Différences entre les versions de « Léon Degrelle »
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« Hitler était très sensible à l’islam, ça c’est vrai. Mais d’autre part il savait les possibilités immenses que représentait l’islam pour une Europe unie. [...] C'est un homme profondément religieux, quoiqu'on en pense. Et qui est resté tout le temps catholique. Il était anti-clérical, c'est autre chose, parce que le clergé politique, avant Hitler, avait été féroce contre le National-Socialisme. Et puis après avait été à plat ventre, comme ça c'est toujours passé : l'église a toujours été en retard puis se précipite aux pieds du vainqueur... Bon, et alors Hitler avait pris ces musulmans, avait ouvert ses rangs aux musulmans, parce que, tôt ou tard, l’Europe allait avoir besoin de cet immense monde musulman, et que c'était proche, et qu'il fallait avoir là des camarades. Et ce que Hitler voulait c’est former des divisions de jeunes SS, Waffen SS musulmans, qui après ça feraient dans leur pays la transformation nationale et socialiste ce qui ferait qu’on aurait lutté en camarades , au lieu d'être livrés comme maintenant à d'abominables disputes d'intérêt. Et c’est... à tel point que j’ai vu, au nouvel an 45, les 60.000 Waffen SS (musulmans) recevoir d’Hitler une petite chaînette en or avec un coran : chacun recevait un coran, comme souvenir. » | « Hitler était très sensible à l’islam, ça c’est vrai. Mais d’autre part il savait les possibilités immenses que représentait l’islam pour une Europe unie. [...] C'est un homme profondément religieux, quoiqu'on en pense. Et qui est resté tout le temps catholique. Il était anti-clérical, c'est autre chose, parce que le clergé politique, avant Hitler, avait été féroce contre le National-Socialisme. Et puis après avait été à plat ventre, comme ça c'est toujours passé : l'église a toujours été en retard puis se précipite aux pieds du vainqueur... Bon, et alors Hitler avait pris ces musulmans, avait ouvert ses rangs aux musulmans, parce que, tôt ou tard, l’Europe allait avoir besoin de cet immense monde musulman, et que c'était proche, et qu'il fallait avoir là des camarades. Et ce que Hitler voulait c’est former des divisions de jeunes SS, Waffen SS musulmans, qui après ça feraient dans leur pays la transformation nationale et socialiste ce qui ferait qu’on aurait lutté en camarades , au lieu d'être livrés comme maintenant à d'abominables disputes d'intérêt. Et c’est... à tel point que j’ai vu, au nouvel an 45, les 60.000 Waffen SS (musulmans) recevoir d’Hitler une petite chaînette en or avec un coran : chacun recevait un coran, comme souvenir. » | ||
*[http://fr.wikipedia.org/wiki/L%C3%A9on_Degrelle Léon Degrelle], interview réalisée en 1978 | *[http://fr.wikipedia.org/wiki/L%C3%A9on_Degrelle Léon Degrelle], interview réalisée en 1978 | ||
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+ | « L’agonie de notre temps git là. Le siècle ne s’effondre pas faute de soutien matériel. Jamais l’univers ne fut si riche, comblé de tant de confort, aidé par une industrialisation à ce point productrice. Jamais il n’y eut tant de ressources ni tant de bien offerts. C’est le coeur de l’homme, et lui seul, qui est en état de faillite. C’est faute d’aimer, c’est faute de croire et de se donner, que le monde s’accable lui-même des coups qui l’assassinent. Le siècle a voulu n’être plus que le siècle des appétits. Son orgueil l’a perdu. Il a cru à la victoire de la matière enfin assujettie par son esprit. Il a cru aux machines, au stocks, aux lingots sur lesquels il règnerait en maître. Il a cru, tout autant, à la victoire des passions charnelles projetées au-delà de toutes les limites, à la libération des formes les plus diverses, des jouissances, sans cesse multipliées, toujours plus avilies et plus avilissantes, des pauvres êtres vidés. » | ||
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+ | « Je vivais. Dieu m'avait sauvé. Mes blessures elles-mêmes étaient une bénédiction. » | ||
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Version du 12 avril 2012 à 13:20
Democracy
« La Démocratie [...] est restée le régime des quelconques du Suffrage Universel. Jamais l'addition de mille médiocres n'a produit une intelligence mille fois accrue. »
Europe
« Nous avions lutté pour l'Europe, sa foi, sa civilisation. Nous avions été jusqu'au bout de la sincérité et du sacrifice. »
Islam
« Hitler était très sensible à l’islam, ça c’est vrai. Mais d’autre part il savait les possibilités immenses que représentait l’islam pour une Europe unie. [...] C'est un homme profondément religieux, quoiqu'on en pense. Et qui est resté tout le temps catholique. Il était anti-clérical, c'est autre chose, parce que le clergé politique, avant Hitler, avait été féroce contre le National-Socialisme. Et puis après avait été à plat ventre, comme ça c'est toujours passé : l'église a toujours été en retard puis se précipite aux pieds du vainqueur... Bon, et alors Hitler avait pris ces musulmans, avait ouvert ses rangs aux musulmans, parce que, tôt ou tard, l’Europe allait avoir besoin de cet immense monde musulman, et que c'était proche, et qu'il fallait avoir là des camarades. Et ce que Hitler voulait c’est former des divisions de jeunes SS, Waffen SS musulmans, qui après ça feraient dans leur pays la transformation nationale et socialiste ce qui ferait qu’on aurait lutté en camarades , au lieu d'être livrés comme maintenant à d'abominables disputes d'intérêt. Et c’est... à tel point que j’ai vu, au nouvel an 45, les 60.000 Waffen SS (musulmans) recevoir d’Hitler une petite chaînette en or avec un coran : chacun recevait un coran, comme souvenir. »
- Léon Degrelle, interview réalisée en 1978
Modernity
« L’agonie de notre temps git là. Le siècle ne s’effondre pas faute de soutien matériel. Jamais l’univers ne fut si riche, comblé de tant de confort, aidé par une industrialisation à ce point productrice. Jamais il n’y eut tant de ressources ni tant de bien offerts. C’est le coeur de l’homme, et lui seul, qui est en état de faillite. C’est faute d’aimer, c’est faute de croire et de se donner, que le monde s’accable lui-même des coups qui l’assassinent. Le siècle a voulu n’être plus que le siècle des appétits. Son orgueil l’a perdu. Il a cru à la victoire de la matière enfin assujettie par son esprit. Il a cru aux machines, au stocks, aux lingots sur lesquels il règnerait en maître. Il a cru, tout autant, à la victoire des passions charnelles projetées au-delà de toutes les limites, à la libération des formes les plus diverses, des jouissances, sans cesse multipliées, toujours plus avilies et plus avilissantes, des pauvres êtres vidés. »
God
« Je vivais. Dieu m'avait sauvé. Mes blessures elles-mêmes étaient une bénédiction. »