Différences entre les versions de « Bernard-Henri Lévy »
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Version du 1 août 2022 à 23:51
Citations
« Cette guerre métaphysique de Jérusalem contre Athènes est l’enjeu de l’âge moderne. »
« Nous sommes tous des juifs français exterminés par les nazis. »
— Bernard-Henri Lévy, Le Point, 21 février 2008
« Je suis un cosmopolite résolu. J’aime le métissage et je déteste le nationalisme. Je ne vibre pas à “la Marseillaise”. J’espère que le cadre national sera un jour dépassé. »
— Bernard-Henri Lévy, L’Obs, 4 octobre 2007
« M. De Villiers, donc s’installa à l’Elysée. […] Le “non” français à Maastricht fut interprété, de fait, comme un encouragement aux nationalismes. Il relança la guerre dans les Balkans. Si bien que, sans aller, comme certains, jusqu’à imputer à ce maudit “non” le soulèvement transylvain, la nouvelle guerre de Trente ans, entre Grèce et Macédoine, les affrontements entre Ossètes du Nord et du Sud, puis entre Russes et Biélorusses, bref, sans aller jusqu’à lui attribuer toutes les guerres tribales, ou paratribales, qui enflammèrent l’Europe de l’Est, on ne peut pas ne pas songer que c’est lui, et lui seul, qui offrit à Berlin l’occasion de son nouveau “Reich”. »
— Bernard-Henri Lévy, Le Figaro, 18 août 1992
« Qu’y a-t-il de plus imbécile, de plus bêtement obscurantiste qu’un nationaliste qui, dans les œuvres de l’esprit, dans un livre ou dans une toile, s’attache à retrouver la trace d’un hypothétique génie français ? C’est un régionaliste qui dans les même œuvres de l’esprit, dans le même livre ou la même toile, ne hume plus que les parfums de Lorraine, des grasses terres de Beauce ou des embruns bretons. »
— Bernard-Henri Lévy, L'idéologie française (1981)