Différences entre les versions de « L’École des cadavres - Louis-Ferdinand Céline »

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J’en avais bien écrit cent pages de ma supplique, venues tout d’un trait, je l’affirme, absolument de première verve, quand je fus saisi par le doute... Une sorte d’accablement... « Tu verses dans la haine Ferdinand !... Tu vas te mettre dans tous les états... Tu vas te cailler pour des nèfles... Tu vas t’abréger l’existence... Laisse courir... C’est perdu d’avance... Tu peux pas avoir plus d’ennemis ! Des plus sournois, des plus tantes, des plus méticuleux, plus assassins, plus occultes, plus implacables, plus énormes, mieux outillés, mieux renseignés, plus frénétiques, des hesite-abolument-devant-rien-pour-assouvir-la-vengeance, le plus vicieusement, le plus cruellement possible ?... Alors ? T’es pas satisfait ? Comblé ? Gâté ?... » J’allais peut-être bien me rendre à ces douloureuses raisons, lorsqu’une lettre me parvint, par messager, exprès, urgente, anonyme et, ma foi, « très personnelle »...
 
Je pensais d’abord à quelque malheur survenu...quelque catastrophe... le pot-aux-roses découvert !... la vilaine histoire... Et puis non !... Et puis pas du tout ! Un simple rappel... une bagatelle... quelques incartades (authentique !) d’un véritable petit vilain...
 
 
« À Céline le dégueulasse.
 
« Figure d’enculé, ton bouquin de salope j’en ai lu quelques passages. Il ne m’a pas « étonné d’une ordure comme toi. Mais sache que les Youpins te chient dans la gueule et y « pissent ensuite pour bien faire dégouliner.
 
« Les Youtres te déplaquent dans le trou du cul et si tu veux te faire enculer, tu n’as qu’à « nous avertir.
 
« Pour ta soif, si tu as soif, il y a du foutre bien chaud pour ta gueule de fumier, tu pourras « te régaler les badigoinces. Tu prendras ça pour de la crème. Il y a des vicelards qui baisent « des gonzesses et bouffent leur foutre après. Toi le Saling tu dois être comme eux. Tout ce « qui est dégueulasse, tu aimes ça ! la merde, la pisse, le foutre. Comme dit la chanson : « manger de la merde, boire du pipi, c’est le meilleur moyen de ne jamais crever de faim. Ça « doit être ton principe. Les Youtres t’enculent, te pissent et te chient dans ton sale groin de « cochon puant. Un con comme tes zigues s’il y avait une couronne à prendre on te sacrerait « illico Roi des cons.
 
« Mais un petit conseil, fais gafouille à ta fraise, car un de ces quatre on pourrait bien « rigoler.
 
« Et puis nous fais pas gonfler le bid avec tes cons de bouquins.
 
« J’ai lu quelques passages de Bagatelles pour un massacre à la devanture d’un libraire, « parce que ça m’aurait fait chier d’acheter un de tes bouquins pour t’engraisser.
 
 
« En France, il y a eu Villon, Verlaine, Rimbaud qui étaient des mecs pas propres mais « plus intéressants que toi. Ils avaient du mérite, ils écrivaient en bon français.
 
 
« Quant à toi, qui veut jouer les affranchis et qui ne l’est pas du tout, tu as l’air d’un con.
 
« Maintenant sache que moi, Juif, je n’irai pas me faire casser la gueule à la guerre pour « m’entendre traiter de sale youtre et pour qu’un con comme ta gueule dise qu’ils n’y ont eu « que 1 300 tués pendant la dernière guerre.
 
« Et puis s’il y avait eu que 1 300 tués, ça prouverait que les youtres sont plus vernis que « les chrétiens. Et qu’ils n’étaient pas planqués, puisque beaucoup étaient dans la Légion.
 
 
« Au revoir, dégueulasse.
 
 
« SALVADOR, Juif.
 
 
« Si les Juifs sont circoncis, ils n’ont pas à en avoir honte. Ça leur permet, au contraire, de « ne pas attraper la vérole. Ils peuvent bien se nettoyer. D’ailleurs, il y a pas de vérolés chez « les Juifs, ou très peu. Les Youpins n’ont pas des bites de chiens qui puent. »
 
 
Ah ! Il ne m’aime que trop, ce Salvador ! C’est l’évidence ! La ferveur l’égare ! Il ne sait plus comment m’étreindre ! me posséder davantage ! Ah ! l’avide ! Ah ! l’éperdu ! Mon Dieu ! comme il s’y prend mal ! Il me froisse, il m’agace, il ne m’excite pas ! La passion le rend impossible. Salvador râlant d’idiotie ! Furieux ? mais tant mieux ! Que diantre !... Jamais trop furieux juste ciel ! Tout effrayant de fureur ! quelle chance ! Mais d’abord de grâce, qu’il me lise Salvador ! le prudent crayon à la main ! Qu’il m’épelle, qu’il tente de m’ânonner ! Avant de se lancer tout seul ! Qu’il me décalque gentiment ! Attendrissant de patience ! Qu’il me lèche sur tous les pourtours, qu’il m’onguente les rudiments de la violence, dévotieux ! Délicatesses des prémisses ! Fragilités impératives ! Salvador, vous me bouzillez !
 
 
Cher ingrat fainéant ! Crapoteuse nature ! Drôle ! Brute pataugière, baveuse de traviole ! Rien de votre affaire ne gicle ! n’emporte, n’allègre ! Une lourde pitié d’ergoteries foireuses ! Votre boutique ! Obscène ! Ah, que les maîtres sont à plaindre qui ne font lever autour d’eux que de telles ivraies blêmes et fades !
 
Ah ! rançon de la décadence ! Ah ! que labourer de telles immensités de cancres devient bien avant l’agonie, bien avant l’oubli, la plus terrible des contritions, la plus âcre des pénitences, pour toutes nos vanités, faiblesses, brèves glorioles, orgueils secrets ou pavoisants !
 
 
Aucune dramatisation... Nous sommes pour ainsi dire en guerre... Pas besoin d’en rajouter, on y est dans la “reder des ders”... Nous sommes déjà dans la danse. On pourrait bien sûr me répondre « Que cela vous importe-t-il ? Vous qui serez exécuté dès la première heure ? Vous n’en souffrirez pas longtemps de la guerre. »
 
C’est exact, et c’est une chance. Crever n’est rien, le truc le plus humiliant, la vexation super-infecte, ça serait qu’on vous ressuscite, qu’on vous réincorpore dans une horde aussi funeste de transis furieux, damnés, pervertis cocus.
 
 
Je laisserais donc les choses courir, les circonstances s’aggraver, s’envenimer à lure- lure... Je n’en mouffeterais d’une cédille, j’attendrais les issues fatales avec une dignité pépère, j’irais peut-être me blottir quelque part dans un fond de cave, pour mourir en tout dernier, pour voir bien d’abord crever tous les autres, bien jouir, combien j’avais raison...
 
 
Las ! même au tréfil des abîmes, sur le rebord des cataclysmes, y a encore des cons qui flamboyent, installent, se surpassent en mics-macs dévergondés. Les voilà qui se touchent, pervers, tout au vice, s’attrapent la canule de droite, de gauche et de travers dans des contorsions si infectes qu’on peut vraiment plus supporter. Tel quel. Ce sont les bardes fanfarons qui vous font sortir de vos gonds.
 
 
J’observerais la catastrophe, ses cheminements, ses perfidies, en résolue placidité, si tout le monde se tenait de même, mais il s’en faut ! Mais pas du tout ! Au contraire ! Putois ! Quelle pétulance ! Jamais les parties bavardes ne furent aussi divagantes ! Ce ne sont à travers l’espace, les câbles et les paragraphes que défis, clameurs, propos outrés, manifestes énormes, tumultes outrecuidants.
 
 
Tous les esprits forts de l’époque bardent, paradent, salvent, s’ébrouent, virevoltent, propagent. Les échos éclatent, c’est la foire des mots qui vrombit.
 
  
 
J’en connais moi une bonne douzaine de romanciers, gazetiers, colonnistes, échotiers fameux qui se targuent chaque semaine de l’avoir terrassée la Guerre, poignée, dissoute, résoute, tordue, confondue, foutrée de stances magnifiques, lui annulé tous les conflits, repoussé les pires procidences, de vigueurs terribles, saignantes, au terrible fond des entrailles! par la seule force de leurs écrits! l’argumentation stylistique, pulvérisante, magistique de leur dialectique du tonnerre de Dieu ! Ah ! C’est pas des piquettes mineures ces écrivains vertigoïdes révérés sensationnalissimes par les cénacles miroboyoutres : Les grandes agences tintamarres de la comploterie mondio-lévy-blum ! Ah ! que non !
 
J’en connais moi une bonne douzaine de romanciers, gazetiers, colonnistes, échotiers fameux qui se targuent chaque semaine de l’avoir terrassée la Guerre, poignée, dissoute, résoute, tordue, confondue, foutrée de stances magnifiques, lui annulé tous les conflits, repoussé les pires procidences, de vigueurs terribles, saignantes, au terrible fond des entrailles! par la seule force de leurs écrits! l’argumentation stylistique, pulvérisante, magistique de leur dialectique du tonnerre de Dieu ! Ah ! C’est pas des piquettes mineures ces écrivains vertigoïdes révérés sensationnalissimes par les cénacles miroboyoutres : Les grandes agences tintamarres de la comploterie mondio-lévy-blum ! Ah ! que non !
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C’est au tapin qu’il se propose, dispose, à présent Ferdinand ! compétent ! attend !
 
C’est au tapin qu’il se propose, dispose, à présent Ferdinand ! compétent ! attend !
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Oyez cartel ! Fienteuse Rivalerie ! Bourbilleux stylophores ! Ergotoplasmes des 82 000 paroisses! Maisons culturiphages! des 188000 ghettos rédactorigènes! Détergez-vous l’eschare ! Grignotez-vous la croûte et poignez-vous l’horrible ! Le jour de bander enfin nous arrive ! Qu’on nous oblige dans l’arène cette Paix toute chichitière ! À comparoître céans ! Qu’on la dépouille ! Déconcerte ! À poil ! Frivole catinière ! pimbèche tapinoise ! Et que chacun son tour, à sa chance l’affronte ! En lice !... Que le plus allégrant, incitant dandillant lui file céans deux doigts dans le trou du cul ! Qui dit mieux ? Trois ? Qui dit mieux ? Quatre ? Toute la poigne ? Il est vainqueur ! C’est enlevé ! Hurrah ! le fier troubadour ! Le Führer de la babilleuse ! Ah ! Paix ! Tu jouis ! enfin ! putasse ! Garce secrète ! Titilleuse ! Viceloque doubleuse ! À moi ! Nobel ! à plein pot ! Je m’aligne ! Cramponne ! Adonne ! Cocotte ! Tu montes ! Je t’envolerai galvaudière à plein troufignon de pécole ! Racole ! Ton oignon pourri ! Je t’en filerai mille colloques, ribotes, hymnes pacifieux, provocatiles, décalogogues, déconnogogues, , vétilles choisies, passe-temps, nouvelettes, romans terroireux, satires scintillantes, badines anicroches, odes équivoques, épigrammes fugitifs, Montyons panadeux, comédies reposantes, tragédies amusantes ! Tout ! que t’auras ma Paix ! pour toi ! Je t’aurai Trésor ! ma Paix Marmite ! Ma Paix Loterie ! Ce qu’il faudra ! Pourvu que tu reluises à point, me tombes dans l’actif, trébuches pantelante, pâmée Paix ! flageoles, digue- digue, éparpillée sur mes tendres os ! pluie d’or ! ondée miraculeuse ! dont enfin Denoël mon succube, ne tondera pas un fifrelin ! cornu sorcelleux ! C’est lui qui fera l’expert quand même, retors regardant, il saura bien si l’on m’arnaque, il s’y connaît en passes faisanes !
 
Oyez cartel ! Fienteuse Rivalerie ! Bourbilleux stylophores ! Ergotoplasmes des 82 000 paroisses! Maisons culturiphages! des 188000 ghettos rédactorigènes! Détergez-vous l’eschare ! Grignotez-vous la croûte et poignez-vous l’horrible ! Le jour de bander enfin nous arrive ! Qu’on nous oblige dans l’arène cette Paix toute chichitière ! À comparoître céans ! Qu’on la dépouille ! Déconcerte ! À poil ! Frivole catinière ! pimbèche tapinoise ! Et que chacun son tour, à sa chance l’affronte ! En lice !... Que le plus allégrant, incitant dandillant lui file céans deux doigts dans le trou du cul ! Qui dit mieux ? Trois ? Qui dit mieux ? Quatre ? Toute la poigne ? Il est vainqueur ! C’est enlevé ! Hurrah ! le fier troubadour ! Le Führer de la babilleuse ! Ah ! Paix ! Tu jouis ! enfin ! putasse ! Garce secrète ! Titilleuse ! Viceloque doubleuse ! À moi ! Nobel ! à plein pot ! Je m’aligne ! Cramponne ! Adonne ! Cocotte ! Tu montes ! Je t’envolerai galvaudière à plein troufignon de pécole ! Racole ! Ton oignon pourri ! Je t’en filerai mille colloques, ribotes, hymnes pacifieux, provocatiles, décalogogues, déconnogogues, , vétilles choisies, passe-temps, nouvelettes, romans terroireux, satires scintillantes, badines anicroches, odes équivoques, épigrammes fugitifs, Montyons panadeux, comédies reposantes, tragédies amusantes ! Tout ! que t’auras ma Paix ! pour toi ! Je t’aurai Trésor ! ma Paix Marmite ! Ma Paix Loterie ! Ce qu’il faudra ! Pourvu que tu reluises à point, me tombes dans l’actif, trébuches pantelante, pâmée Paix ! flageoles, digue- digue, éparpillée sur mes tendres os ! pluie d’or ! ondée miraculeuse ! dont enfin Denoël mon succube, ne tondera pas un fifrelin ! cornu sorcelleux ! C’est lui qui fera l’expert quand même, retors regardant, il saura bien si l’on m’arnaque, il s’y connaît en passes faisanes !
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Si c’est pas moi, si c’est pas vous... Qui c’est donc qu’est le coupa-a-able ! Si c’est pas moi, si c’est pas vous... Qui c’est donc qu’a fait le coup !
 
Si c’est pas moi, si c’est pas vous... Qui c’est donc qu’est le coupa-a-able ! Si c’est pas moi, si c’est pas vous... Qui c’est donc qu’a fait le coup !
  
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Mais toutefois la rébellion aryenne peut s’étendre... Ce n’est pas absolument exclu ! Voici même l’aléa très piquant ! hi ! hi ! Le divin affriolant risque... Stop ! Assez bafouillé, assez trifouillé les picrates ! Assez de “découvert” ! Cette pseudo révolte aryenne doit être écrasée, laminée, écrabouillée, anéantie effroyablement, avec dispositifs sensationnels de tortures, cruautés très inédites, d’un bout à l’autre de la Planète, une leçon cataclysmique ! pour cette plèbe indigène secoueuse de ferrures ! Assez ! Au charnier s’il vous plaît ! Une main décisive ! Que pas un seul de ces crasseux jacassiers cafouilleux ne soit repris de tarentule indépendante avant 2 000 ans ! Un massacre bien expiatoire, absolument expiatoire de tous hurluberlus d’opposition ! Plus de sursauts, de mutineries aryennes dans les bagnes juifs avant vingt siècles ! Que la guerre s’avance adorablement préventive, providentielle ! Après la bave, le sang. Une boucherie punitive dont on parlera dévotieusement, admirativement, extatiquement, dans les chaumières aryennes pendant 20 siècles encore.
 
Mais toutefois la rébellion aryenne peut s’étendre... Ce n’est pas absolument exclu ! Voici même l’aléa très piquant ! hi ! hi ! Le divin affriolant risque... Stop ! Assez bafouillé, assez trifouillé les picrates ! Assez de “découvert” ! Cette pseudo révolte aryenne doit être écrasée, laminée, écrabouillée, anéantie effroyablement, avec dispositifs sensationnels de tortures, cruautés très inédites, d’un bout à l’autre de la Planète, une leçon cataclysmique ! pour cette plèbe indigène secoueuse de ferrures ! Assez ! Au charnier s’il vous plaît ! Une main décisive ! Que pas un seul de ces crasseux jacassiers cafouilleux ne soit repris de tarentule indépendante avant 2 000 ans ! Un massacre bien expiatoire, absolument expiatoire de tous hurluberlus d’opposition ! Plus de sursauts, de mutineries aryennes dans les bagnes juifs avant vingt siècles ! Que la guerre s’avance adorablement préventive, providentielle ! Après la bave, le sang. Une boucherie punitive dont on parlera dévotieusement, admirativement, extatiquement, dans les chaumières aryennes pendant 20 siècles encore.
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Tous les prétextes seront valables, aucun ne sera détestable... N’importe lequel suffira pourvu qu’il emporte les masses aryennes fanatisées vers les gigantesques massacres, qu’il détermine sans réticences possibles l’extermination enragée des peuples les plus militaires d’Europe, ceux qui constituent encore, malgré tout, un petit danger pour les Juifs : les Allemands, les Français, les Serbes.
 
Tous les prétextes seront valables, aucun ne sera détestable... N’importe lequel suffira pourvu qu’il emporte les masses aryennes fanatisées vers les gigantesques massacres, qu’il détermine sans réticences possibles l’extermination enragée des peuples les plus militaires d’Europe, ceux qui constituent encore, malgré tout, un petit danger pour les Juifs : les Allemands, les Français, les Serbes.
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Tout de suite, que ceux-là s’entr’égorgent ! Qu’ils se débitent à pleins charniers ! jusqu’au dernier !
 
Tout de suite, que ceux-là s’entr’égorgent ! Qu’ils se débitent à pleins charniers ! jusqu’au dernier !
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Qu’il n’en reste plus un debout. Tous amochés, tous saignés, alors le Juif sera tranquille pour préparer la prochaine.
 
Qu’il n’en reste plus un debout. Tous amochés, tous saignés, alors le Juif sera tranquille pour préparer la prochaine.
  
 
Les Français veulent se donner l’impression qu’ils possèdent encore une mystique. D’où tant de discours. Ils n’ont plus de mystique. Ils n’ont plus que des mots. Les Français sont vides.
 
Les Français veulent se donner l’impression qu’ils possèdent encore une mystique. D’où tant de discours. Ils n’ont plus de mystique. Ils n’ont plus que des mots. Les Français sont vides.
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La République maçonnique française n’est plus qu’une carambouillerie électorale très dégueulasse, une fantastique entreprise de duperie pour Français naïfs, brimés, saignés, escroqués cent et mille fois plus cruellement par les Juifs internationaux qu’ils ne furent jamais pendant 18 siècles par le pouvoir monarchique absolu.
 
La République maçonnique française n’est plus qu’une carambouillerie électorale très dégueulasse, une fantastique entreprise de duperie pour Français naïfs, brimés, saignés, escroqués cent et mille fois plus cruellement par les Juifs internationaux qu’ils ne furent jamais pendant 18 siècles par le pouvoir monarchique absolu.
 
La République maçonnique dévergondée, dite française, entièrement à la merci des sociétés secrètes et des Banques juives, (Rothschild, Lazare, Barush, etc...) entre en agonie. Gangrenée plus qu’il n’est possible, elle se décompose par scandales. Ce ne sont plus que lambeaux purulents dont le Juif et son chien franc-maçon arrachent malgré tout chaque jour encore quelques nouvelles gâteries, bribes cadavériques, s’en bâfrent, bombance ! prospèrent, jubilent, exultent, délirent de charogneries. Nous sommes parvenus de compromis en soumissions au stade pré-soviétique, stade frémissant, intensif, du Juif en complot, l’Heure de la Transe kabalique, où toute la youtrerie mondiale engage à fond toutes ses batteries, tous ses politiciens, toutes ses troupes militantes, journalistiques, bancaires à l’assaut des pouvoirs suprêmes, de toutes les commandes, de tous les échanges, prébendes, fauteuils, trafics, bénéfices, où l’on mate une bonne fois pour toutes l’indigène, lui rive à la mitraille, au sang, son carcan, toutes ses ferrures. L’orgueil juif commande ! les soviets partout ! En langage clair : domination juive 100 pour 100. Cavalcade du Juif à ciel ouvert. Dépeçage, goinfrage de toutes les richesses de la Terre Promise, la nôtre ! conquise, asservie. Énorme partouze d’assassinats. Grands massacres d’indigènes bien crétinisés, saoulés, effondrés, au préalable, par le mondial, inimaginable, irrésistiblement hypnotique baratinage juif. Le Processus est infaillible.
 
La République maçonnique dévergondée, dite française, entièrement à la merci des sociétés secrètes et des Banques juives, (Rothschild, Lazare, Barush, etc...) entre en agonie. Gangrenée plus qu’il n’est possible, elle se décompose par scandales. Ce ne sont plus que lambeaux purulents dont le Juif et son chien franc-maçon arrachent malgré tout chaque jour encore quelques nouvelles gâteries, bribes cadavériques, s’en bâfrent, bombance ! prospèrent, jubilent, exultent, délirent de charogneries. Nous sommes parvenus de compromis en soumissions au stade pré-soviétique, stade frémissant, intensif, du Juif en complot, l’Heure de la Transe kabalique, où toute la youtrerie mondiale engage à fond toutes ses batteries, tous ses politiciens, toutes ses troupes militantes, journalistiques, bancaires à l’assaut des pouvoirs suprêmes, de toutes les commandes, de tous les échanges, prébendes, fauteuils, trafics, bénéfices, où l’on mate une bonne fois pour toutes l’indigène, lui rive à la mitraille, au sang, son carcan, toutes ses ferrures. L’orgueil juif commande ! les soviets partout ! En langage clair : domination juive 100 pour 100. Cavalcade du Juif à ciel ouvert. Dépeçage, goinfrage de toutes les richesses de la Terre Promise, la nôtre ! conquise, asservie. Énorme partouze d’assassinats. Grands massacres d’indigènes bien crétinisés, saoulés, effondrés, au préalable, par le mondial, inimaginable, irrésistiblement hypnotique baratinage juif. Le Processus est infaillible.
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Voir : Bela Kuhn – Hongrie : Rosenberg – Espagne ; Trotzky – Russie ; etc... Blum en France. Le programme éternel juif.
 
Voir : Bela Kuhn – Hongrie : Rosenberg – Espagne ; Trotzky – Russie ; etc... Blum en France. Le programme éternel juif.
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Pour ce qui concerne la France ostentation bien superflue puisque les Juifs possèdent déjà toute la puissance. Banques, Industries, Ministères, Commerce, Loges... Tous les leviers, tous les profits, tous les privilèges, toutes les immunités, toutes les cartes blanches. Simple surcroît de pavanerie négroïde. Afro-vanité. Tam-tam. Cet État français judéo-maçonnique constitue bien la plus ignoble escroquerie du Patriotisme que l’on puisse rêver.
 
Pour ce qui concerne la France ostentation bien superflue puisque les Juifs possèdent déjà toute la puissance. Banques, Industries, Ministères, Commerce, Loges... Tous les leviers, tous les profits, tous les privilèges, toutes les immunités, toutes les cartes blanches. Simple surcroît de pavanerie négroïde. Afro-vanité. Tam-tam. Cet État français judéo-maçonnique constitue bien la plus ignoble escroquerie du Patriotisme que l’on puisse rêver.
  
 
Nous sommes, Français de souche, asservis, brimés, opprimés, cocufiés, dépouillés, minimisés, ridiculisés, à chaud, à vif, autant qu’il se peut, admirablement, implacablement, frénétiquement, trahis il faut ajouter, minutieusement, perpétuellement, inlassablement, par nos frères de race arrivistes, les francs-maçons, chiens volontaires des Juifs, goinfreurs, en toutes poubelles, en tous déchets juifs, meute à la curée, à la ripaille de toutes les gangrènes d’agonie, éperdus au sifflet des juifs. Les loges détiennent tous les pouvoirs. Les Youtres n’ont qu’à se servir. Aucune résistance. Ils s’installent, exploitent, rançonnent en définitive où ils veulent, comme ils veulent, où leur caprice les chatouille. Ils nous enculent, si telle fredaine les anime, publiquement, très impunément. Auriez-vous rêvé d’un négrite Maître de l’Instruction Publique ? Vous l’avez. En voulez-vous un autre, maître de nos Colonies ? Vous l’avez ! Juste retour des choses ! Demain Président du Conseil, ordonnateur de nos abattoirs (Il le fut déjà). La Haute Juiverie s’amuse de savoir à quel point l’on peut nous avilir, nous faire ramper, avaler des couleuvres, des hontes, des glaviots.
 
Nous sommes, Français de souche, asservis, brimés, opprimés, cocufiés, dépouillés, minimisés, ridiculisés, à chaud, à vif, autant qu’il se peut, admirablement, implacablement, frénétiquement, trahis il faut ajouter, minutieusement, perpétuellement, inlassablement, par nos frères de race arrivistes, les francs-maçons, chiens volontaires des Juifs, goinfreurs, en toutes poubelles, en tous déchets juifs, meute à la curée, à la ripaille de toutes les gangrènes d’agonie, éperdus au sifflet des juifs. Les loges détiennent tous les pouvoirs. Les Youtres n’ont qu’à se servir. Aucune résistance. Ils s’installent, exploitent, rançonnent en définitive où ils veulent, comme ils veulent, où leur caprice les chatouille. Ils nous enculent, si telle fredaine les anime, publiquement, très impunément. Auriez-vous rêvé d’un négrite Maître de l’Instruction Publique ? Vous l’avez. En voulez-vous un autre, maître de nos Colonies ? Vous l’avez ! Juste retour des choses ! Demain Président du Conseil, ordonnateur de nos abattoirs (Il le fut déjà). La Haute Juiverie s’amuse de savoir à quel point l’on peut nous avilir, nous faire ramper, avaler des couleuvres, des hontes, des glaviots.
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Je trouve, pour ma part, que les Juifs n’en feront jamais assez. Je voudrais qu’il soit décrété une bonne fois, définitivement, que toutes les Grandes Écoles, les Grands Corps de l’État, Académies, Polytechniques, Internats, Électorats, Hôpitaux, Radios, Théâtres subventionnés, Théâtres ordinaires, Banque de France, sont absolument réservés aux Juifs (comme en U.R.S.S.) strictement interdits aux Goyes. Dans la pratique évidemment, c’est déjà bien entendu. Mais enfin la chose n’est pas encore officielle et ça me choque. L’exclusive contre l’indigène doit être prononcée officiellement. Il est temps. Tout ce qui commande, tout ce qui émine, reluit, ordonne, enseigne doit être en France, à partir de ce jour, strictement juif. C’est tout. Ce serait absolument loyale constatation d’un état de fait qui crève les yeux. Ce décret officiellement pris, l’indigène se le tiendrait pour dit, plus de paroles, plus de démarches inutiles, il se cantonnerait strictement, une bonne fois pour toutes, dans les fonctions de son mérite, aux Abattoirs ou dans la merde.
 
Je trouve, pour ma part, que les Juifs n’en feront jamais assez. Je voudrais qu’il soit décrété une bonne fois, définitivement, que toutes les Grandes Écoles, les Grands Corps de l’État, Académies, Polytechniques, Internats, Électorats, Hôpitaux, Radios, Théâtres subventionnés, Théâtres ordinaires, Banque de France, sont absolument réservés aux Juifs (comme en U.R.S.S.) strictement interdits aux Goyes. Dans la pratique évidemment, c’est déjà bien entendu. Mais enfin la chose n’est pas encore officielle et ça me choque. L’exclusive contre l’indigène doit être prononcée officiellement. Il est temps. Tout ce qui commande, tout ce qui émine, reluit, ordonne, enseigne doit être en France, à partir de ce jour, strictement juif. C’est tout. Ce serait absolument loyale constatation d’un état de fait qui crève les yeux. Ce décret officiellement pris, l’indigène se le tiendrait pour dit, plus de paroles, plus de démarches inutiles, il se cantonnerait strictement, une bonne fois pour toutes, dans les fonctions de son mérite, aux Abattoirs ou dans la merde.
  
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Je ne vais pas rabâcher, tout ceci est raconté par les Juifs eux-mêmes, depuis le Talmud, en de nombreux, copieux ouvrages, que certains aryens, trop rares, se sont donné la peine de lire, d’analyser, de résumer pour vous. J’ose me citer : Bagatelles pour un Massacre vous renseignera, je crois, assez bien sur l’importance de la question, son actualité, ce qui nous attend. Tout cela est écrit. Je n’ai rien découvert. Aucune prétention. Simple vulgarisation, virulente, stylisée. La judéologie est une science, l’étude de la maladie juive du monde, du métissage aryano-juif, de la mosaïque mandelienne, de la cancérisation mandelienne du monde actuel. Déconnage ? Jeux de mots ? Anathèmes délirants ? Non. Très authentiquement cancer, néoplasies, créées, provoquées comme toutes les néoplasies, par hybridations excessives, croisements forcenés, imbéciles, désastreux, anarchie cellulaires, déclenchées par fécondations dégradantes, absurdes, monstrueuses.
 
Je ne vais pas rabâcher, tout ceci est raconté par les Juifs eux-mêmes, depuis le Talmud, en de nombreux, copieux ouvrages, que certains aryens, trop rares, se sont donné la peine de lire, d’analyser, de résumer pour vous. J’ose me citer : Bagatelles pour un Massacre vous renseignera, je crois, assez bien sur l’importance de la question, son actualité, ce qui nous attend. Tout cela est écrit. Je n’ai rien découvert. Aucune prétention. Simple vulgarisation, virulente, stylisée. La judéologie est une science, l’étude de la maladie juive du monde, du métissage aryano-juif, de la mosaïque mandelienne, de la cancérisation mandelienne du monde actuel. Déconnage ? Jeux de mots ? Anathèmes délirants ? Non. Très authentiquement cancer, néoplasies, créées, provoquées comme toutes les néoplasies, par hybridations excessives, croisements forcenés, imbéciles, désastreux, anarchie cellulaires, déclenchées par fécondations dégradantes, absurdes, monstrueuses.
 
Tout ceci est à l’étude. Nous aurons peut-être la surprise, (si les blancs existent encore) de reconnaître dans quelques années que tous nos cancers, néo-formations gangreneuses, sociales et même chirurgicales procédaient toutes de la même origine, du même vice génétique : la dépravation antiraciale, la bâtarderie systématique, la forniquerie à toute berzingue, antiaryenne, l’avilissement des souches aryennes par apports négroïdes, absurdes, enfin tout l’enragé processus d’anéantissement aryen par contamination afro-asiatique, toute la prostitution raciale à laquelle nous astreignent, acharnés à nous dissoudre, les Loges du monde entier, les Juifs de tous les Grands Orients, sous couvert d’Humanitarisme. Francs- maçons, crétinoïdes larbins arrivistes des laboratoires Kabalistes. Laboratoires Kabalistes où l’on ne pense qu’à notre torture, à notre anéantissement par servitude, enculage, marxisme confusionniste.
 
Tout ceci est à l’étude. Nous aurons peut-être la surprise, (si les blancs existent encore) de reconnaître dans quelques années que tous nos cancers, néo-formations gangreneuses, sociales et même chirurgicales procédaient toutes de la même origine, du même vice génétique : la dépravation antiraciale, la bâtarderie systématique, la forniquerie à toute berzingue, antiaryenne, l’avilissement des souches aryennes par apports négroïdes, absurdes, enfin tout l’enragé processus d’anéantissement aryen par contamination afro-asiatique, toute la prostitution raciale à laquelle nous astreignent, acharnés à nous dissoudre, les Loges du monde entier, les Juifs de tous les Grands Orients, sous couvert d’Humanitarisme. Francs- maçons, crétinoïdes larbins arrivistes des laboratoires Kabalistes. Laboratoires Kabalistes où l’on ne pense qu’à notre torture, à notre anéantissement par servitude, enculage, marxisme confusionniste.
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Judéologie, science très hermétique, très antique (de Moïse à l’Intelligence Service, par le Talmud et les Évangiles). Science tarabiscotée, fuyante, farceuse, tragique, contradictoire, traîtresse. Crevasse du vieil Enfer, (qu’il faudra bien combler un jour ou périr tous) où l’on ne s’aventure que bardé de tous les culots, roueries, vaillances, défiances, crans d’arrêts éclairs, alibis, subterfuges chromés... Les plus opaques dominos ne vous serviront pas à grand’chose. Ils auront tôt fait de vous perdre où vous vous aventurez... Allez-y plutôt carrément. L’ennemi est prodigieusement averti, multiforme, jamais endormi, d’une vigilance atroce, c’est le Diable ! Dix mille fois sur vos gardes ! Tout Juif est un préposé de l’or du Diable ! Grand ou petit Juif ! aucune distinction !
 
Judéologie, science très hermétique, très antique (de Moïse à l’Intelligence Service, par le Talmud et les Évangiles). Science tarabiscotée, fuyante, farceuse, tragique, contradictoire, traîtresse. Crevasse du vieil Enfer, (qu’il faudra bien combler un jour ou périr tous) où l’on ne s’aventure que bardé de tous les culots, roueries, vaillances, défiances, crans d’arrêts éclairs, alibis, subterfuges chromés... Les plus opaques dominos ne vous serviront pas à grand’chose. Ils auront tôt fait de vous perdre où vous vous aventurez... Allez-y plutôt carrément. L’ennemi est prodigieusement averti, multiforme, jamais endormi, d’une vigilance atroce, c’est le Diable ! Dix mille fois sur vos gardes ! Tout Juif est un préposé de l’or du Diable ! Grand ou petit Juif ! aucune distinction !
  
 
Qui bronche, trébuche, culbute au gouffre. Sans raccrochage possible. Et c’est bien fait. Écrabouillerie très piteuse. Marmelade dans l’Aventure, grotesque.
 
Qui bronche, trébuche, culbute au gouffre. Sans raccrochage possible. Et c’est bien fait. Écrabouillerie très piteuse. Marmelade dans l’Aventure, grotesque.
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Certains judéologues possèdent leur science à fond, sur le bout des doigts, les rudiments, l’Histoire des Juifs, du complot juif depuis l’Ethnologie, la Biologie du Juif. Leurs travaux sont célèbres, incontestés, fondamentaux. Tous les Aryens devraient avoir lu Drummont [sic], Plus actuels : De Vries, De Poncins, Sombart, Stanley, Chamberlain ; plus près : Montandon, Darquier de Pellepoix, Boissel, H. R. Petit, Dasté , H. Coston, des Essards, Alex, Santo, etc...
 
Certains judéologues possèdent leur science à fond, sur le bout des doigts, les rudiments, l’Histoire des Juifs, du complot juif depuis l’Ethnologie, la Biologie du Juif. Leurs travaux sont célèbres, incontestés, fondamentaux. Tous les Aryens devraient avoir lu Drummont [sic], Plus actuels : De Vries, De Poncins, Sombart, Stanley, Chamberlain ; plus près : Montandon, Darquier de Pellepoix, Boissel, H. R. Petit, Dasté , H. Coston, des Essards, Alex, Santo, etc...
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Vous trouverez une bibliographie française très achalandée au Centre Documentaire, 10 rue d’Argenteuil, au Rassemblement anti-juif, 12 rue Laugier. Quelques journaux, périodiques, suivent le Juif d’assez près. Contemporainement : la France enchaînée, la Libre Parole, Je suis partout, l’Action Française, certains jours... Gringoire assez timidement, certaines semaines, et puis c’est tout... Le reste, tout le reste de la presse française n’est que juiverie déchaînée, vociférante, haletante, frénétique, racissime, Intransigeante, Parisoiresque, cancérissime. Il serait temps peut-être que les Aryens, vendus ou non, qui ne désirent pas absolument crever dans l’inconscience au cours des prochaines hécatombes, se documentent un petit peu sur les raisons profondes de leur propre massacre. Il serait merveilleux aussi, mais c’est déjà rêver, que le prolétariat cesse d’idolâtrer, ne serait-ce que l’espace d’une grève, les vendus pourris, domestiques de gueule ou de plume qui lui servent d’oracles et se demande un peu d’où ils tiennent, ces devins, leurs vérités ? leurs mots d’ordre ? Ceci en tout bien, tout honneur, juste une petite minute avant que tout soit dit, que le déluge tout engloutisse.
 
Vous trouverez une bibliographie française très achalandée au Centre Documentaire, 10 rue d’Argenteuil, au Rassemblement anti-juif, 12 rue Laugier. Quelques journaux, périodiques, suivent le Juif d’assez près. Contemporainement : la France enchaînée, la Libre Parole, Je suis partout, l’Action Française, certains jours... Gringoire assez timidement, certaines semaines, et puis c’est tout... Le reste, tout le reste de la presse française n’est que juiverie déchaînée, vociférante, haletante, frénétique, racissime, Intransigeante, Parisoiresque, cancérissime. Il serait temps peut-être que les Aryens, vendus ou non, qui ne désirent pas absolument crever dans l’inconscience au cours des prochaines hécatombes, se documentent un petit peu sur les raisons profondes de leur propre massacre. Il serait merveilleux aussi, mais c’est déjà rêver, que le prolétariat cesse d’idolâtrer, ne serait-ce que l’espace d’une grève, les vendus pourris, domestiques de gueule ou de plume qui lui servent d’oracles et se demande un peu d’où ils tiennent, ces devins, leurs vérités ? leurs mots d’ordre ? Ceci en tout bien, tout honneur, juste une petite minute avant que tout soit dit, que le déluge tout engloutisse.
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Et notre bourgeoisie ? si par miracle elle pouvait cesser tout un mois de se surmener la tripe, de travailler du foie gras, de ramper dans les indigestions, qu’on la retrouve en train de réfléchir, enfin, à autre chose qu’à son ventre (le bourgeois chie, il a faim, c’est tout), elle éprouverait peut-être une petite surprise de se reconnaître aussi effrénément trahie par ses larbins-écrivains attitrés. C’est à qui de droite gentdelettre, plaquera, désertera plus vite la mangeoire menacée, ira, le plus dévotieusement, se faire mettre à gauche, virevolte! désinvolte ! en pleine démagogie juive ! Le bourgeois, tout en côlon, si mufle, si fécal, si vil ne s’aperçoit même pas que ses larbins de classe, de plume, le sèment, se disposent à gigoter, à bambouler éperdument autour du bûcher révolutionnaire, pendant qu’il grésillera... c’est la panique générale des larbins de plume à moins cinq, l’exode en masse vers la démagogie renforcée, le communisme bienséant, le nouveau conformisme ouvrier christiano-litvinovnien ! Une affaire ! On se place, on se case, on se loge passionnément. C’est la panique au compromis, à moins cinq.
 
Et notre bourgeoisie ? si par miracle elle pouvait cesser tout un mois de se surmener la tripe, de travailler du foie gras, de ramper dans les indigestions, qu’on la retrouve en train de réfléchir, enfin, à autre chose qu’à son ventre (le bourgeois chie, il a faim, c’est tout), elle éprouverait peut-être une petite surprise de se reconnaître aussi effrénément trahie par ses larbins-écrivains attitrés. C’est à qui de droite gentdelettre, plaquera, désertera plus vite la mangeoire menacée, ira, le plus dévotieusement, se faire mettre à gauche, virevolte! désinvolte ! en pleine démagogie juive ! Le bourgeois, tout en côlon, si mufle, si fécal, si vil ne s’aperçoit même pas que ses larbins de classe, de plume, le sèment, se disposent à gigoter, à bambouler éperdument autour du bûcher révolutionnaire, pendant qu’il grésillera... c’est la panique générale des larbins de plume à moins cinq, l’exode en masse vers la démagogie renforcée, le communisme bienséant, le nouveau conformisme ouvrier christiano-litvinovnien ! Une affaire ! On se place, on se case, on se loge passionnément. C’est la panique au compromis, à moins cinq.
  
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Mille et mille incendies vous dis-je, à comburer la terre entière, qu’il n’en restera plus que scories innommables. La mère des Serbes n’est pas morte, elle a parsemé l’Europe de ses petits, de mille conflits qui ne demandent qu’à crépiter (en plus des Sudètes). Vous m’en direz des nouvelles ! L’on vous goupille, en ténèbres, les plus adroites, imparables surprises provocatrices.
 
Mille et mille incendies vous dis-je, à comburer la terre entière, qu’il n’en restera plus que scories innommables. La mère des Serbes n’est pas morte, elle a parsemé l’Europe de ses petits, de mille conflits qui ne demandent qu’à crépiter (en plus des Sudètes). Vous m’en direz des nouvelles ! L’on vous goupille, en ténèbres, les plus adroites, imparables surprises provocatrices.
 
Jamais, je le répète, ici, là-bas, partout, nos avenues ne grouillèrent de plus de rats juifs, plus déterminés. Toutes les ruines sont préparées. À nous les charniers à centuple fond !
 
Jamais, je le répète, ici, là-bas, partout, nos avenues ne grouillèrent de plus de rats juifs, plus déterminés. Toutes les ruines sont préparées. À nous les charniers à centuple fond !
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À ciel ouvert ! propagande et mille fois propagande youtre ! Lyrisme de patriotisme, susceptibilité nationale. L’honneur partout ! Traités partout ! Prestidigitation juive partout ! harangue universelle ! Fausses nouvelles.
 
À ciel ouvert ! propagande et mille fois propagande youtre ! Lyrisme de patriotisme, susceptibilité nationale. L’honneur partout ! Traités partout ! Prestidigitation juive partout ! harangue universelle ! Fausses nouvelles.
  

Version du 25 octobre 2020 à 12:18