Différences entre les versions de « Enoch Powell »
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« Nous devons être fous, littéralement fous à lier dans ce pays, pour autoriser chaque année l’entrée de 50.000 personnes, qui seront à l’origine de la future augmentation de la population d’origine immigrée. J’ai l’impression de regarder ce pays construire frénétiquement son propre bûcher funéraire. » | « Nous devons être fous, littéralement fous à lier dans ce pays, pour autoriser chaque année l’entrée de 50.000 personnes, qui seront à l’origine de la future augmentation de la population d’origine immigrée. J’ai l’impression de regarder ce pays construire frénétiquement son propre bûcher funéraire. » |
Version du 16 septembre 2011 à 17:32
Immigration
« Nous devons être fous, littéralement fous à lier dans ce pays, pour autoriser chaque année l’entrée de 50.000 personnes, qui seront à l’origine de la future augmentation de la population d’origine immigrée. J’ai l’impression de regarder ce pays construire frénétiquement son propre bûcher funéraire. »
Enoch Powell, 20 avril 1968
« Être intégré, c’est ne pas se distinguer, à tous points de vue, des autres membres d’une population. Penser qu’un tel désir est présent chez une vaste majorité d’immigrés ou chez leurs descendants est une idée extravagante, et dangereuse de surcroît. »
Enoch Powell, 20 avril 1968
« Ce sentiment d’être une minorité persécutée [dans son propre pays], sentiment qui progresse parmi la population anglaise dans les régions touchées, est quelque chose d’à peine imaginable pour ceux qui n’en ont pas fait directement l’expérience. »
Enoch Powell, 20 avril 1968
« Sur leur lieu de travail, les employeurs hésitent à appliquer au travailleur immigré les mêmes critères de discipline et de compétence qu’aux Anglais. L’Anglais de souche commence à entendre, au fil du temps, des voix chaque jour plus nombreuses lui dire qu’il est désormais indésirable. »
Enoch Powell, 20 avril 1968
« Les difficultés rencontrées par les immigrés ne proviennent ni des lois, ni de la politique du gouvernement ou de l’administration, mais de leur situation personnelle, et des événements fortuits qui font, et feront toujours, que le destin et l’expérience d’un homme ne sont pas ceux d’un autre. »
Enoch Powell, 20 avril 1968
« Nous ne voulons pas de citoyens de 1ere ou de 2nde «classe». Mais cela ne doit pas signifier pour autant qu’un immigré ou ses descendants doivent disposer d’un statut privilégié ou spécifique, ou qu’un citoyen ne soit pas en droit de discriminer qui bon lui semble dans ses affaires privées, ou qu’on lui dicte par la loi ses choix ou son comportement. »
Enoch Powell, 20 avril 1968
« Le sentiment de discrimination, de dépossession, de haine et d’inquiétude, ce ne sont pas les immigrés qui le ressentent, mais bien ceux qui les accueillent et doivent continuer à le faire. »
Enoch Powell, 20 avril 1968