Ligne 25 : Ligne 25 :
  
 
« Tout cela, dit-il, est notre faute. Les hommes ont libéré les forces terribles que la nature tenait enfermées avec précaution. Ils ont cru s’en rendre maîtres. Ils ont nommé cela le Progrès. C’est un progrès accéléré vers la mort. Ils emploient pendant quelque temps ces forces pour construire, puis un beau jour, parce que les hommes sont des hommes, c’est à dire des êtres chez qui le mal domine le bien, parce que le progrès moral de ces hommes est loin d’avoir été aussi rapide que le progrès de leur science, ils tournent celle-ci vers la destruction. »
 
« Tout cela, dit-il, est notre faute. Les hommes ont libéré les forces terribles que la nature tenait enfermées avec précaution. Ils ont cru s’en rendre maîtres. Ils ont nommé cela le Progrès. C’est un progrès accéléré vers la mort. Ils emploient pendant quelque temps ces forces pour construire, puis un beau jour, parce que les hommes sont des hommes, c’est à dire des êtres chez qui le mal domine le bien, parce que le progrès moral de ces hommes est loin d’avoir été aussi rapide que le progrès de leur science, ils tournent celle-ci vers la destruction. »
*[http://fr.wikipedia.org/wiki/Ren%C3%A9_Barjavel René Barjavel], ''Ravage''
+
*[http://fr.wikipedia.org/wiki/Ren%C3%A9_Barjavel René Barjavel], ''Ravage'', éd. Gallimard, coll. Folio, pp. 85-86
  
 
« L'épithète "moderne" n'est pas une mesure de grandeur, c'est même trop souvent, hélas, le contraire ; et si le mot "moderne" doit être le slogan magique, par le truchement duquel on veut nous faire accepter des bègues pour des orateurs et des petits malins pour des génies, nous avons le devoir de protester contre cette farce de mauvais goût. »
 
« L'épithète "moderne" n'est pas une mesure de grandeur, c'est même trop souvent, hélas, le contraire ; et si le mot "moderne" doit être le slogan magique, par le truchement duquel on veut nous faire accepter des bègues pour des orateurs et des petits malins pour des génies, nous avons le devoir de protester contre cette farce de mauvais goût. »

Version du 13 mai 2015 à 09:40

Modèle:Column Modèle:Subtitle Modèle:Carrousel

«
Je suis une force du passé.
Mon amour ne va qu’à la tradition
Je viens des ruines, des églises, des retables.
»
Pier Paolo Pasolini

Quotes about Modernity

« Un des grands malheurs de la vie moderne, c’est le manque d’imprévu, l’absence d’aventures. »

"The tragedy of modern man is not that he knows less and less about the meaning of his own life, but that it bothers him less and less."

« L'élément tragique pour l'homme moderne, ce n'est pas qu'il ignore le sens de sa vie, mais que ça le dérange de moins en moins. »

« La vie moderne autorise les voyages, mais ne procure pas d’aventure. »

« Tout cela, dit-il, est notre faute. Les hommes ont libéré les forces terribles que la nature tenait enfermées avec précaution. Ils ont cru s’en rendre maîtres. Ils ont nommé cela le Progrès. C’est un progrès accéléré vers la mort. Ils emploient pendant quelque temps ces forces pour construire, puis un beau jour, parce que les hommes sont des hommes, c’est à dire des êtres chez qui le mal domine le bien, parce que le progrès moral de ces hommes est loin d’avoir été aussi rapide que le progrès de leur science, ils tournent celle-ci vers la destruction. »

« L'épithète "moderne" n'est pas une mesure de grandeur, c'est même trop souvent, hélas, le contraire ; et si le mot "moderne" doit être le slogan magique, par le truchement duquel on veut nous faire accepter des bègues pour des orateurs et des petits malins pour des génies, nous avons le devoir de protester contre cette farce de mauvais goût. »

  • Joris de Bruyne, Martin Bollé

« Je proteste contre le monde moderne, mais j'adore ses femmes minces. »

« Vous vivez lâchement, sans rêve, sans dessein,
Plus vieux, plus décrépis que la terre inféconde,
Châtrés dès le berceau par le siècle assassin
De toute passion vigoureuse et profonde.

Votre cervelle est vide autant que votre sein,
Et vous avez souillé ce misérable monde
D’un sang si corrompu, d’un souffle si malsain,
Que la mort germe seule en cette boue immonde.

Hommes, tueurs de Dieux, les temps ne sont pas loin
Où, sur un grand tas d’or vautrés dans quelque coin,
Ayant rongé le sol nourricier jusqu’aux roches,

Ne sachant faire rien ni des jours ni des nuits,
Noyés dans le néant des suprêmes ennuis,
Vous mourrez bêtement en emplissant vos poches. »

« Nos pères détruisirent joyeusement, parce qu'ils vivaient à une époque qui conservait quelques vestiges de la solidité du passé. C'était cela même qu'ils détruisaient qui donnait assez de force à la société pour qu'ils puissent détruire sans sentir l'édifice se disjoindre. Nous héritons de la destruction et de ses résultats. De nos jours, le monde appartient aux imbéciles, aux coeurs secs et aux agités. Le droit de vivre et de triompher s'acquiert aujourd'hui par les mêmes moyens que s'obtient un internement à l'asile : l'incapacité de penser, l'amoralité et l'hyperexcitation. »

« La modernité est le totalitarisme du rien : mondialisation, indifférenciation, uniformisation. […] La modernité n'est pas en crise, la modernité est une crise. »

  • Pierre-Emile Blairon

« Ici, nous n'avons pas l'emploi des vieilles choses. [...] Surtout si elles sont belles. La beauté attire, et nous ne voulons pas qu'on soit attiré par les vieilles choses. Nous voulons qu'on aime les neuves. »

« Tout d’un coup, il m’est devenu indifférent de ne pas être moderne. »

« La crise consiste justement dans le fait que l'ancien meurt et que le nouveau ne peut pas naître : pendant cet interrègne on observe les phénomènes morbides les plus variés. » ou « L'ancien se meurt ; le nouveau ne parvient pas à voir le jour ; dans ce clair-obscur surgissent les monstres. »

  • Antonio Gramsci, Cahiers de prison, Éditions Gallimard sous la responsabilité de Robert Paris : Cahier 3, §34, p. 283, la secondre traduction est citée par Serge Venturini dans Éclats d'une poétique de l'inaccompli, p. 12

« Quel contraste ! quel brusque passage ! La hiérarchie, la discipline, l’ordre que l’autorité se charge d’assurer, les dogmes qui règlent fermement la vie : voilà ce qu’aimaient les hommes du dix-septième siècle. Les contraintes, l’autorité, les dogmes, voilà ce que détestent les hommes du dixhuitième siècle, leurs successeurs immédiats. Les premiers sont chrétiens, et les autres antichrétiens ; les premiers croient au droit divin, et les autres au droit naturel ; les premiers vivent à l’aise dans une société qui se divise en classes inégales, les seconds ne rêvent qu’égalité. Certes, les fils chicanent volontiers les pères, s’imaginant qu’ils vont refaire un monde qui n’attendait qu’eux pour devenir meilleur : mais les remous qui agitent les générations successives ne suffisent pas à expliquer un changement si rapide et si décisif. La majorité des Français pensait comme Bossuet ; tout d’un coup, les Français pensent comme Voltaire : c’est une révolution.. »

  • Paul Hazard, La Crise de la conscience européenne, préface

« Bien sûr, je suppose que, sous réserve de la permission de Dieu, la race humaine tout entière (mais aussi chaque individu) est libre non pas de s'élever à nouveau mais d'aller à la perdition et d'accomplir la Chute jusqu'à son fond glacial (chacun en est capable).

Et à certaines époques, notamment la nôtre, cela semble non seulement un risque mais bien chose imminente. Je crois toujours qu'il y aura un "millenium", le règne prophétisé des saints pour mille ans, c'est-à-dire ceux qui finalement, malgré toutes leurs imperfections, n'ont jamais incliné le coeur et veulent sauver le monde de l'esprit du mal (en des termes modernes mais pas universels : le mécanisme, le matérialisme scientifique, le Socialisme en l'une ou l'autre de leurs factions aujourd'hui en guerre). »

« Je crois que le monde moderne est une entreprise de dénaturation de l’homme et de la création. Je crois à l’inégalité parmi les hommes, à la malfaisance de certaines formes de la liberté, à l’hypocrisie de la fraternité. Je crois à la force et à la générosité. Je crois à d’autres hiérarchies que celle de l’argent. Je crois le monde pourri par ses idéologies. Je crois que gouverner c’est préserver notre indépendance, puis nous laisser vivre à notre gré. »

« Les trois grands éléments de la civilisation moderne sont la poudre, l'imprimerie et la religion protestante. »

« Les idées nouvelles déplaisent aux personnes âgées ; elles aiment à se persuader que le monde n'a fait que perdre, au lieu d'acquérir, depuis qu'elles ont cessé d'être jeunes. »

"In fundamental ways, much of the world is becoming more modern and less Western."

  • Samuel Huntington, The Clash of Civilizations and the Remaking of World Order (1996), Simon & Schuster, 1997 (ISBN 9780684844411), p. 78
« Fondamentalement, le monde est en train de devenir plus moderne et moins occidental. »

"The religious resurgence throughout the world is a reaction against secularism, moral relativism and self-indulgence, and a reaffirmation of the values of order, discipline, work, mutual help and human solidarity."

  • Samuel Huntington, The Clash of Civilizations and the Remaking of World Order (1996), Simon & Schuster, 1997 (ISBN 9780684844411), p. 96
« La résurgence religieuse à travers le monde est une réaction à la laïcisation, au relativisme moral et à la tolérance individuelle, et une réaffirmation des valeurs d'ordre, de discipline, de travail, d'entraide et de solidarité humaine. »

« On dirait que les hommes, plus ils se connaissent, moins ils s’aiment, plus ils se touchent et plus ils se rétractent, plus ils prennent une conscience exclusive d’eux-mêmes et plus ils s’attachent à leurs caractères propres et à leurs différences fondamentales. »

  • Paul Claudel, notant dans les années 30, l’étonnante concomitance entre la montée des nationalismes européens et les progrès de la communication, de la radio, du téléphone, de la photographie, du rail

« Ce n'est pas un signe de bonne santé mentale d'être bien adapté à une société malade. »

« Il nous reste l'irrationalisme qui atteint aujourd'hui un degré cliniquement hystérique, un refus de toute technique, un rejet a priori de toute théologie savante, enfin un infantilisme obstiné du point de vue de la pensée, une régression vers les formes les plus archaïques, celles des invertébrés mous, une véritable déliquescence. »

« A ce monde (vétuste et sans joie), il nous est impossible de nous adapter. Nous nous révolterons donc contre lui. Nous transformerons ses valeurs. Nous l'ordonnerons par rapport à nous. »

« Peut-être la civilisation moderne nous a-t-elle apporté des formes de vie, d'éducation et d'alimentation qui tendent à donner aux hommes les qualités des animaux domestiques. »

« Le plus grand malheur que la civilisation scientifique a apporté aux hommes est l'oisiveté. »

« La civilisation moderne se trouve en mauvaise posture parce qu’elle ne nous convient pas. Elle a été construite sans connaissance de notre vraie nature. Elle est due au caprice des découvertes scientifiques, des appétits des hommes, de leurs illusions, de leurs théories, et de leurs désirs. Quoiqu’édifiée par nous, elle n'est pas faite à notre mesure. »

« La civilisation industrielle nous a entourés de spectacles laids, grossiers et vulgaires... Le sacrifice par la civilisation moderne de l’esprit à la matière a été une erreur. Une erreur d’autant plus dangereuse qu’elle ne provoque aucun sentiment de révolte, qu’elle est acceptée aussi facilement pour tous que la vie malsaine des grandes villes, et l’emprisonnement dans les usines. »

« La plupart des villes et villages de France ont été déshonorés par un hideux commercialisme. »

« La plupart des hommes civilisés... sont mous, émotifs, lâches, lascifs et violents... [Ils] s’abreuvent de films cinématographiques grossiers et puérils. »

« La primauté de la matière, l’utilitarisme, qui sont les dogmes de la religion industrielle, ont conduit à la suppression de la culture intellectuelle, de la beauté et de la morale. »

« D’autres modes d’existence et de civilisation sont possibles. La culture sans le confort, la beauté sans le luxe, la machine sans la servitude de l’usine, la science sans le culte de la matière permettraient aux hommes de se développer indéfiniment. »

« Il faut rendre à l’être humain, standardisé par la vie moderne, sa personnalité… Nous devons briser les cadres de l’école, de l’usine, et du bureau, et rejeter les principes même de la civilisation technologique. »

« Non seulement la matérialité brutale de notre civilisation s’oppose à l’essor de l’intelligence, mais elle écrase les affectifs, les doux, les faibles, les isolés, ceux qui aiment la beauté, qui cherchent dans la vie autre chose que l’argent, dont le raffinement supporte mal la vulgarité de l’existence moderne. »

« Le canon a tué la féodalité ; l’encre tuera la société moderne. »

« La machine a gagné l'homme, l'homme s'est fait machine, fonctionne et ne vit plus. »

« L'amour en tant que joie parfaite et sérénité divine ne vaut rien pour vous, hommes modernes, fils de la réflexion. C'est pour vous un désastre. Dès que vous voulez être naturels, vous devenez grossiers... »

« C'est la première fois qu'une époque semble être fière de ne plus être historique, même les punks qui prônaient le No future, et qui le revendiquaient, avaient encore la force de réagir à quelque chose, fût-ce à leur indifférence. Vous n'êtes même pas nihilistes, quelle tragédie! On est obligés de s'adresser à vous comme à des enfants vierges, handicapés, amnésiques, ignorants, incapables de se concentrer. Je le vois bien, dès que je fais allusion à une force du passé, ça suscite un inintérêt flagrant. Vous êtes tout de suite agacés comme par de la nuisance sonore, parce que vous êtes saturés d'informations accessoires qui parasitent votre attention. »

« […] la dépréciation du passé est devenue l’un des symptômes les plus significatifs de la crise culturelle à laquelle ce livre est consacré. Je ferai souvent appel à l’expérience historique pour expliquer nos errements présents. Le refus du passé, attitude superficiellement progressiste et optimiste, se révèle, à l’analyse, la manifestation du désespoir d’une société incapable de faire face à l’avenir. »

« Nous allons vers un monde où il y aura de moins en moins de poneys sauvages. »

« Je flagellais sans pitié l’époque en moi, cette époque où la société vieillissait si hâtivement. »

« Le dôme de l'Institut avait une vraie grâce, dut-il convenir un peu malgré lui. Évidemment, donner une forme arrondie à un bâtiment ne pouvait se justifier en aucune manière ; sur le plan rationnel, c'était simplement de la place perdue. La modernité était peut-être une erreur, se dit Jed pour la première fois de sa vie. Question purement rhétorique, d'ailleurs : la modernité était terminée en Europe occidentale depuis pas mal de temps déjà. »

  • Michel Houellebecq, La Carte et le Territoire, éd. Flammarion, 2010 (ISBN 9782081246331), p. 348

« Eh bien, la grande erreur de notre temps, ça a été de pencher, je dis plus, de courber l’esprit des hommes vers la recherche du bien matériel.

Il importe, messieurs, de remédier au mal ; il faut redresser pour ainsi dire l’esprit de l’homme ; il faut, et c’est la grande mission […] relever l’esprit de l’homme, le tourner vers la conscience, vers le beau, le juste et le vrai, le désintéressé et le grand. C’est là, et seulement là, que vous trouverez la paix de l’homme avec lui-même et par conséquent la paix de l’homme avec la société. »

  • Victor Hugo, discours prononcé devant l'Assemblée Nationale en 1848

« Qu'est-ce qui définit un homme ? Quelle est la question que l'on pose en premier à un homme, lorsqu'on souhaite s'informer de son état? Dans certaines sociétés, on lui demande d'abord s'il est marié, s'il a des enfants ; dans nos sociétés, on s'interroge en premier lieu sur sa profession. C'est sa place dans le processus de production, et pas son statut de reproducteur, qui définit avant tout l'homme occidental. »

« Tous les progrès de la civilisation sont autant de régressions de l'individu. – Chaque progrès de la technique abêtit la partie correspondante du corps de l'homme. En raison de la facilité qu'il a d'obtenir sa nourriture sans avoir à se la procurer et de la commodité des armes, l'individu n'est plus en soi une puissance menaçante parmi les autres animaux, il n'a ni l'agilité, ni la force souple et appropriée, ni les mille astuces contenues dans les potentialités de son corps et qui faisaient de l'homme un des plus beaux animaux de proie. Car la société élimine tout danger: aujourd'hui, tous les hommes sont nés avec une chemise.

[...]

Ainsi le photographe a remplacé le graveur et remplacera le peintre – les phonographes et les orchestrions remplaceront les musiciens... Les yeux finiront par ne plus voir ce qu'ils verraient inutilement. Les oreilles par ne plus entendre ce qu'elles entendraient inutilement – le corps de l'homme se désagrégera... se dissoudra. »

« Je n’ai aucune foi dans le "progrès", ni dans la "modernité", ni dans la "bonté de l’homme". Au contraire, je suis un démolisseur de ces mythes. Je n'aime que les grands hommes, car ils sont la seule lueur dans les bois. »

« Quand "être absolument moderne" est devenu une loi spéciale proclamée par le tyran, ce que l’honnête esclave craint plus que tout, c’est que l’on puisse le soupçonner d’être passéiste. »

« La décadence générale est un moyen au service de l’empire de la servitude ; et c’est seulement en tant qu’elle est ce moyen qu’il lui est permis de se faire appeler progrès. »

  • Guy Debord, Panégyrique, in Œuvres, éd. Gallimard, coll. Quarto, 2006 (ISBN 9782070773749), p. 1684

« Le petit homme contemporain sait comment il se nomme et de qui il est directement issu. Là se borne sa certitude. Et encore… De la notion du temps, il ne reçoit qu’une perception horizontale, quelque chose de dérisoirement limité. Dans l’éruption continue à la surface de la terre, il se retrouve aggloméré à des milliards d’autres hommes… De la perception verticale, celle qui se hausse par l’échelle du passé, et qui lui rendrait sa noblesse, quelle que soit la modestie de son lignage, il n’a pas conscience. Souvent il la refuse. Débarrassé de ce bagage, il s’imagine courir plus vite ! Il galope en rond, le petit homme, comme une carne au bout d’une longe, avec son anonymat pour piquet. Il n’en sortira jamais. Alors ? […]

Il ne sait rien. En quoi cela le concerne-t-il ? Il se tient seul, au centre de sa vie passagère, entre son père et son fils, bornes extrêmes de son existence […] Alors vous mesurez combien immense et proche est le désert… Je trouve cela inadmissible, révoltant, incroyable, navrant. Je demeure persuadé que la chaîne resta longtemps solide et qu’elle commença à se perdre à l’aube du monde moderne, quand les hommes s’éloignèrent du vrai pour s’occuper de balivernes. »

  • Jean Raspail, La hache des steppes, ed. Robert Laffont, 1974

« Notre temps est si rongé de bonnes intentions, si désireux de faire le bien qu’il voit le mal partout. »

External links

Modèle:Facebook