Différences entre les versions de « Édouard Drumont »

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« '''Par un phénomène que l’on a constaté cent fois au moyen âge et qui s’est affirmé de nouveau au moment du choléra, le Juif paraît jouir vis-à-vis des épidémies d’immunités particulières.''' Il semble qu’il y ait en lui une sorte de peste permanente, qui le garantit de la peste ordinaire, il est son propre vaccin et, en quelque manière, un antidote vivant. Le fléau recule quand il le sent !... »
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« '''Le vaccin se vend [...] et il est devenu un objet de commerce.''' Les juifs s’en sont naturellement emparés, comme de toutes les autres denrées, et ils le cultivent sur eux-mêmes par économie. C’est du virus juif qu’on veut nous inoculer pour nous rendre semblables à eux. Voilà pourquoi nous nous révoltons contre cet empoisonnement. On cherche à nous avachir, avec aggravation de mosaïsme. Nous aimons mieux être aggravés de la petite vérole. [...] Nous inoculer du sang de vache [...] passe encore. Notre race guerrière est assez solide et ne risque pas de s’avachir. Mais de l’humeur de juif, jamais ! »
 
« '''Le vaccin se vend [...] et il est devenu un objet de commerce.''' Les juifs s’en sont naturellement emparés, comme de toutes les autres denrées, et ils le cultivent sur eux-mêmes par économie. C’est du virus juif qu’on veut nous inoculer pour nous rendre semblables à eux. Voilà pourquoi nous nous révoltons contre cet empoisonnement. On cherche à nous avachir, avec aggravation de mosaïsme. Nous aimons mieux être aggravés de la petite vérole. [...] Nous inoculer du sang de vache [...] passe encore. Notre race guerrière est assez solide et ne risque pas de s’avachir. Mais de l’humeur de juif, jamais ! »

Version du 14 juillet 2021 à 00:07

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Citationes

« Par un phénomène que l’on a constaté cent fois au moyen âge et qui s’est affirmé de nouveau au moment du choléra, le Juif paraît jouir vis-à-vis des épidémies d’immunités particulières. Il semble qu’il y ait en lui une sorte de peste permanente, qui le garantit de la peste ordinaire, il est son propre vaccin et, en quelque manière, un antidote vivant. Le fléau recule quand il le sent !... »

— Édouard Drumont, La France juive (1886), éd. Kontre Kulture, 2013 (ISBN 9782367250199), p. 72


« Le vaccin se vend [...] et il est devenu un objet de commerce. Les juifs s’en sont naturellement emparés, comme de toutes les autres denrées, et ils le cultivent sur eux-mêmes par économie. C’est du virus juif qu’on veut nous inoculer pour nous rendre semblables à eux. Voilà pourquoi nous nous révoltons contre cet empoisonnement. On cherche à nous avachir, avec aggravation de mosaïsme. Nous aimons mieux être aggravés de la petite vérole. [...] Nous inoculer du sang de vache [...] passe encore. Notre race guerrière est assez solide et ne risque pas de s’avachir. Mais de l’humeur de juif, jamais ! »

— Édouard Drumont, Le XIXe siècle, 4 décembre 1888

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Bibliographia

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