Différences entre les versions de « Modèle:Random quotations »
| Ligne 54 : | Ligne 54 : | ||
{{quote-center|Les falaises dominent la mer, dans leur absurdité verticale, et il n’y aura pas de fin à la souffrance des hommes.|[[Michel Houellebecq]]}} | {{quote-center|Les falaises dominent la mer, dans leur absurdité verticale, et il n’y aura pas de fin à la souffrance des hommes.|[[Michel Houellebecq]]}} | ||
{{quote-center|Nous voulons retourner dans l’ancienne demeure<br/>Où nos pères ont vécu sous l’aile d’un archange|[[Michel Houellebecq]]}} | {{quote-center|Nous voulons retourner dans l’ancienne demeure<br/>Où nos pères ont vécu sous l’aile d’un archange|[[Michel Houellebecq]]}} | ||
| − | |||
{{quote-center|Fondamentalement, le monde est en train de devenir plus moderne et moins occidental.|[[Samuel Huntington]]}} | {{quote-center|Fondamentalement, le monde est en train de devenir plus moderne et moins occidental.|[[Samuel Huntington]]}} | ||
{{quote-center|Nous savions que cette fois, nous allions entrer dans une bataille telle que le monde n’en avait encore jamais vu.|[[Ernst Jünger]]}} | {{quote-center|Nous savions que cette fois, nous allions entrer dans une bataille telle que le monde n’en avait encore jamais vu.|[[Ernst Jünger]]}} | ||
| Ligne 167 : | Ligne 166 : | ||
{{quote-center|Pour développer de grands et puissants caractères, de grandes injustices sociales sont indispensables.|[[Constantin Léontiev]]}} | {{quote-center|Pour développer de grands et puissants caractères, de grandes injustices sociales sont indispensables.|[[Constantin Léontiev]]}} | ||
{{quote-center|L’inégalité est une condition du développement de la culture.|[[Nicolas Berdiaev]]}} | {{quote-center|L’inégalité est une condition du développement de la culture.|[[Nicolas Berdiaev]]}} | ||
| + | {{quote-center|[...] les mœurs restreignent ce que la loi libère [...].|[[Wilhelm von Humboldt]]}} | ||
--> | --> | ||
Version du 28 septembre 2020 à 19:12
| « | [...] je vois une foule innombrable d’hommes, semblables et égaux, qui tournent sans repos sur eux-mêmes pour se procurer de petits et vulgaires plaisirs dont ils emplissent leur âme.
|
» |
| Alexis de Tocqueville |