean Louis Lénault, éd. Nouvelles Éditions latines, 1981 (ISBN 9782723301282), p. 31


« La question est seulement de savoir si le conservateur devra triompher de la révolution, ou si le révolutionnaire trouvera de lui-même le chemin du conservatisme. »

— Arthur Moeller van den Bruck, Le Troisième Reich (1923), trad. Jean Louis Lénault, éd. Nouvelles Éditions latines, 1981 (ISBN 9782723301282), p. 293


« Il n’y a rien d’intéressant sur la terre que les religions. »

— Charles Baudelaire, « Mon cœur mis à nu » (1887), dans Œuvres complètes, éd. Robert Laffont, coll. « Bouquins », 2011, p. 418


« Dieu châtie les hommes et les peuples par les révolutions. »

— Nicolas Berdiaev, Le Nouveau Moyen Âge (1924), trad. Jean-Claude Marcadé et Sylviane Siger, éd. L’Âge d’Homme, coll. « Sophia », 1986, p. 85


Cosmopolitisme

« Défiez-vous de ces cosmopolites qui vont chercher au loin dans leurs livres des devoirs qu’ils dédaignent de remplir autour d’eux. Tel philosophe aime les Tartares pour être dispensé d’aimer ses voisins. »

— Jean-Jacques Rousseau, « Émile, ou De l’éducation (1762) », dans Œuvres complètes de J.-J. Rousseau, éd. A. Houssiaux, 1852-1853, t. II, livre I, p. 401


Usure

« L’Usure est le cancer du monde, seul le bistouri du Fascisme peut l’extirper de la vie des nations. »

— Ezra Pound, « À quoi sert l’argent ? » (1939), dans Ezra Pound, trad. Pierre Alien, éd. Fayard, coll. « Les Cahiers de l’Herne », 1997, t. 2, p. 684-685


Minorités

« L’histoire du monde est faite par les minorités, chaque fois que les minorités de nombre incarnent la majorité de la volonté et de la décision. »

— Adolf Hitler, Mein Kampf (1925), trad. Jean Gaudefroy-Demonbynes et André Calmettes, éd. Kontre Kulture, 2016 (ISBN 9782367250984), p. 315


Frontières

« Jugez de ce qu’un peuple défend quand il défend ses frontières ! »

— Antoine Blanc de Saint-Bonnet, La Restauration française (1851), éd. Laroche, 1872, p. 


Race

« [...] les hommes se ressembleront tous. »

— Arthur de Gobineau, Essai sur l’inégalité des races humaines (1853), éd. Didot, 1884, chap. Conclusion générale, p. 561


« Tant que les qualités héréditaires de la race seront intactes, la force et l’audace de leurs ancêtres pourront se réveiller chez les hommes modernes. Sont-ils encore capables de le vouloir ? »

— Alexis Carrel, L’Homme, cet inconnu (1935), éd. Plon, 1935, p. 331


« Il y a plusieurs humanités dans l’humanité. »

— Abel Bonnard, « La Question juive » (1937), dans Berlin, Hitler et moi, éd. Kontre Kulture, 2022, p. 43


« Il ne s’agit pas de mépriser les races [...] mais de mépriser le mélange. »

— Abel Bonnard, « La Question juive » (1937), dans Berlin, Hitler et moi, éd. Kontre Kulture, 2022, p. 27


Inégalité

« L’inégalité est une condition du développement de la culture. »

— Nicolas Berdiaev, De l’inégalité (1918-1923), trad. Anne et Constantin Andronikof, éd. L’Âge d’Homme, coll. « Sophia », 2008 (ISBN 9782825138601), p. 163


Diversité

« La menace principale, aujourd’hui, quelle est-elle ? Elle est la disparition progressive de la diversité du monde. »

— Alain de Benoist, Vu de droite (1977), éd. Labyrinthe, 2002 (ISBN 9782869800519), p. 


Politique

« Tous les concepts prégnants de la théorie moderne de l’État sont des concepts théologiques sécularisés. »

— Carl Schmitt, Théologie politique (1922), trad. Jean-Louis Schlegel, éd. Gallimard, coll. « La Nouvelle Revue française », 1988 (ISBN 9782070713776), p. 46


« La distinction spécifique du politique, à laquelle peuvent se ramener les actes et les mobiles politiques, c’est la discrimination de l’ami et de l’ennemi. »

— Carl Schmitt, La Notion de politique (1927), trad. Marie-Louise Steinhauser, éd. Flammarion, coll. « Champs Classiques », 2009 (ISBN 9782081228733), p. 64


« [...] la conquête du pouvoir politique passe par celle du pouvoir culturel [...]. »

— Alain de Benoist, Orientations pour des années décisives (1982), éd. Le Labyrinthe, 1982, p. 12


Patrie

« On ne choisit pas plus sa patrie — la terre de ses pères — que l’on ne choisit son père et sa mère. »

— Charles Maurras, Mes idées politiques (1937), éd. Kontre Kulture, 2019, p. 308


Roi

« En coupant la tête à Louis XVI, la Révolution a coupé la tête à tous les pères de famille. Il n’y a plus de famille aujourd’hui, il n’y a plus que des individus. »

— Honoré de Balzac, « Mémoires de deux jeunes mariées (1841) », dans Œuvres complètes de H. de Balzac, éd. A. Houssiaux, 1855, vol. 2, p. 45


Santé

« Parlé, avec la sage-femme, de la vaccination, qui est, parait-il, exigée par la loi, car toute liberté décampe. J’exprime fortement, quoique bien inutilement, mon horreur pour cette ordure, dont l’humanité s’est si bien passée, jusqu’au dernier siècle, et dont l’Angleterre nous gratifia. Le courant moderne est, d’ailleurs, aux inoculations de tout genre. On finira par putréfier les petits enfants de quarante sorte de vaccins. »

— Léon Bloy, Journal, 2 octobre 1895

Shoah

« [...] il y a officiellement depuis le jugement de Nuremberg, une religion de l’humanité [...]. »

— Maurice Bardèche, Nuremberg ou la Terre promise (1948), éd. Kontre Kulture, 2016 (ISBN 9782367250885), p. 135


« Les prétendues “chambres à gaz” hitlériennes et le prétendu “génocide” des Juifs forment un seul et même mensonge historique, qui a permis une gigantesque escroquerie politico-financière dont les principaux bénéficiaires sont l’État d’Israël et le sionisme international et dont les principales victimes sont le peuple allemand — mais non pas ses dirigeants — et le peuple palestinien tout entier. »

— Robert Faurisson, Europe 1, 17 décembre 1980

Science

« [...] le mot de Science est une des idoles du temps. Ce mot reste dans la tête de ceux à qui l’on n’a précisément rien appris. [...] Ils croient à la Science, sans rien savoir. »

— Abel Bonnard, Éloge de l’ignorance (1926), éd. Pardès, 2019, p. 40


Sionisme

« Le sionisme allumera sans doute en Palestine une hideuse guerre de religion : encore un de ces progrès à rebours que les traités auront valu au genre humain. »

— Jacques Bainville, « Les effets du sionisme », L’Action française, 20 décembre 1920

Technique

« On a senti le diable dans la machine et on n’a pas tort. Elle signifie, aux yeux d’un croyant le Dieu détrôné. »

— Oswald Spengler, Le Déclin de l’Occident (1918-1922), trad. Mohand Tazerout, éd. Gallimard, coll. « La Nouvelle Revue française », 1948 (ISBN 9782070260478), t. 2, p. 462-463


« Un monde gagné pour la Technique est perdu pour la Liberté. »

— Georges Bernanos, « La France contre les robots » (1947), dans Scandale de la vérité, éd. Robert Laffont, coll. « Bouquins », 2019, p. 1033


Travail

« Qui ne travaille pas est pourri d’idées générales et généreuses. »

— Louis-Ferdinand Céline, Lettre à Élie Faure, 2 mars 1935

Vérité

« L’homme est de glace aux vérités ;
Il est de feu pour les mensonges. »

— Jean de La Fontaine, « Le Statuaire et la Statue de Jupiter », dans Fables (1668), éd. Flammarion, coll. « Garnier Flammarion », 2004 (ISBN 9782080707819), Livre IX, 6, p. 274