Différences entre les versions de « Stendhal »
Ligne 1 : | Ligne 1 : | ||
{{Image|Stendhal|}} | {{Image|Stendhal|}} | ||
== Citations == | == Citations == | ||
+ | |||
+ | « Les Cosaques ! Les Cosaques ! Criait-on de tous les côtés. [...] | ||
+ | |||
+ | Après le mot ''cosaques'' il n’y vit exactement plus personne ; les fuyards avaient abandonné des shakos, des fusils, des sabres, etc. » | ||
+ | {{Réf Livre | ||
+ | |auteur=Stendhal | ||
+ | |titre=La Chartreuse de Parme | ||
+ | |année d'origine=1839 | ||
+ | |éditeur=Le Livre de Poche | ||
+ | |année=2000 | ||
+ | |page=101-102}} | ||
« [...] '''ils prennent l’étiolement de leur âme pour de la civilisation et de la générosité.''' » | « [...] '''ils prennent l’étiolement de leur âme pour de la civilisation et de la générosité.''' » |
Version du 11 septembre 2022 à 21:21
Citations
« Les Cosaques ! Les Cosaques ! Criait-on de tous les côtés. [...]
Après le mot cosaques il n’y vit exactement plus personne ; les fuyards avaient abandonné des shakos, des fusils, des sabres, etc. »
— Stendhal, La Chartreuse de Parme (1839), éd. Le Livre de Poche, 2000, p. 101-102
« [...] ils prennent l’étiolement de leur âme pour de la civilisation et de la générosité. »
— Stendhal, Vie de Henry Brulard (1835-1836), éd. Le Livre de Poche, 2013 (ISBN 9782253168089), p. 82
« La beauté n’est jamais, ce me semble, qu’une promesse de bonheur. »
— Stendhal, Rome, Naples et Florence (1817), éd. Michel Lévy frères, 1854, p. 30